Sophisme

politique et l'éthique d'Hannah Arendt. Le Stagirite est également considéré, avec les stoïciens[1], comme l'inventeur de la logique : il élabora une théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Le développement des idées d’Aristote L’état du corpus aristotélicien pose la question de l’ordre de rédaction de l’ensemble des œuvres d’Aristote ; dans son Histoire de la philosophie des Grecs, Édouard Zeller écrit : « Toutes les œuvres en

politique qui influença durablement l'Occident. Le Stagirite est également considéré, avec les stoïciens1, comme l'inventeur de la logique : il élabora une théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes.  Œuvres principales : Catégories, Métaphysique

raison de la réalité. Or la vérité que l’on veut atteindre supporterait mal d’être velléitaire car doit affronter la force des préjugés, la ruse de la persuasion qui oppose à l’effort de convaincre des arguments irrationnels comme la flatterie, les sophismes, la menace, la promesse. 2) Cette intention justifie un abus d’efforts. Si cette volonté d’avoir raison conduit celui qui soutient une thèse de fermeté, voire à l’état d'une personne qui se met en colère facilement, nous pouvons encore saluer

pouvoirs, il a également le droit reconnu et exclusif d’employer la violence, si la société en dépend, selon Weber « le monopole de la violence légitime », cependant, en absence de ce droit, avec le seul statut d’autorité de l’autorité, une forme de sophisme pourrait s’appliquer ici. L’Etat peut donc mener des expériences sur ces citoyens, du moment que c’est pour le bien de la communauté. En outre, pour Machiavel, tout les moyens sont bons pour assurer la conservation du pouvoir et de l’état :

montrer une image d'Al-Qaïda agents qui élèvent un drapeau rebelle de la Maison Blanche avec le slogan "Soutenez Notre candidat ou le terrorisme Win. " Sophismes: Application logique, on peut habituellement tirer une conclusion d'un ou plusieurs locaux établis. Dans le type de propagande connu sous le sophisme, cependant, le locaux peuvent être exactes, mais la conclusion est pas. Exemple: Prémisse 1: Bill Clinton appuie le contrôle des armes à feu. Prémisse

Contradiction dans les termes. Ex. 1 : Même si c’est vrai, c’est faux (Michaux). Ex. 2 : C’est assez vague pour être clair, n’est-ce pas ? (Vian). Ex. 3 : Sur le coup de cinq heures et demie six heures (Queneau). 4 L’antilogie s’apparente au sophisme, au paralogisme, elle est un défaut de raisonnement. L’antilogie appartient au paradoxe. Antonyme : tautologie. ANTIPHRASE
 
 On emploie un mot dans un sens contraire à celui qui lui est naturel. Elle peut prendre prendre la forme d’une menace

Socrate présente donc l’illogisme découlant du relativisme. Là est donc le problème : les sophistes se basent sur leur perception d’une idée pour en évaluer la validité plutôt que sur la logique. Par conséquent, certains sophistes utilisent des sophismes, ces raisonnements illogiques ou qui paraissent logiques en apparence, et ce, dans le but de modifier la perception de leur auditoire. C’est l’art de la rhétorique, ou l’art de bien parler dans le but de persuader. Pour Socrate, c’est inacceptable

baron est « le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles » leçon de philosophie discours de Pangloss parodie la philosophie optimiste de Leibniz (comme l'indique le sous-titre) son discours comporte une accumulation de sophismes (=déclarations qui heurtent le bon sens mais avec des caractéristiques de la rigueur logique) Connecteurs logiques : « car, tout étant [ …]tout est nécessairement », « aussi », « par conséquent » Vocabulaire de la démonstration : « prouvait »

lois, comme les Sophistes, contemporains de Platon : dans la nature, est juste ce qui est à l’avantage du plus fort ; or les lois répriment les forts et protègent les faibles, elles sont donc injustes. Ce droit du plus fort est un paradoxe et un sophisme (raisonnement vicieux), car, comme le dira Rousseau, le soi-disant « droit du plus fort » n’est pas du droit, mais un fait. Or le droit redresse les torts produits par la nature ou le hasard : il est juste d’aider les malades ou les handicapés, il

dans les miennes, Ni dans les grandes lois des croyances anciennes, Ni dans nos dogmes froids, forgés à l'atelier, Entre le banc du maître et ceux de l'écolier, Ces faux Athéniens dépourvus d'Atticisme, Qui nous soufflent aux yeux des bulles de Sophisme, N'ont découvert un mot par qui fût condamné L'homme aveuglé d'esprit plus que l'aveugle-né. C'est assez de souffrir sans se juger coupable Pour avoir entrepris et pour être incapable ; J'aime, autant que le fort, le faible courageux Qui lance