Shuars

les pinces d’extraction n’étaient pas plus brillants. Les seuls personnages à garder le sourire, autour de la consultation, c’étaient les Jívaros qui observaient, accroupis. Les Jívaros. Des indigènes rejetés par leur propre peuple, le peuple des Shuars, qui les considérait comme des êtres avilis et dégénérés par les habitudes des « Apaches », autrement dit les Blancs. Les Jivaros, habillés avec les guenilles des Blancs, acceptaient sans protester ce nom dont les avaient affublés les conquérants

Idilio, petit village amazonien peuplé de colons, où s’est arrêté en bateau un dentiste itinérant, des Indiens Shuars arrivent avec le cadavre d’un gringo mort. A lire entièrement Le Vieux lit dans sa modeste cabane dont on découvre l’intérieur et où se trouve la photo de son mariage. Le narrateur nous raconte alors son enfance, son mariage, son arrivée à El Idilio, puis sa vie chez les Shuars avec son ami Nushino. A lire entièrement A lire entièrement Alors que le Vieux mange des crabes et s’interroge

virulent opposant au gouvernement. Cette lecture lui permet d'oublier sa solitude et la réalité qui l'entoure. L'histoire commence avec la découverte, par les Shuars, d'un chercheur d'or mort. Le maire, surnommé la « Limace » à cause de sa transpiration, homme détesté des habitants, accuse les Shuars. Le vieux a vécu longtemps parmi les Shuars et prend donc leurs défense. Il démontre que le malheureux a été tué par une léopard désespérée dont il venait de massacrer les petits. Les victimes de celle-ci

peuplé de colons, où s’est arrêté en bateau un dentiste itinérant, des Indiens Shuars arrivent avec le cadavre d’un gringo mort. Chapitre 2 (p.23-33) A lire entièrement Chapitre 3 (p.35-51) Le Vieux lit dans sa modeste cabane dont on découvre l’intérieur et où se trouve la photo de son mariage. Le narrateur nous raconte alors son enfance, son mariage, son arrivée à El Idilio, puis sa vie chez les Shuars avec son ami Nushino. Chapitre 4 (p.53-63) A lire entièrement Chapitre

les pinces d'extraction n'étaient pas plus brillants. Les seuls personnages à garder le sourire, autour de la consultation, c'étaient les Jívaros qui observaient, accroupis. Les Jívaros. Des indigènes rejetés par leur propre peuple, le peuple des Shuars, qui les considérait comme des êtres avilis et dégénérés par les habitudes des « Apaches », autrement dit les Blancs. Les Jivaros, habillés avec les guenilles des Blancs, acceptaient sans protester ce nom dont les avaient affublés les conquérants

les pinces d’extraction n’étaient pas plus brillants. Les seuls personnages à garder le sourire, autour de la consultation, c’étaient les Jívaros qui observaient, accroupis. Les Jívaros. Des indigènes rejetés par leur propre peuple, le peuple des Shuars, qui les considérait comme des êtres avilis et dégénérés par les habitudes des « Apaches », autrement dit les Blancs. Les Jivaros, habillés avec les guenilles des Blancs, acceptaient sans protester ce nom dont les avaient affublés les conquérants

surnommé « Le Vieux », malgré ses 60 ans. Cet homme s’est marié à 13 ans avec Dolores. Elle meurt de la malaria, quelques années plus tard sans lui avoir donné d’enfants. De chagrin, il part vivre au cœur de la jungle, avec le peuple des indiens Shuars. Il vit avec eux quelques années, et apprend tout de la jungle et de l’amitié. Puis, forcé, il quitteles indiens pour rejoindre ce que nous appelons « la civilisation ». Grâce au dentiste, Loachamin, il découvre qu’il sait lire et fait la connaissance

révolution ait fini en enfer à cause des infirmités de toujours : le dogmatisme, l'uniformisation et le manque de générosité créative ». Il séjourne encore dans divers pays d'Amérique du Sud (Pérou, Colombie). En 1978, il passe un an chez les Indiens Shuars dans le cadre d'un programme de recherche de l'UNESCO. Il part ensuite pour Europe et s'installe en 1982 à Hambourg où il passe quatorze ans. Les raisons pour lesquelles il se fixe en Allemagne sont diverses. Parmi elles un goût prononcé pour les

éléments sont rattachés au même champ lexical et c'est celui: d'article de la jungle. Ce champ démontre qu'il chasse toujours avec des matériaux de la jungle, donc il est écologique. Ensuite, il y a les Shuars qui ont des valeurs écologiques comme les lecteurs peuvent le voir dans cet extrait: « Les Shuars ne chassent pas le jaguar. La viande n’est pas comestible et la peau d’une seule bête suffit pour faire des parures qui durent des générations. » Cet extrait démontre que ceux-ci respectent beaucoup

pas y répondre dans cet ordre dans votre article mais structurer vos arguments en paragraphes. - Le thème de la nature, de la vie sauvage : que cherche à nous dire l'auteur, selon vous, sur les Indiens Shuars, sur l'Amazonie et sur la vie sauvage ? Qui sont les Jivaros ? Qui sont les Shuars ? Quelle est la différence entre les deux ? - Le thème de la lecture et des livres : Comment le héros découvre-t-il le plaisir de lire ? En quoi la lecture est-elle importante pour lui ? Que lui apporte-t-elle