Souffrance Et Désillusion

retour d'Angleterre alors que sa relation avec Paul Verlaine commençait à s'envenimer, et a été terminé en août après sa rupture définitive. Une saison en enfer relate les souffrances proches de la folie d’Arthur Rimbaud qui l'ont conduit aux portes de la mort et l'échec de son expérience de poète voyant. Il parle de ses désillusions, de ses doutes mais aussi de ses espoirs. 1er extrait : l'éclair « - Qu'y puis-je ? Je connais le travail ; et la science est trop lente. Que la prière galope et

récit très court, indicible. Champ lexical du corps souffrant pour une agonie. Euphémismes. Registre pathétique : - Champ lexical de la mort - Tendresse des gestes réciproques. - L’acceptation de Manon. - Hyperboles pour traduire l’excès de souffrance - Allitérations en « s ». - Adresses à Renoncourt (pris à témoin) : phrases injonctives = prières, excuses. - Passage du « nous » au « je ». Registre tragique : Le poids du destin (vocabulaire : malheur, infortune, misérable). Visée de l’auteur

inculquées et se demande comment, lui qui n'a jamais connu autre chose que la guerre, va pouvoir mener une vie normale une fois ce désastre fini. La souffrance physique est poussée à son paroxysme, les corps sont dénudés et découpés, réduits en charpie par l'artillerie, la blessure espérée comme un billet de retour à l’arrière, cette fraternité dans la souffrance entre des hommes martyrisés qui, lors de leurs permissions, n’arrivent même plus à exprimer ce qu’ils vivent sur le front, car les gens de l’arrière

considérés comme surendettés, le surendettement est devenu incontestablement un fait de société. Il interroge à la fois le fonctionnement de notre société de consommation de masse, « marchande d’illusion » qui pousse à dépenser toujours plus, et la souffrance, le mal être de ceux, qui pour de multiples raisons, ne peuvent y résister. Depuis la fin des années 1980, les travailleurs sociaux, et en particulier les conseillers en économie sociale familiale, ont eu à accompagner un nombre croissant de personnes

bien-aimé », suggère l’histoire d’un amour malheureux. Il s’agit donc, traité sur le mode du lyrisme élégiaque (expression d’une plainte, de sentiments mélancoliques), du récit d’un échec sentimental, où dominent le poids des souvenirs, la souffrance et la désillusion. Hanté par la pensée de celle qui l’a repoussé, Apollinaire croit partout reconnaître la femme qu’il ne cesse d’aimer et à qui il reproche amèrement de l’avoir trahi. Cette obsession et cette déception s’expriment dans le récit de deux

la découverte d’un Humanisme moderne, fondé sur des valeurs différentes. Commentaire Composé : Les Regrets de Du Bellay « Heureux qui comme Ulysse » : sonnet 31 1. Le poète exprime sa nostalgie du pays natal par un manque affectif, par la souffrance et la modestie 2. Il montre également de manière soutenue sa préférence nationale en faisant l'éloge de sa province, qui renforcé par l'opposition avec Rome donne au sonnet une dimension nationale 3. Ce texte apparaît comme humaniste par

L'amour est devenu une nécessité vitale pour Éluard, lui assurant sa présence au monde, lui donnant vie. L'amour a un pouvoir infini sur la mort et l'absence. En fait, Éluard nous dit que le sentiment amoureux est sans doute le seul remède à la souffrance et au chagrin et qu'il est un élément essentiel à la quête spirituelle d'un bonheur durable. L'amour, seconde partie du titre occupe toute la seconde strophe. 3-La vie continue, un nouvel espoir Quand on est amoureux, tout paraît beau autour

un chacun. Faire preuve de fanatisme, c'est faire preuve d'étroitesse d'esprit, car on ne s'ouvre à aucune autre forme de pensée. La nôtre étant la seule correcte, les autres ne valant rien. Je trouve cela horripilant, nous n'avons pas idée des souffrances que doit provoquer ce fanatisme. De plus le fait de se fermer aux autres doit créer de grandes tentions. Effectivement, si des personnes insistent pour proposer leurs idées, idées qui nous paraissent fausses et sans importance, cet enchainement

d’hésitation sa peur. D’après ses termes «  m’apparaît » « j’ai peur qu’un immense bonheur » Jérôme a peur du réel, peur de concrétiser le sentiment amoureux : le mariage, le bonheur, le voyage. CF : Stendhal et la cristallisation des sentiments : désillusion dans le principe de cristallisation car plus d’illusion dans l’évanescence. Jérôme ne sait pas analyser ce qu’il a entendu « Je lui ai demandé » puis réponse en rythme ternaire. Ce rythme ternaire est impressionnant et nous emmène dans le voyage

l'utilisation de cet adjectif, Dorante se démêle de son rôle passif et confus et se défend, argumente L11 et 14 : arguments judiciaires = reste a sa place d’intendant L14 ‘Ciel ! Je suis perdu.’ : apparte Dorante + interjection = montre son désespoir + désillusion L14 ‘ Mais, Madame, vous n'aviez aucune inclination pour lui.’ : conjonction de coordination ‘mais’ = timide opposition a union improbable Comte + Araminte (NB: au début de la pièce