Skinner Déterminisme

d’être libre mais se sentir libre n’est pas être libre. En effet, la conscience, parce qu'elle est subjective, ne nous fait pas forcément connaître la vérité, elle est parfois trompeuse et source d'illusion. De là apparait la notion de déterminisme. On appelle déterminisme le principe issu de la science physique suivant lequel tout événement est l'effet nécessaire d'une cause antérieure. En ce sens, nos décisions et actions ne seraient que le résultat d'un ensemble de causes antérieurs : quand il me semble

qu’elle est bien effective. Au final quel est le véritable degré de notre liberté ? N'est-elle qu'une illusion ? Elle donne à sa vie un sens, son sens, et le désigne comme maître de ses pensées et de ses choix. Elle résulte du désir d'échapper au déterminisme naturel et de construire soi-même son existence. * Les hommes glissent ainsi du sentiment intérieur de leur liberté, vers l'affirmation de la réalité de cette liberté. Il s'agit proprement d'une illusion car, comme le montre Spinoza dans la

KANT oppose limite à borne. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison. Les responsabilités sont des contraintes. On n'est

entités passives, ou plutôt réactives aux stimuli de l’environnement. Critiques : On peut, comme le font Mintzberg et all.(1999), dire que : • Les entreprises ne sont pas des drosophiles, et que leurs décisions ne sont pas programmées par un déterminisme génétique • La relation de déterminant et déterminé est très contestable ; une entreprise peut mourir des coups stratégiques que lui porte une autre entreprise, et non à cause de cette abstraction nommée environnement. • Cependant, cette

regarder sa montre et d’ouvrir sa tabatière , Jacques parvient à prendre l’ascendant sur son maître . De plus , Jacques a une portée maïeutique sur son maître : il devient en quelque sorte son élève . Jacques initie son maître au fatalisme et au déterminisme et lui démontre les limites de sa liberté . il lui démontre , par exemple , en le faisant tomber de son cheval que tout est lié par une relation de cause à effet. Jacques joue le rôle de l'éducateur : Il se sert de la fable de La gaine et du

une bonne stratégie de défense qu'emploie l'avocat de criminel, lorsqu'il invoque que son client ne pouvait pas faire autrement que ce qu'il a fait, vu son enfance, ses parents ,ses frères et soeurs, son milieu social etc... De la meme facon, le déterminisme des stoiciens ou de Spinoza, qui consistent à inscrire chaque évenement, y compris humain, dans une chaine causale absolue porte une conséquence similaire: tel acte présent, n'est que la conséquence absoluement nécessaire d'une cause antérieure

en procédant d’une manière explicative qui serait, du même coup, « démoralisante », au sens propre ? Cette perspective se trouve aussi bien dans le finalisme providentialiste (Saint Augustin ou Bossuet, e.g.), que dans le déterminisme métaphysique (Hegel) ou le déterminisme matérialiste (Marx et Engels). • Le problème est le suivant : si l’histoire a un sens défini, tout ce qui est arrivé doit être considéré comme un moyen nécessaire à l’accomplissement de la fin historique ; mais alors, n’est-on

Déterminisme. - On appelle déterminisme la doctrine qui soutient que toutes les actions des humains sont déterminées par leurs états antérieurs sans que sa volonté puisse changer quoi que ce soit à cette détermination. Les humains, dans ce système, n'ont donc pas de libre arbitre et, s'ils croit le posséder, ils n'en possède que l'apparence. On peut donner deux raisons principales du déterminisme : par l'une, on déclare a priori que toutes les actions humaines doivent être déterminées par les phénomènes

statut à travers les attributs périphériques ne caractérise pas la déviance mais peut soulever un sentiment de réprobation Rôles assignés et rôles acquis L’analyse du rôle en rapport avec le statut illustre les 2 grands paradigmes : 1) Le déterminisme apparaît à un double point de vue : A) On ne choisit pas toujours son statut ni son rôle : L’attribut fondamental du statut peut être attribué à l’individu indépendamment des ses aptitudes ou des ses mérites personnels. B) L’attribut fondamental

est un valet doté d’une philosophie qui le définit dès le titre (Jacques le Fataliste) : « tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas [est] écrit là-haut » ; « cela ne pouvait être dit ni plus tôt ni plus tard ». Ce fatalisme relève du déterminisme qui retire à l’homme toute responsabilité et toute liberté. Pourtant, l’homme, au même titre que Jacques, bien que conscient de ce « mensonge » qu’est la liberté, reste la dupe de ce qui n’est qu’un leurre. Jacques utilise le rapport de cause