Sommes Nous Toujours Responsable De Nos Propres Actes

ses actes. Etre un sujet, c'est du coup reconnaître que nous sommes responsables de ce que nous faisons. Le sens du mot « sujet » en grammaire éclaire ce sens philosophique dans la mesure où, dans la phrase, le sujet désigne, désigne l'agent, celui qui agit, le verbe , quant à lui, désignant l'action. Néanmoins, cette conception de l'homme comme sujet pose problème. Ne sommes-nous pas quelque fois un peu comme des « objets », subissant un ordre étranger à notre volonté? Par exemple, sommes-nous

3 thèses : Thèse 1 : La conscience existe par elle-même, elle se détermine seule face à la nature. Elle est donc SUBSTANCE, c'est-à-dire la seule cause de ses actes (cause première). Elle est donc libre et responsable d’elle-même. Thèse 2 : La conscience est la source de nos préjugés, elle n’en finit pas de douter. Nous sommes déterminés par nos habitudes, par nos traditions, par notre culture et par nos origines sociales. La liberté n’est donc elle-même qu’une illusion. Thèse 3 : La conscience

est le principal représentant. Nous avons compris que l´œuvre de Jean-Paul Sartre, l´un des plus importants philosophes, dramaturges, romanciers et aussi critiques français du XX e siècle, est toujours connue et qu´elle intéresse toujours et c´est la première raison pour laquelle nous nous sommes décidée à écrire le mémoire de licence sur Jean-Paul Sartre. Dans cette phase il y avait un problème : l´œuvre de Jean-Paul Sartre est très étendue et nous avons longtemps réfléchi sur la problématique

désir pour que se pose la question de notre responsabilité ? Etre responsable, c'est pouvoir répondre de ce que l'on fait ou de ce que l'on dit. En ce qui concerne nos désirs, nous pourrions être amenés à penser qu'ils ne relèvent d'aucun choix de notre part. Je ne décide pas de désirer telle ou telle chose ou telle ou telle personne. Dans ces conditions comment en être responsable ? En effet, on pourrait penser qu’on est responsable de ce qu’on contrôle, de ce qu’on peut maîtriser, de ce qu’on peut

L’être humain est maître de la plupart de ses actions mais certaines d'entre elles peuvent échapper au contrôle de sa volonté. Est-ce à dire qu'on peut ne pas savoir ce que l'on fait ?" I/ Nous sommes conscients de nos actes II/ Pour me rendre compte de ce que je fais, je dois réfléchir à mes actes III/ Notre inconscient joue des tours à notre conscience Extrait du document: A priori, les humains savent ce qu'ils font car ils ont la capacité de penser. La véritable grande différence entre

------------------------------------------------- Choisit-on d'être celui que l'on est? Ce corrigé porte sur le sujet suivant : « Choisit-on d’être celui que l’on est ? ». Les choix que nous sommes tous amenés à faire sont chacun plus ou moins ardus, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'être celui que nous sommes, la réponse est d'autant moins évidente. En effet, l'on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario

façon ? Mais aussi sommes-nous déterminés à faire quelque chose, devenir quelqu’un ? Et nos choix sont-ils déterminés par des choses inconnus, destin , dieu.. ? L'expression « d'etre ce que l'on est », semble dans un sens évidente, nous sommes ce que nous sommes, nous pouvons pas être quelqu'un autre. Cette expression fait appel à l'identité du sujet. Mais alors, chaque personne possède sa propre identité c'est à dire que nous savons ce que nous sommes et pouvons être ce que nous sommes. Mais, dans ce

ses propres agissements. Dans quelle mesure l'homme est-il capable d'agir en connaissance de cause, avec lucidité, et quelles sont les conditions de l'accès à cette lucidité ? N'est-il pas nécessaire de lutter contre un certain nombre de puissances trompeuses qui risquent d'aveugler l'homme et de l'empêcher d'accéder à une maîtrise de lui-même qui lui assure sa liberté ? Identifier ce sujet comme sujet sur la folie ou la déraison et ne pas dépasser cette approche. Répondre par oui ou non sans

projette dans l’avenir, et l’homme sera ce qu’il a projeté d’être. Mais si l’existence précède l’essence, l’homme est responsable de ce qu’il fait. Mais en même temps qu’il se choisit, il se choisit pour tous les hommes, car il crée en même temps une image de l’homme tel qu’il pense qu’il doit être. Cela veut dire aussi qu’il n’existe pas de morale préétablie, de justification à nos actes. Dostoïevsky disait que « si Dieu n’existait pas, tout serait permis ». L’homme ne trouve donc pas non plus d’excuse

ne pas suivre ni notre raison, ni nos passions. Depuis toujours l’homme a attribué à la liberté, dans toutes ses définitions, une valeur inestimable, plus précieuse que la vie même. Elle est si estimée car elle donne aux hommes leur dignité, la capacité de se déterminer eux mêmes et vivre selon leur propres règles ; par opposition aux autres êtres vivants qui eux sont déterminés. On appelle à cette capacité humaine de s’arracher de ses propres instincts et d’autres conditionneurs le « libre arbitre »