Silicose

bâtiments insalubres, contrastes de température (pas chauffés= maladies), humidité importante, pollution, pas de normes de sécurité (beaucoup d’accidents du travail : mines sans étayage, coups de grisou… Courrières, 1100 victimes) - maladies : silicose (poussière de charbon que l’on respire) ; maladies liées au phosphore (fabriques d’allumettes) ; tuberculose - ouvriers= devoirs mais pas de droits (droits de se syndiquer, grève, éducation…) - insécurité face à l’emploie, maladie,

permettait le contrôle de leurs déplacements. Aucune assurance n’existait, l’exposition aux risques était majeure : dans les mines lors des « coups de grisou », par exemple en 1906, la catastrophe de Courrières fit 1 100 morts ; sinon les maladies : silicoses, tuberculose, ou encore les accidents fort nombreux. Mais le plus gros risque restait le chômage qui n’était en aucun cas indemnisé et qui représentait 15% de la population active en moyenne, il pouvait grimper lors des crises cycliques. 4

lampe du mineur). Les maladies sont dues à des conditions de travail ingrates et à des infections propres au métier : les anémies, l'arthrose, les maladies de poitrine (asthme, phtisie, etc.). Il faudra attendre le XXe siècle pour que l'on parle de « silicose », la maladie pulmonaire du mineur. Sous le Second Empire, à Carmaux, l'âge moyen du décès du mineur adulte est de 41 ans. Il passe à 54 ans au début du XXe siècle. III) Conditions de vie et revendications des mineurs 1) Le niveau de vie des

professionnel étaient plus ou moins connus. Lucrèce puis Pline l’Ancien parlent des maladies des mineurs extrayant le mercure et le cinabre. Vers 1700, le médecin italien Ramazzini décrit les maladies des mineurs travaillant dans certaines mines (silicose). Vers 1840, le docteur Willermé dresse un bilan inquiétant de la situation des ouvriers et évoque les conditions de travail de l’époque comme étant à l’origine de certaines maladies. L’industrialisation qui se développe, la naissance d’une classe

professionnel étaient plus ou moins connus. Lucrèce puis Pline l’Ancien parlent des maladies des mineurs extrayant le mercure et le cinabre. Vers 1700, le médecin italien Ramazzini décrit les maladies des mineurs travaillant dans certaines mines (silicose). Vers 1840, le docteur Willermé dresse un bilan inquiétant de la situation des ouvriers et évoque les conditions de travail de l’époque comme étant à l’origine de certaines maladies. L’industrialisation qui se développe, la naissance d’une classe

nanosilice présente dans nos aliments a) Nature et utilisation de la silice La silice existe sous deux formes : - Silice cristalline : très abondante dans les roches, une exposition excessive entraine des maladies pulmonaires (silicose, tuberculose, bronchite chronique…) qui peuvent évoluer en cancer du poumon. Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé la silice cristalline comme cancérogène de groupe 1. ← Cette forme de silice n’est pas utilisée

pulmonaires professionnelles : elles peuvent être classifiées en trois grands groupes selon les agents provocateurs. « les maladies dues à l’exposition aux poussières inorganiques dites les pneumoconioses » comme exemple nous avons la sidérose et la silicose, « les maladies dues à l’exposition aux poussières organiques soit d’origine végétale, soit d’origine animale » ici nous avons par exemple la byssinose, et afin « les maladies liées à l’exposition aux produits chimiques, soit en particules soit sous

mine d'or de Poura n'a pas échappé à cette règle. En effet, de 1984 à 1999 cette importante société minière a enregistré seulement deux (02) cas de maladies professionnelles: un (01) cas de surdité professionnelle survenue en 1986, un (01) cas de silicose survenue en 1999. Sous réserve de plus amples informations qui pourraient être fournies par les archives du service médical de la SOREMIB, voici une estimation des principales affections enregistrées au cours des trois (03) dernières années de vie

maladie intervient progressivement. Comment établir que l’on a une maladie professionnelle ? - soit la maladie correspond à un tableau fait par le Ministère du Travail (durée de la profession et durée maximum d’arrêt de la profession) : surdité, silicose… - soit on ne correspond au tableau et/ou que la maladie est nouvelle, on doit faire une procédure particulière au tribunal. La maladie professionnelle est traitée de la même façon que l’accident du travail. Le dirigeant d’une entreprise

d’indemnités. Si le fonctionnaire meurt au travail, l’indemnité est multipliée par 5. Maladie professionnelle : Une liste de 66 maladies professionnelles a été établie. Chaque maladie correspond à des professions à risque. Ex : Mineur : Poumons «  silicose du mineur » Prof : Dépression. En cas de maladie professionnelle reconnue, les prestations sont de 100%. Parlement Gouvernement Assemblée