Société financière de radiodiffusion

Introduction Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ont, depuis une trentaine d’année, un rôle de plus en plus important dans tous les secteurs de la société un peu partout dans le monde. Elles répondent aussi bien aux besoins des entreprises qu’à celui des individus et des ménages. Définies comme l’ensemble des dispositifs et des systèmes informatiques de stockage, de communication, de traitement et de gestion de données, les NTIC ont entrainés des transformations

domaine de l'audiovisuel. Déjà dans les années 1950, il avait connu une première expérience entreprise par la société française "TELMA" qui voyait en la communauté européenne au Maroc un public potentiel. En 1951, l'autorisation d'exploitation et de diffusion fut cédée à la "TELMA" qui ne commença à émettre qu'En 1954. Ce fut une expérience qui ne durera que quelques mois. La dite société s’est vu obligée de s'arrêter, non pas à la suite d'un échec commercial mais compte tenu des évènements politiques

TC, 22 janvier 1921, Société commerciale de L'Ouest Africain « Considérant, d'une part, que le bac d'Eloka ne constitue pas un ouvrage public ; d'autre part, qu'en effectuant, moyennant rémunération, les opérations de passage des piétons et des voitures d'une rive à l'autre de la lagune, la colonie de la Côte-d'Ivoire exploite un service de transport dans les mêmes conditions qu'un industriel ordinaire ; que, par suite, en l'absence d'un texte spécial attribuant compétence à la juridiction administrative

minérale. En effet il faudra attendre le 17ème siècle en France pour constater une régularité des journaux d’informations imprimés (« Bureau d’Adresse » et « La Gazette » par Théophraste Renaudot, un des premiers éditeurs). Bien avant cela, dans la société traditionnelle il n'y avait pas vraiment de besoin de communication par un média car le niveau spatio-temporel de la communication se faisait au niveau d'un groupe (tribus, villages…). L'échange de communication se faisait alors à un niveau interpersonnel

Les médias à la Libération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 L’audiovisuel sous le contrôle de l’État . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 La crise de Mai 1968 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 6 6 7 4 La société de communication 4.1 La libéralisation de l’audiovisuel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2 L’irruption d’Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.3 Vers une démocratie d’opinion ? . . . . . . . . . . . . . . . . .

INVENTION DU JOURNAL TELEVISE Octobre 1949 : Lancement du 1er journal télévisé. Ce journal, fondé entre autre par Pierre Sabbagh est sans moyens (pellicules réutilisées, peu d’images d’extérieurs…) et provoque l’indifférence de la société française. Il est diffusé à 21h pendant 15 minutes du lundi au vendredi. Plusieurs années seront nécessaires pour l’information devienne réellement informative. A partir de 51, 52, l’équipe est dotée de plus en plus de moyens, notamment pour tenter de passer

Vêtes auUS cœur de TELUS RAPPORT ANNUEL 2012 Table des matières Vous demandez que vos actions prennent de la valeur. Comptez sur nous. Résultat Produits opérationnels Faits saillants des données financières et opérationnelles de 2012 (en millions de dollars, sauf les montants par action) +5,0 % Connexions clients Entrées liées aux activités Abonnés au service mobile BAIIA1 2012 : 3,2 milliards $ 2011 : 2,6 milliards $ +26 % Dépenses d’investissement 2012 2011 10 921ß$ 3 972ß$ 36,4

tout puissant créateur de toutes choses celui là même qui m a permis d’affronter tous les obstacles afin d’atteindre cette étape de ma vie et qui me permettra d’aller encore plus loin dans mes études afin de me faire une bonne place dans la société. A mon père qui a toujours su me prodiguer de sages conseils et qui a toujours été là pour me soutenir et m’encourager dans tous ce que je fais Je ne saurais jamais te remercier assez Puisse Dieu te récompenser. A ma mère qui a tout bravé

ne travaillent pas seuls. En effet, ils sont assistés dans leur fonction, de sept directions techniques et des services annexes. Ils sont soumis à l’autorité du directeur général du CSA. Ces sept directions sont : ƒ la direction administrative et financière ƒ la direction des opérateurs audiovisuels ƒ la direction des programmes ƒ la direction technique et des nouvelles technologies de communication ƒ la direction juridique ƒ la direction des études et de la prospective ƒ la direction des affaires

sociétal auquel les médias n’échappent pas. Depuis le début des années 60 la radiodiffusion française connaît une mutation profonde. Les postes transistor mobiles et individuels ont remplacé les vieux récepteurs à lampe familiaux et de nouvelles émissions, de nouvelles musiques attirent et captivent les jeunes auditeurs. Dans le ton, les sujets abordés, nous observons à la fois à l’apogée et à la fin d’une certaine radiodiffusion cérémonieuse, révérencielle et centralisée. C’est aussi l’émergence d’une