Souabe

doute ses premières ballades, dont ‘’La légende du soldat mort’’, ainsi qu'une première version de ‘’Baal’’. Après la guerre, toujours entre Augsbourg et Munich, ce jeune homme, maigre et mal rasé, à la tenue négligée, qui s'exprimait en dialecte souabe, fréquenta le milieu théâtral, s’y liant notamment avec Karl Valentin, qui lui inspira peut-être certaines de ses pièces en un acte, et le milieu révolutionnaire. Il chanta ses poèmes dans les cabarets littéraires (dont celui de Karl Valentin) en

dans son ouvrage principal, Le Guide des égarés, à réconcilier foi et raison, comme Averroès, et plus tard Thomas d’Aquin. Ses écrits ont eu un impact considérable sur la communauté juive. C - Albert le Grand (saint) (1206-1280) Né à Lauingen en Souabe dans une famille noble qui combattait aux ordres de l’empereur Frédéric II, Albert le Grand se heurta à sa famille quand il voulut entrer dans l’Ordre des Frères-Prêcheurs ou Dominicains. Passionné par les études, il est sans doute de tous les grands

traces du fait de compilations décidées par certains rois, notamment la lex (romana) wisigothorum, ou bréviaire d’Alaric, composé par Alaric en 506 après J-C. Autre compilation, la loi Gombette, ou encore le miroir de Saxe, ou encore le miroir de Souabe. Ces compilations ne nous donnent qu’une idée lacunaire de ce Droit barbare, puisqu’à côté de ce Droit savant se développe un Droit vulgaire, le Droit qu’applique les juges, et qui lui n’a jamais été fixé par écrit, et qui est donc très largement

surlendemain, le pape accepte de lui parler. Henri IV lui demande alors pardon, d'où l'expression "se rendre à Canossa" cad se faire humilier. Mais une fois en Allemagne Henri IV refuse d'obéir au pape, il est à nouveau excommunié. Le pape nomme Rodolphe de Souabe anti-roi de Germanie ; Henri IV nomme Clément III anti-pape et l'envoie avec son armée s'installer à Rome (Grégoire VII va s'exiler chez les Normands en Sicile et meurt l'année suivante) : Henri IV se fait sacrer empereur du SERG. 2- Le contenu

de commun avec les sons qui nous entouraient. Une voix de femme chantait en s'accompagnant d'une guitare, non plus la melodieuse chanson sicilienne mais la naive ballade allemande. Pour la premiere fois peut−etre depuis la chute de la maison de Souabe, le pays habitue aux refrains vifs et gracieux du midi entendait le chant poetique du nord. Je reconnus les stances de Marguerite attendant Faust. D'une main, je fis signe aux rameurs de s'arreter; de l'autre, a Giovanni de suspendre son exercice

a-t-on affaire quand il est question d’un « rot-rote Regierung ») Commentaires particuliers : Le jury a attribué deux fois la note vingt ; la première à un candidat de LV1, intelligent et bilingue, auquel il n’aurait eu à reprocher qu’un léger accent souabe ; la seconde à un candidat de LV2 ; il n’était pas bilingue, et n’a pas fait un exposé sans fautes ; mais l’exposé était excellent, très nettement meilleur que tous les autres, et il avait donc atteint une sorte de perfection à un moment et à un niveau

dit aussi que le Moi était supérieur à l'humanité ; mais il n'entendait pas par là poser un idéal ou fixer un but ; il affirmait simplement que le sujet (Moi) est supérieur à son prédicat (l'humanité) ; de même que Schiller n'est pas seulement un Souabe, je ne suis pas seulement un homme ; il ne suffit pas de dire que ma main est une main humaine ; on la distinguerait sans doute en la qualifiant ainsi de la patte des autres animaux ; mais on ne tiendrait pas compte de ma personnalité ; on me confondrait

guerre des paysans porte à son comble l'anticléricalisme de la fin du XVe siècle, avivé par la Réforme. • La défaite et ses conséquences Après quelques difficultés à mobiliser les lansquenets, terrorisés ou séduits par les paysans, la Ligue souabe parvient à s'organiser. Elle écrase des paysans divisés, peu aguerris au combat et mal équipés. Les affrontements tournent au massacre des rebelles. L'échec de la guerre des paysans n' aboutit pourtant pas à l'asservissement de la paysannerie allemande

de la chape noire des chanoines espagnols, ces prêcheurs impeccables, du fait de leur formation intellectuelle, ont animé les universités et fourni les plus grands savants du Moyen Âge : Albert le Grand (dominicain, théologien et philosophe, né en Souabe (1193/1280), il fut le maître de saint Thomas d’Aquin) et Thomas d’Aquin ((1225/1274) théologien italien, dominicain, enseigna surtout à Paris, son enseignement tournait autour d’une harmonie entre la foi et la raison). Au même moment, en Italie

s’affirmera l’allié fidèle de l’empereur Henri IV en lutte contre la papauté lors de la Querelle des Investitures. Alors même que les princes allemands élirent Hermann, comte de Salm et frère de Conrad Ier, anti-roi en lieu et place de Rodolphe de Souabe († 1080, bataille de l’Elster), Conrad Ier resta fidèle à Henri IV. À la fin de sa vie, en 1083, Conrad Ier fit ériger le long de l’Alzette une église dédiée à saint Pierre, noyau de la future abbaye bénédictine de Notre-Dame, qu’il fonda en tant