Similitude Toyotisme Et Taylorisme

Japon devient dans ce domaine un concurrent redoutable dès la fin des années 1960 pour les États-Unis et l’Europe. L’ entreprise développe une stratégie de conquêtes des marchés et invente de nouvelles formes de production. Dans les années 1980, le toyotisme tend ainsi à remplacer le modèle tayloro-fordiste. Dans les années 2000, l’entreprise japonaise se hisse comme premier constructeur mondial, malgré la récession que connaît le pays depuis les années 1990. Document complémentaire 8. Exemple d’introduction

Japon devient dans ce domaine un concurrent redoutable dès la fin des années 1960 pour les États-Unis et l’Europe. L’ entreprise développe une stratégie de conquêtes des marchés et invente de nouvelles formes de production. Dans les années 1980, le toyotisme tend ainsi à remplacer le modèle tayloro-fordiste. Dans les années 2000, l’entreprise japonaise se hisse comme premier constructeur mondial, malgré la récession que connaît le pays depuis les années 1990. 8. Exemple d’introduction. Depuis 1945,

considérés comme valables et pertinents, à partir 12 BIAIS DE REPRÉSENTATIVITÉ d’une généralisation abusive de situations passées ou de cas isolés. Il s’agit par conséquent de reproduire et d’appliquer des actions antérieures au regard de similitudes perçues entre l’événement passé et la situation présente, sans tenir compte de la spécificité du contexte. B Biais de représentativité La représentativité consiste ainsi à juger un cas individuel à partir de préconceptions générales abstraites

», considérés comme valables et pertinents, à partir 12 BIAIS DE REPRÉSENTATIVITÉ d’une généralisation abusive de situations passées ou de cas isolés. Il s’agit par conséquent de reproduire et d’appliquer des actions antérieures au regard de similitudes perçues entre l’événement passé et la situation présente, sans tenir compte de la spécificité du contexte. Biais de représentativité La représentativité consiste ainsi à juger un cas individuel à partir de préconceptions générales abstraites et

ici s'inscrit dans l'espèce humaine. C'est à dire que chaque individu, au-delà de ses différences, a en commun avec les autres individus un certain nombre de caractéristiques qui font son appartenance au genre humain. Si l’on met l’accent sur la similitude des caractéristiques, on risque de tomber dans la fiction de l’individu représentatif, alors que si l’on met l’accent exclusivement sur les différences, on tombe dans l’excès inverse, celui de l’ultra-individualisme méthodologique. Il est nécessaire

forgé l’expression néoclassique. Ainsi, on trouve chez les classiques et leurs héritiers néoclassiques la conviction du caractère universel des lois économiques. Jevons, Menger et leurs successeurs modernes affirment toutefois plus nettement la similitude entre l’économie et les sciences naturelles, ce qui se traduit par l’utilisation de plus en plus intensive - et Parfois exclusive - du langage mathématique. Walras estime même que l’économie politique pure doit devenir une branche des mathématiques

relations de production. Des points d’accord sont à souligner avec l’approche de RICHARDSON (1972) qui à son tour refuse la théorie du partage firme-marché en évoquant la nature particulière de la coopération industrielle. Son approche en terme de similitude et de complémentarité des activités industrielles soulève la problématique du choix entre une approche par la production et celle par l’échange. I.1.2. Difficultés du passage de l’information au savoir et vice versa Selon FRANSMAN (1994), les difficultés

évolutions technologiques et commerciales. Motivés par l’urgence de la reconstruction économique, les industriels japonais de l’après-guerre ont développé une approche scientifique de la qualité dont les termes nous sont à ce jour familiers : « toyotisme », « zéro défaut », « juste-à-temps », « compression des coûts ». Au fil des années, cette méthodologie s’est rationalisée, son champ d’application s’est élargi au monde mystérieux de l’immatérialité des services, des instruments élaborés de mesure

évolutions technologiques et commerciales. Motivés par l’urgence de la reconstruction économique, les industriels japonais de l’après-guerre ont développé une approche scientifique de la qualité dont les termes nous sont à ce jour familiers : « toyotisme », « zéro défaut », « juste-à-temps », « compression des coûts ». Au fil des années, cette méthodologie s’est rationalisée, son champ d’application s’est élargi au monde mystérieux de l’immatérialité des services, des instruments élaborés de mesure