Si Le Poète Etait Un Animal Que Serait Cet Animal

46 LM31A5- Théories littéraires du Moyen-Âge à l'Âge classique Pascal Debailly COMIQUE ET SAGESSE DANS LES FABLES Conférence du vendredi 5 décembre 2014 (À ne pas diffuser et à utiliser dans le strict cadre du cours) "A qui donner le prix ? Au cœur si l'on m'en croit" (XII, 15, v. 134) INTRODUCTION La question du comique dans les Fables est indissociable de celles de la poésie et de la sagesse, de la poésie dans la mesure où l'on peut la définir comme un art d'être au monde par le langage, de

Séquence 1 : Les Animaux dénaturés, Vercors Eugène IONESCO, Rhinocéros, Acte II, tableau 2 [extrait] (1959) Texte complémentaire [Acte I ] Bérenger, le héros, et Jean, son ami et collègue et de bureau, se retrouvent un dimanche matin sur la place d'une petite ville de province ; un rhinocéros traverse tout à coup la place, troublant la quiétude des habitants … puis un deuxième animal (ou était-ce le même ?) écrase un chat. La ville est en émoi ; Jean est outré, Bérenger assez indifférent, ils se

commentaire du poème « Plainte » de Charles Cros en vous aidant, par exemple, du parcours de lecture suivant : a) L’opposition de deux mondes incompatibles. b) La désillusion et la solitude du poète. Introduction Le poète, et plus encore le poète amoureux, se console dans l’écriture, sorte d’exutoire de ses désillusions sentimentales. Ainsi, Charles Cros, dont la vie fut une suite de malchances, fait de ses poèmes les confidents de ses amertumes

Fables, en général, et « les Animaux malades de la peste », en particulier sont des récits très structurés faisant appel à une grande maîtrise dans l’art du discours chez l’auteur. Il use de son art de plaire à travers les personnages-animaux et le tableaux de la peste, le dynamisme de ce texte par les discours rapportés et l’alternance des vers, et enfin les argumentations détournées du lion, du renard et du loup. Tout d’abord, La Fontaine délègue la parole à des animaux. Nous assistons à la confession

un éclatant contraste avec toute la trivialité environnante.    C'était une femme grande, majestueuse, et si noble dans tout son air, que je n'ai pas souvenir d'avoir vu sa pareille dans les collections des aristocratiques beautés du passé. Un parfum de hautaine vertu émanait de toute sa personne. Son visage, triste et amaigri, était en parfaite accordance avec le grand deuil dont elle était revêtue. Elle aussi, comme la plèbe à laquelle elle s'était mêlée et qu'elle ne voyait pas, elle regardait

de la femme à travers des poèmes du XVIe siècles au XXe siècles Hugo : Elle était déchaussée... Axes de lecture : Une rencontre amoureuse (Où? Quand? Qui?) - Décor naturel (Où? Quand?) - le poète - la jeune fille (simplicité, naturel) Un lyrisme familier - Une chanson - Un moment de bonheur simple Mots de vocabulaire : Joncs : Une plante qui croît en bordure des marécages Effarée (fera = animal sauvage non domestiqué): Elle n'est pas encore apprivoiser, ce sera le devoir

Artémis était une grande divinité du Panthéon grec. Elle deviendra plus tard chez les Romains Diane ( Aussi nommée Cynthia qui vient du mont Cynthos à délos où elle est née ). Fille de Zeus et de Léto la fille d' un Titan. Son frère jumeau n'est nul autres que Apollons. Lui le soleil, elle la lune. Mais Artémis est plus connue comme déesse de la chasse. Une des trois déesse vierge de l'olympe ( Vesta, Athéna et Artémis ) Artémis s'identifie avec Hécate chez certain poète. Elle est alors la

caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent un double renversement des positions tenues par les personnages principaux. La fable s’inscrit dans le genre de l’apologue. HistoriqueLa fable était déjà pratiquée en Mésopotamie, près de deux mille

Première partie du Discours sur l’origine des inégalités – Résumé Rousseau décrit l’homme à l’état naturel : c’est un être fort, agile, plus faible mais plus organisé que les animaux de son environnement. Son corps est son seul outil et sa seule arme (Rousseau dit même que l’homme de la civilisation serait facilement battu par l’homme naturel dans un combat). Dépouvru de sens moral, l’homme naturel ni connaît ni le bien ni le mal, c’est un être infra-moral (Rousseau réfute ainsi le vice attribué

Séquence didactique du texte poétique Plan : 1- Poèmes sélectionnés. 2- Travaux de production d’élèves sur les animaux. 3- Travaux de production d’élèves sur les poètes. Poèmes sélectionnés L’homme et le chien « M. Carême » Il ne voyait rien, il ne cherchait rien, Il se contentait d’avoir un grand chien A qui il parlait, à qui il riait Comme à un ami qui lui ressemblait. A deux, ils formaient