Situation Initiale Rouge Et Le Noir

2 : Lecture d’image – histoire culturelle = Le XIXème siècle. Monet, Les déchargeurs de charbon, (≈ 1875) C’est l’image de la banlieue parisienne= monose, sale, couleur (ocre, noir verdâtre)  atmosphère terne, sans joie, étouffante. Les personnages= silhouette anonymes et identiques (absences d’individualisation), noires  hommes déshumanisés par un travail répétitif (parallèle travail à la chaine en usine.) Synthèse= image de la grande ville industrielle qui déshumanise l’homme. └› XIXème siècle=

les étapes apparaissent clairement : -situation initiale (retrouvailles des 2 amants avec description poétique des l 3009 puis lyrisme des l 3020) • les péripéties : rejet de Raphaël, examen du talisman par Pauline, souvenirs heureux dans l’esprit de Raphaël, fuite de Pauline, Démolition de la porte par Raphaël, désir et dernières ardeurs de Raphaël. • situation finale : mort de R précédée de la tentative de suicide de Pauline (registre tragique du roman noir et registre pathétique) Récit théâtral

l'attitude quelque peu hystérique et frustrée à la fois. On apprendra que les deux femmes nourrissent une haine sans borne pour « Madame » tout en réalisant qu'elles ne seraient rien sans elle. Sur scène, elles ont l'air de jumelles, toutes deux vêtues de noir, les cheveux au carré et le teint blanc, l'une est pourtant plus âgée que l'autre. On découvre leur petit rituel, ce jeu quotidien qui consiste à enfilez les robes de Madame pour se sentir, quelques instant, dans sa peau. Sous leur dégout se cache

Microsoft Word - textes 401 rumeur-normalisation-conformisme-innovation.docx1    Texte 1 Les bases psychologiques des rumeurs Par Gordon W. Allport et Leo J. Postman LES RUMEURS PENDANT LA GUERRE. Pendant l’année 1942, les rumeurs devinrent un problème national d’une importance considérable. Ce fut après le choc porté par la défaite de Pearl Harbor que l’effet dangereux de ces rumeurs fut ressenti pour la première fois. Cet évènement traumatisant désorganisa les canaux habituels

choisi de faire un linéaire de soldes. Les produits concernés étaient des tasses. Le but étant de vendre le plus de produits possible pour écouler le peu de stock qu’il nous reste des collections précédentes. En premier temps je vous décrirais la situation, en seconde partie : la préparation de l’action, en troisième partie : la réalisation de l’action et pour finir je vous annoncerais les résultats obtenus accompagné d’une conclusion. I. Description de l’action : a. Contexte cerné :

· Séquence 4 :DuréeActivitéContenuObjectifs1hLecture méthodiqueExtrait n°4 « Oluf eut beau faire…...moitié volant (la fin). » - Identifier la situation finale de la nouvelle. - Dégager la moralité de la nouvelle. 1hLangueLa complétive et la relative- Identifier la subordonnée relative et ces fonctions.-

regard effrayant et un sourire qui glace de terreur. Il a « ses capacités de charmer à travers les poèmes qu’il chante tel un serpent qui fascine l’oiseau. »  Oluf : le fis de Lodborg. Il EST « tout Blanc ET tout vermeil, mais qui possède un regard noir comme celui de l’étranger. » Il est d’un courage sans pareil. Mais ses tendances sont contradictoires et se divisent en une de bonne Oluf et une seconde de mauvais Oluf.  Brenda: une jeune châtelaine. Elle est sage d’esprit et sentimentale de cœur

éternellement. Elle est regrettée par tous, même par le sujet. C’est la situation initiale marquée par l’aspect imperfectif. Fonds – Rouge était au moins vivable. Mais le déboisement engendra la sécheresse; et le conflit, la division qui ensemble traduisent la mort du village. Le sujet sera interpellé, à la surface du texte, depuis le manque de vie. La mission déclarée de Manuel consiste à ramener l’objet vie à Fonds – Rouge. Mais patienter de remarquer plus tard, dans l’analyse du discours un

un écroulement de bagages, pesait de tout son poids sur les jambes convulsives de l'assassiné . Déjà, le train fuyait, se perdait vers la Croix-de-Maufras, en ne montrant plus de lui, dans les ténèbres, que les trois feux de l'arrière, le triangle rouge . (...)" I . LES APPARITIONS ET HALLUCINATIONS Elles sont, dans "La Bête Humaine", au service de la fatalité puisqu'elles sont imprévues et soudaines et surtout incontrôlables; l'homme n'étant pas maître de ce qu'il voit.  Elles sont le reflet de

dimension plastique, le choix et la distribution des couleurs. ( cf commentaire de almodovar ) On verra cette attention aux couleurs dans le choix aussi des vetements des personnages, la couleur des genre littéraire, roman sentimentale et le roman noir ( genre policier ) Donc importance des couelrus et autre centre d’interet effet de sens a partir des nom des personnage ( cf fiche 1 en particulier ) le choix onomastique. Element pour construire recit filimique, travaille littéraire. Pedro almodovar