Solipsisme

la conscience et la vie. Pour Bergson, ces diverses démarches philosophiques qui semblent étranges au commun ont un triple attrait. Premièrement elles flattent l’amour-propre : • on pense à la seule certitude de soi-même de Descartes (un solipsisme a-t-on dit) alors que notre volonté infinie individuelle peut mettre en doute l’univers entier, nous rendant indifférent ou presque à la volonté infinie de Dieu lui-même ; • on pense à la monade individualiste de Leibniz qui se sait à l’intérieur

Je ne sais pas s’il existe un rapport entre le moi et son objet. Si je ne peux l’établir, si l’hypothèse du malin génie est vérifiée, mes représentations seraient les mêmes mais tout serait faux. Tout mon savoir serait subjectif. Briser ce solipsisme(Le solipsisme du latin solus, seul et ipse, soi-même désigne l'attitude du sujet pensant pour lequel sa conscience est l'unique fondement de la réalité des choses, pour qui rien n'existe en dehors de la conscience qu'il en a.), atteindre une autre certitude

pas de connaissances qui ne soit pas un savoir acquis par expérience ». La cse ne peut être une substance. La conscience ne peut détachée du monde des phénomènes sur lequel elle interfère » Il ne peut exister de cse sans objet. Opposition au solipsisme. Est il possible de ne penser à rien: Impossible de faire une sce vide de sens. Rep absurde car la cse et tjour préoccupé par qque chose. Hume= il n'y a pas de dualisme entre le corps et l'âme. La cse est ce qui fonde l'expérience. Autre

est inutile. La prédiction agit comme une production auto-réalisatrice. C'est le fait de connaître le futur qui va produire son actualisation. → Les attentes des scientifiques peuvent influencer les résultats → étude en double aveugle Solipsisme : Attitude d'après laquelle il n'y aurait pour le sujet pensant d'autre réalité que lui-même L'expérience de Rosenthal : Ils ont traité les rats différemment en fonction de ce qu'ils pensaient d’eux, ce qui aurait affecté leurs performances

devient coupable. Si c’est le plaisir et son évidence qu’il nous faut rechercher, ce rie peut être que dans la solitude et le renfermement d’une conscience close. Cette revendication du plaisir du corps comme critère du bonheur entraîne par essence le solipsisme. La notion même de plaisir du corps renvoie à une corporéité qui est le jardin secret, la frontière de chaque individu. Héraclite revient lancinant à nos oreilles nous rappeler ce qu’il voulait peut-être dire avec sa référence aux « bœufs » qui

l’incertitude qui entoure l’idée de sujetla conscience nous trompe sur nous-mêmes . Il va établir le fait que chez Descartes existerait ce qu’il va nommer un solipsisme càd une solitude de ce sujet , un sujet qui en apparence est au fdt de lui-même et qui, de ce fait, est connaissable par lui-même mais ce solipsisme repose davantage sur une croyance que sur des preuves qui puissent être considérées comme incontestables. Nietzsche : « honte à la suffisance de ceux qui prétendent

dehors de toute représentation sensible, n’est définitivement pas réfutable : rien ne nous dit que nous ne faisons jamais l’expérience que de nos représentations mentales. Cette insuffisance de l’expérience porte en elle la menace constance du solipsisme : l’ego serait la seule chose dont je peux faire l’expérience, tout le reste et même autrui n’existent pas dans l’absolu mais seulement en tant qu’ils sont représentés par ma conscience. Mon intériorité est la seule réalité : je suis seul. Mais

une autre qui simulerait exactement ce comportement. Après tout, nous ne pouvons même pas être certains que d’autres consciences que la nôtre (chez des humains s’entend) éprouvent réellement quoi que ce soit. On retrouve là le problème connu du solipsisme en philosophie. Travaux complémentaires[modifier] * Le mathématicien de la physique Roger Penrose[13] pense que la conscience viendrait de l'exploitation de phénomènes quantiques dans le cerveau (voir microtubules), empêchant la simulation

CRITIQUES DE FILMS FAQ PHILO 07/05/2012   Dico Philo   No comments Autrui : Définition Philosophique Autrui en philosophie Autrui, en philosophie, est un concept récent. Jusqu’à Hegel, la question de l’altérité n’avait pas droit de cité, le solipsisme (seul le sujet existait) prévalait chez Descartes et les philosophes classiques. Définition générale d’autrui : Un autre, les autres hommes, le prochain Définitions particulières de philosophes sur autrui : Hegel : “Puisqu’il est nécessaire

son propre reflet dans le miroir de l'autre ou l'autre ? Et quel est alors l'effet de leurre, de capture ou d'aliénation de l'image que nous nous faisons de l'autre, que nous lui présentons de lui-même ? Comment sortir de ce solipsisme qui fait que c'est toujours à partir de soi que l'on perçoit l'autre ? Comment en apprendre quelque chose que l'on ne s’entêterait pas à reconnaître ? En fait, ces interrogations tournant autour de la projection de soi dans