Signe Linguistique Selon Saussure

l'art sont nombreux -> Saussure , le symbole. On pourrait parler des vanités comme exemple de symbolisation. Peut-on pour autant réduire l'art à cela ? Tout le sens se donne - t - il sous la forme d'un symbole ? L'art transmet bien du sens , mais a - t - il les caractéristiques du langage? II - N'est-ce pas laisser échapper ce qui constitue l'essence de l'art que de considérer l'oeuvre sur le modèle du langage ?: En premier lieu , on peut parler de l'arbitraire du signe qui ne peut pas être

l’homme ?..............................................................................1 A. Typologie des « signes »..............................................................................................................2 B. L’arbitraire du signe...................................................................................................................2 C. La double articulation du langage..............................................................................................2

Ainsi il existe une science du langage : la linguistique, fondée par F. De Saussure. La linguistique étudie les modalités de fonctionnement du langage et plus particulièrement de la langue qu’elle considère comme une structure, un ensemble qu’elle est susceptible de décomposer en des éléments simples qu’elle relie par des lois de compositions et d’oppositions sont des traits pertinents (distinctions entre les voyelles ouvertes et fermées). La linguistique ne se préoccupe pas du rapport du langage à

réel. Puis nous nous interrogerons sur l'origine des mots et leur application, afin de savoir si elle est strictement naturelle. Et enfin nous analyserons la dimension pragmatique du langage. Le langage permet la réalisation d'une idée. Chaque signe qui se forme dans notre imaginaire nécessite une réalisation concrète. Par définition, l'idée est justement immatérialisée car elle appartient à ce que Platon nomme le monde intelligible. C'est en ce sens qu'il faut saisir le rôle du langage : intermédiaire

« Une langue est un instrument de communication selon lequel l'expérience humaine s'analyse, différemment dans chaque communauté (...), en unités douées d'un contenu sémantique et d'une expression phonique: les monèmes; cette expression phonique s'articule à son tour en unités distinctives et successives, les phonèmes, en nombre déterminé dans chaque langue, dont la nature et les rapports mutuels diffèrent eux aussi d'une langue à l'autre. » (Martinet,1974, p.20). LE FONCTIONNALISME

l'arbitraire du signe, concept saussurien qui refute tout rapport de motivation entre le signifie et le signifiant, et qui demontre d'ailleurs que les signes s'organisent a part, sans se referer ni a leur substance phonique ni aux idees qu'ils representent. 1 Le poete desire donc remettre en cause le systeme de la langue dont les relations, selon la description de Saussure, relevent uniquement de la convention et non d'une homologie secrete, si ardemment recherchee pourtant, entre mot et monde, signe et substance

un langage. En linguistique on va considérer que tout acte de parole met en jeu ‘’ un message et quatre éléments qui lui sont liées , émetteur , receveur , thème du message , code employé ‘’ _ Romen Jakobson. L’émetteur est la personne qui émet le message Le receveur est celui qui reçoit le message Le thème est le sens du message Le code est l’instrument linguistique du message ( la langue ) Ce code s’apprend et n’est pas lié au thème du message : le signe linguistique est arbitraire

1. La crise du signe Du point de vue épistémologique, le texte, dans cette acception classique, fait partie d'un ensemble conceptuel dont le centre est le signe. On commence à savoir maintenant que le signe est un concept historique, un artefact analytique (et même idéologique), on sait qu'il y a une civilisation du signe, qui est celle de notre Occident, des stoïciens au milieu du XXe siècle. La notion de texte implique que le message écrit est articulé comme le signe : d'un côté le signifiant

d’un système de signe. Parmi les formes utilisées nous pouvons citer la parole (verbale ou orale), la forme gestuelle, graphiques, tactile, olfactive etc. Pour les grecs toutes idées ne peut s’exprimer que par le langage et que la parole est égale à la raison (logos). Ainsi, il n’y aurait pas de pensées sans langage. Selon DESCARTES « le langage est l’expression verbale de la pensée » .Et qu’ARISTOTE définissait l’homme comme «  le vivant possédant le langage » : la capacité linguistique semble n’appartenir

PAS NE PAS COMMUNIQUER ». Cette école introduit la notion d’émission volontaire ou involontaire des messages. 1-4. La sémiologie (Saussure & Barthes) : • Définition : étude des systèmes de signes non linguistiques. • Mode d’action : Elle décompose le signe en deux termes: le signifiant et le signifié. • Eléments : Le signifiant est l’expression du signe, le signifié le contenu • Mécanisme : La relation entre le signifié et le signifiant est la conséquence d’un accord entre l’émetteur