Sommes Nous Libre De Nos Opinions

représentation mentale de ce qui a déjà été perçu. Aujourd‘hui, nous vivons dans un monde libéral. Dans un monde d’images, diffusées par la télévision, internet, par les livres ou par le cinéma. Alors, nous sommes quotidiennement entourés par les informations de sources diverses. La diffusion libre d’idées et d’opinions est l’un de droits de l’homme le plus précieux. Il en résulte que chaque citoyen peut parler, écrire ou presser librement. Mais tout cela provoque une question. Peut-on tout dire, tout

milliers de kilomètres. Difficile pour nous d’imaginer attendre deux mois comme au 19ème siècle l’arrivée de dépêches importantes. Terminé les frontières, les océans qui faisaient barrage entre ancien et nouveau monde. Par le biais des ondes, nous sommes partout à la fois. La presse informe, donne la parole aux forts comme aux faibles, aux connus et aux oubliés.. Elle est omniprésente dans notre vie et dirige nos faits et gestes à tel point qu’on ne pourrait plus envisager de vivre sans elle.

HURDIEL Camille ECS1 Devoir de Philosophie Faut-il admettre toutes les opinions ? Le terme « opinion » est souvent utilisé dans des contextes différents. Son application est donc très large et sa signification varie. Dans le langage courant, quand on demande à quelqu'un de donner son opinion, on lui demande de donner son avis sur une chose. L'opinion est personnelle, en ce sens qu'elle est mon avis qui n'est pas valable pour tout le monde. En reprenant son origine

peut être prise sous de nombreuses formes. Il y a, par exemple, celle du libre arbitre, de ses opinions ainsi que de pouvoir agir selon sa propre volonté. Ne pas avoir d'éducation ou un manque de connaissance, est-ce une entrave à la liberté ? Nous allons voir dans un premier temps en quoi l'absence d'éducation limite notre liberté. Ensuite, nous nuancerons cette affirmation. Tout d'abord, un ignorant est d'une façon moins libre car il peut se faire manipuler très facilement par une personne de plus

pourraient orienter notre réflexion vers une question plus précise: Devrions-nous renoncer à toutes nos opinions ? Nous verrons que nous devrions y renoncer car y rester attaché empêche d’évoluer et mène aux conflits. Par renoncer, j’entends le fait d’accepter de se défaire de quelque chose, de ne plus se faire le défenseur d’une idée en acceptant que celle-ci puisse être mauvaise. Par opinion je veux parler d’une manière de penser, d’un jugement personnel qui implique une position sans fondement

Hegel). c) Amor fati ! * A. Penser, c'est dire non (thèse). Penser et être libre, c'est pouvoir dire non : le refus de la crédulité et le cloute. B. Penser, c'est dire oui et affirmer (antithèse). Le cogito affirmatif comme contenu du doute * C. Penser, c'est dire « oui » à travers le « non » La négativité hégélienne. • Quelle sera notre conclusion ? Liberté et pouvoir de négation sont liés. Être libre, c'est dire « non ». CORRIGÉ   La capacité de penser est ce qui différencie, outre

conséquences et donc que nous devons par moment, garder pour nous ce que nous pouvons penser. I/Penser librement : Une libération pour l’humanité. Nous pensons tous différemment, c’est ce qui fait en autre que nous sommes différemment les uns des autres. Lorsque par exemple une question ou une opinion personnel est posé, nous avons tous un avis différents par rapport au autres ce qui parfois peut-être contraignant ou faire que nous en parlons tous ensemble en disant notre point de vue chacun notre tour sur

séries générales et technologiques auxquels ils se réfèrent. Ces notions ont été classées par ordre alphabétique. Pour chaque notion, nous avons rappelé au(x) programme(s) de quelle(s) série(s) elle se rapporte. Pour des raisons pratiques, nous nous sommes restreints à la liste des notions des programmes actuellement en vigueur, datant de la rentrée de 2003 pour les séries générales et celle de 2006 pour les séries technologiques. Certaines notions des programmes antérieurs ayant disparu (par exemple

jusqu'où ? La recherche d'une identité personnelle est-elle compatible à un monde nourri de subjectivités ? Comment trouver quelque chose de stable qu'est l'identité alors que nous sommes nous-mêmes soumis à des inconstances qui se perpétuent jusqu'à la mort ? Les autres, auteurs et/ou jugeurs de ce que nous sommes et devenons ? 1ère Partie : Tout d'abord, je découvre autrui en même temps qu'autrui me découvre, son existence est la condition de mon existence et inverse "il faut que je

| |I ) La liberté extérieure. Sommes-nous aussi privés de liberté qu’on le dit ? | | | |    A ) En quoi notre liberté est-elle limitée ? | | | |    Il est courant de dire qu’on n’est pas libre au sens où on n’a pas la possibilité