Société de développement des entreprises culturelles

SOMMAIRE Introduction générale………………………………………………… 10 Premières partie : Les fusions / acquisitions : aspects stratégiques, organisationnels et humains..................................... Chapitre 1: Chapitre 2 : 11 Le développement par fusions / acquisitions : considérations stratégiques, degré d’intégration et compatibilité organisationnelle………………………….. 11 Problèmes humains et organisationnels des fusions / acquisitions : Manifestations et issues………………… 57

"Influences culturelles sur des comportements managériaux d’entrepreneurs algériens" Azzedine TOUNÉS Groupe ESC Chambéry Savoie Docteur en Sciences de Gestion, Enseignant-chercheur a.tounes@esc-chambery.fr Khalil ASSALA Université du Sud Toulon Var Doctorant Laboratoire Ermmes assala@gmail.com Résumé L’entrepreneuriat devient un levier important pour pallier le chômage en Algérie. Il fait partie des politiques de reconversion que l’Etat veut impulser grâce à une réserve en devises dépassant les 70

des différences culturelles devient un enjeu essentiel. Le monde de ces dix ou quinze dernières années a connu une période de turbulences accrues, de changements fondamentaux dans les relations internationales qui a permis l’émergence d’une information omniprésente et de la globalisation. A ces préoccupations viennent s’ajouter celles qui sont liés au problème de l’environnement. L’internationalisation des affaires, l’accroissement des flux migratoires, le développement d’Internet et des

notion de développement et de sous-développement La notion de sous-développement et de Tiers Monde provient d’Alfred Sauvy. C'est un monde marginalisé par " le capitalisme d'occident et le communisme oriental" (Sauvy). Le tiers monde constitue le monde du sous-développement. Aujourd’hui, il convient de parler de PVD, Pays en Voie de Développement, même si de nombreux économistes s’accordent à dire que certains pays n’ont connu aucun développement réel ! Le sous-développement est une situation

l’internationalisation des distributeurs, nous présenterons dans un premier temps, le procéssus de l’exportation des entreprises puis nous étudierons les stratégies d’internationalisation des distributeurs et son impact. I- L’internationalisation un phénomène adopté par les entreprises le processus d’exportation qu’expérimente une entreprise peut se diviser en plusieurs étapes selon les auteurs et les entreprises leur nombre varie. 1ère étape : l’entreprise ne souhaite pas exporter bien qu’elle reçoit de temps

renouvelées de développement à partir des revenus issus de consommations touristiques, susceptibles de soutenir des initiatives de développement. Variante douce du tourisme, loin du tourisme de masse, l’espace écotouristique s’étend aux confins du tourisme de nature, du tourisme culturel et des pratiques scientifiques et sportives de plein air. Une définition de l’écotourisme peut-être proposée à partir des six points suivants : 1/ nature et culture, 2/ le bien-être des sociétés hôtes et des milieux

INTRODUCTION Définition du sujet : La société française est fondée sur un certain nombre de valeurs sociales et culturelles qui sont longtemps restées presque étrangères au monde de l’entreprise, essentiellement guidé par la recherche du profit. Il apparaît aujourd’hui qu’il est de l’intérêt même des entreprises de se soucier des conséquences de leurs activités en termes sociaux et d’environnement. En devenant réellement et ouvertement responsables, les entreprises séduisent. A côté de leur rôle économique

innovation technologique. Les actions qu’elles mettent en place dans la perspective d’une ville créative sont nombreuses et s’exercent selon des modalités différentes : - soutien de lieux dédiés aux artistes et aux entreprises culturelles (Friche La Belle de mai à Marseille, administrée par une Société coopérative d’intérêt collectif) - valorisation de la recherche et de la création scientifique (Campus Paris-Saclay) soutien aux industries créatives (Île de Nantes) constitution de clusters technologiques

projets/programmes de développement en Afrique, juste après les indépendances, ont fini par admettre que dans les organisations africaines, la conception des hommes et leurs pratiques étaient souvent différentes des réalités culturelles et organisationnelles de leurs pays d’origine. Dans un ouvrage publié en 1984, intitulé « Pratique de la direction d’entreprise en pays neuf », un consultant français du nom de Haurant (1984) a fait ressortir quelques aspects de spécificités du management des entreprises en Afrique2

Master 1 : Droit et Management de la Culture et des Médias Cours : Management et économie de la culture Enseignant : Edina Soldo Résumé du cours : Contexte : Le secteur culturel est composé d’un ensemble d’acteurs aux logiques et aux statuts très divers. Face aux mutations de leur environnement, à la multiplication de leurs niveaux d’intervention et aux nouveaux défis économiques ou technologiques à relever, ces acteurs privés ou publics, individuels ou collectifs, sont aujourd’hui amenés à modifier