Solipsisme

indépendants du monde extérieurs, il n'y a plus aucunes perturbations puisque l'imagination se fait seul. Pour pouvoir trouver le bonheur, il faut imaginer, pour pouvoir imaginer, il faut pouvoir être seul etc.. Ce cercle peut s'inscrire dans le solipsisme, la solitude avec soi-même et pouvoir faire une introspection c'est à dire se retrouver avec nous même, apprendre à mieux nous connaître et finalement pouvoir accéder à ce bonheur si recherché, un bonheur durable. Ainsi, on peut parler d'un bonheur

est lourde, elle est épaisse, elle est difficile d’accès, mais en même temps, elle représente pour cela un interlocuteur privilégié. Car le risque qui guette à tout instant le penseur singulier, en particulier l’intellectuel, est le solipsisme, y compris le solipsisme à plusieurs. Les intellectuels parlent aux intellectuels, ou bien les fidèles parlent aux fidèles : restons entre nous. Tandis que la masse est toujours étrangère, toujours étrange. Certes elle est en un sens prévisible, mais reste aussi

l’objectivité de ses pensées et donc de l’existence d’un monde extérieur conforme à celles-ci, à l’intérieur de celui-ci, d’un autrui, sous la forme d’un alter ego. A question d’autrui n’est donc jamais dissociée de la question générale de la sortie du solipsisme d’une part, d’autre part, elle ne saurait se résoudre qu’en se fondant sur une analogie de sa conscience avec la mienne. Il nous faudrait donc un indice externe de la présence en l’autre d’une intériorité semblable à la nôtre. La solution de Descartes

qu'on commence à essayer de le connaître. Mais bien entendu, dire que la conscience de soi est par essence relation au monde ne rétablit pas encore la nécessité d'une relation à autrui, qui seule nous ferait passer d'une critique du solipsisme radical, à celle de la solitude proprement dite. Il faut faire un pas de plus dans l'analyse, ce que nous permet une autre thèse fondamentale de Hegel, selon laquelle c'est par la reconnaissance d’autrui que la conscience vient à elle-même.

sujet pensant)، شخصيّة الفرد (la personnalité d’un individu). الكوجيتو (cogito)، (ego)[23]. 2. علاقة تبعيّة (dépendance) الوعي (الشّعور) (conscience)، الفكر (pensée)، الوحدة (unité)، الهويّة (identité)، الأنانيّة (الأثرة) (Égoïsme)، الأنانة (solipsisme)، الغيريّة (altruisme)، مركزيّة الذّات (Égocentrisme). 3. علاقة تقابل (opposition) اللاّأنا (Non-moi)، الغير (الآخر) (autrui)، الفرد (individu)، العالَم الخارجيّ (le monde extérieur)، الموضوع (l’objet)، الآخر، الغير (autre – autrui). [pic][pic]

savoir alors, que suis-je ? S'il est possible de se penser sans corps et sans monde, il n'est pas possible de se penser sans pensée, je suis donc une pensée. C'est à dire une chose dont l'essence n'est que de penser. Alors Descartes en arrive au solipsisme. Ainsi, pour Descartes, la conscience est ce qu'il y a de plus facile à connaître puisque tout ce que l'on a à savoir d'elle c'est qu'elle pense. Elle joue forcement un rôle important dans la connaissance. Comment la conscience habite-t-elle

volontaire du social et voyait dans celui-ci la condition de sa propre identité à ce moment (certains parleront, de façon excessive, de postmodernité) où l’universalité fait place à la particularité et où le moi triomphe, non dans un orgueilleux solipsisme mais dans sa fusion avec ceux-là qui sont comme lui dans un espace atomisé et communautarisé. C’est la logique de la modernité qui aura mené d’un univers de l’individualisme citoyen à un univers de l’individualisme narcissique. La vie intime, privée

de Dieu et sa véracité. Le cogito est donc une première vérité, mais stérile. Il montre cependant qu'il y a une primauté du moi dans l'entreprise métaphysique de Descartes. En effe son existence s'affirme d'elle-même. En revanche, pour éviter le solipsisme, doctrine affirmant que seul le moi à une réalité, l'homme doit se tourner vers Dieu. Dans la méditation seconde, toutes mes idées ne se rapportent qu'à moi. Ces idées prouvent que j'existe, mais qu'il y a une réalité autre que moi-même, que

menaient, à un moment ou l’autre, au hors sujet ; l’absence de définition de la « solitude » n’était guère heureuse non plus. Certes, il ne s’agit pas à proprement parler d’un terme philosophique ; mais le cours l’avait pourtant évoquée à propos du solipsisme, doctrine consistant à estimer que seule notre pensée individuelle existe, donc que nous sommes radicalement seuls. Huit copies définissaient la solitude ; mais parmi celles-ci, trois ne proposaient que des pléonasmes, du type : « La solitude correspond

choses qui dépendent de nous et les choses qu'on ne peut pas contrôler pour être heureux notre conscience doit dissocier nature du destin la seule chose en notre pouvoir est notre réaction ● Bergson il y a deux problèmes concernant la conscience le solipsisme je ne peux pas connaître la conscience des autres et l'anthropocentrisme l'attitude qui consiste à appréhender le monde qu'à travers la réalité humaine pour Bergson il y a deux sortes de conscience celle qui est réfléchi celle des hommes et celle