Sommes Nous Vraiment Libre

" Bref, nous sommes libres quand nos actes émanent de notre personnalité entière, quand ils l’expriment, quand ils ont avec elle cette indéfinissable ressemblance qu’on trouve parfois entre l’oeuvre et l’artiste. En vain on allèguera que nous cédons alors à l’influence toute-puissante de notre caractère. Notre caractère, c’est encore nous ; et parce qu’on s’est plu à scinder la personne en deux parties pour considérer tour à tour, par un effort d’abstraction, le moi qui sent ou pense et le moi qui

Ejona Stojkaj! 2FRDF08 ! ! ! ! 08.12.2014! Expression écrite : texte libre 1 Clair-obscur! ! Lundi 9 avril:! ! Cher journal intime, aujourd’hui ma classe et moi sommes partis en camps, au sud de la France. Nous nous amusons bien il y a des activités très sympa à faire et tout les professeurs sont très gentils. Je suis dans une très grande chambre avec Sara et Camille et nous nous entendons très bien. La France est un pays très beau, la mer est superbe et le temps est parfait. J’espère que

Introduction : La notion de responsabilité et de conscience sont ici présentées. Etre responsable c'est se reconnaître en tant que cause et auteur de ses actions, c'est aussi être l'auteur d'un acte issu d'une décision libre. Avoir conscience signifie que nous sommes un être présent dans le monde, un sujet pensant et clairvoyant. Lorsque j'ai conscience, je suis responsable de chacun de mes actes. En tant qu’être humain, et en tant que citoyen, j’ai nécessairement autant de droits que j’ai de responsabilités

ça ne sert à rien… o Utile pourquoi ?  Pour vivre et survivre ?  Dans le monde ? dans la société ?  Pour être heureux ? pour être libre ?  Pour connaître le réel ? o Pourquoi cela ne servirait-il à rien de la rechercher ? parce qu’elle est nuisible ? ou bien tout simplement parce qu’elle est inaccessible ? Introduction Depuis que nous sommes petits, nos parents nous disent qu’il ne faut pas mentir, parce que c’est mal. Par ailleurs, on n’a de cesse de décrier, dans notre société

de sa destinée. ». D'après Sartre et Alain qui défendent l'unique sujet "je", tout homme pourrait être en relation avec lui-même à partir du moment où il en fait l’effort. Conscient et inconscient ne se distingueraient donc pas, il n'y aurait pas vraiment d'alter-ego. L’homme serait un moi, « un sujet  ‘je’ ». L'homme serait alors responsable de lui-même, de ses actes ainsi que de la conséquence de ses actes.     Un criminel peut-il se cacher derrière son inconscient pour se dérober à ses responsabilités

présentement, il s’agit d’un monde démocratique et occidental où il est facile de croire que nous sommes libres de penser librement. Cependant, sommes-nous réellement libres de penser ? Pour répondre à cette question, nous allons analyser les différentes opinions de ces fameux philosophes ; Spinoza et Voltaire. Nous allons définir deux concepts universels pour être apte à mieux appréhender la liberté de penser. Être libre signifie ne pas être la propriété de quelqu’un, contrairement à un esclave. Penser signifie

que pour pouvoir bien vivre en société, on a le devoir de respecter les règles qui s'imposent.    Et donc, de cela, nous perdons une partie de notre liberté.    Mais alors, la loi est-elle un obstacle à notre liberté vu qu'elle nous empêche d'être libre et de faire ce que l'on veut ?    Effectivement, les seules limites à notre liberté après celle de nos capacités physiques et intellectuelles sont la loi. Elle nous dicte ce qu'il fait faire et ce qu'il ne faut pas faire.     Elle nous empêche donc

morale", qui définira ce que l'on peut on non faire en société. Ou plutôt ce qu'on est LIBRE DE FAIRE ou non. Comme le dit si bien Jean Jaurès: "Donner la liberté au monde par la force est une étrange entreprise... En la donnant, on la retire." En effet dès la naissance, on va être intégré dans un monde qui dictera déjà notre conduite. Ce qui se poursuit sans cesse, plus nous grandissons et plus nous sommes exposés à de nouvelles règles, dont les lois par exemple... Arrêtons nous un peu sur

Nous allons maintenant expliquer une première phrase du texte qui est : « être captif de son plaisir et incapable de rien ni faire qui nous soit vraiment utile, c’est le pire des esclavage. ». Etre captif de son plaisir signifiant exiger la sensation ou l’émotion agréable lier à la satisfaction d’un besoin. De plus Spinoza utilise « vraiment » dans cette citation, c’est un terme qui indique de prendre en compte qu’il s’agit d’interroger toute la profondeur de l’échange. Il va donc falloir définir

des nazis, pas vraiment dans la ressemblance mais plus dans la pensé d’un mouvement commun. Suivre un chef, écouter et obéir. Ce logo est le mouvement qu’ils subissent, ils avancent ensemble en pensant à une idée commune. Le pouvoir par l’action. 3. Répondre aux questions du livre « Les questions face aux questions de la vie. » a) Les religions ne sont pas des sectes car les religions nous laissent la possibilité de faire des choix en toute liberté. Nous sommes libre de choisir ce