Similitudes Entre Les Pensees De Platon Et Aristote

moderne +(médiéval). A1 : Une conception libérale de l’État : Libéralisme politique=préservation de ou des libertés. Une recherche ancienne : = dès l’antiquité, réflexion sur la prévention du pouvoir tyrannique. Constitutionnalisme ancien (Platon/Aristote) : « notion de gouvernement des lois » « par les lois » ; en opposition au gouvernement des hommes. Subordination des gouvernants aux lois. Émerge l’idée que tout pouvoir peut être corrompu. Objectif des lois : poursuite du bien commun. Constitutionnalisme

démocratie contemporaine Introduction : 1. Démocratie et représentation : Un lien Problématique. Le lien entre démocratie et représentation est tout sauf évident . L’idée centrale est très simple. La démocratie n’a pas toujours été et n’est pas nécessairement représentative. La démocratie et la représentation n’ont pas toujours été pensées comme allant de paire et ont même initialement été pensées comme incompatibles. En réalité les notions de représentation et de délégation au moins dans l’espace politique

question de ce qui est d´sirable, il exe plore le domaine de la faisabilit´ par des incursions en philosophie, en psychoe logie, en science politique, en ´conomie, en sociologie, etc. Au point de vue e m´thodologique, il tente de trouver la voie m´diane entre la m´thode analye e e tique et l’intuitionnisme. Il reconnaˆ ` la fois la sup´riorit´ m´thodologique du ıt a e e e courant analytique et la sup´riorit´ de l’intuitionnisme quant ` leurs assertions e e a morales. Par exemple, il endosse l’ind´pendance

incluent la lecture de la philosophie grecque et de la pensée néoplatonicienne. xxi Deuxième considération: Augustin interagit avec le platonisme et le néoplatonisme et évalue ces derniers par rapport au christianisme dans son œuvre écrite. xxii «La Cité de Dieu», considérations sur l’âme xxiv Confessions, concernant le Logos xxvi Lettre à Hermogénien et Écrits antipélagiens xxvi Troisième Considération: le parallèle entre le néoplatonisme et la philosophie théologique d’Augustin

1) Le ténébreux, l’inconsolé : une existence tragique 1808-1855! ! • Nerval = Gérard Laburnie ! • Absence parentale, Nerval n’a pas vécu dans le cadre parentale, et fut confié à son oncle qui vivait dans le Valois une région qui obsède Nerval. Entre l’écriture et le manque il y a un lien de cause à effet, Nerval se met à écrire très tôt peut être dans le but de combler un manque affectif, précocité littéraire. Nerval va d'amblé s’inscrire dans le mouvement romantique. ! • Au XVIIIème siècle

changés : il faut tous faire pour avoir accès à la communication. On est dans une société de consommation. On parle de plus en plus d’exclusion. On est dans une société d’incompréhension. 2. Communiquer c’est transmettre une information. Lorsqu’on pense une information on communique. Pour communiquer il faut forcément un récepteur. Les journalistes communiquent bien car ils transmettent des informations. Cependant on peut très bien communiquer sans donner la moindre information, car c’est d’abord

cette science. Après avoir quitté La Flèche, Descartes fait quelques voyages et paraît hésiter sur le choix d’une occupation. En 1618 on le retrouve en Hollande, engagé (comme beaucoup de jeunes gens de son époque) dans les armées, mais la trêve entre espagnols et hollandais le contraint à rester en garnison à Bréda où il fait la rencontre d’un médecin, Isaac Beeckman, qui le force à se mettre pour de bon au travail… En novembre 1619, Descartes fait le rêve d’une “ science admirable ” et voit

de felonnes parolles et contumelieuses. Mais il eut le courage tousjours constant, sans se perdre. Et d'un visage ferme, alloit au contraire ramentevant à haute voix, l'honorable et glorieuse cause de sa mort, pour n'avoir voulu rendre son païs entre les mains d'un tyran : le menaçant d'une prochaine punition des dieux. Dionysius, lisant dans les yeux de la commune de son armee, qu'au lieu de s'animer des bravades de cet ennemy vaincu, au mespris de leur chef, et de son triomphe : elle alloit

la science grecque e 3.2. Les pr´socratiques . . . . . . . . e 1. Les premiers philosophes ioniens 2. Les Pythagoriciens . . . . . . 3. Autres ´coles philosophiques e . 3.3. La p´riode classique e . . . . . . . 1. Platon et son ´cole . . . . . . e 2. Eudoxe de Cnide . . . . . . 3. Aristote . . . . . . . . . . 3.4. La m´decine grecque classique . . . e 3.5. La p´riode hell´nistique . . . . . . e e 1. Math´maticiens et m´caniciens e e 2. Astronomes . . . . . . . . . 3. M´decins . . . . . . . . . . e

de celui qu’on qualifiait hier de « réalisme naïf » ; il sait mieux que personne l’apport de la pensée dans sa recherche, le rôle décisif des schémas explicatifs qu’il construit et reconstruit. En bref, le savant est devenu critique de lui-même, de ses propres méthodes et des résultats qu’elles lui valent, et il se situe fort loin de ce scientisme propre à l’ère positiviste. Mais nous avons pensé qu’un tel titre marquait efficacement l’attitude de l’homme en général, même cultivé, en présence