Souffrance

personnelle douloureuse. « Dans quelle mesure la poésie permet-elle le dépassement d'une épreuve » ? La douleur du poète peut-elle être transcendée et sublimée dans ses vers? Ainsi, la poésie offre-t-elle vraiment au poète la possibilité de sublimer sa souffrance ou est-elle nécessairement un travestissement de l'expérience vécue qui condamne le poète à l'universalité? [I. Certes le poète peut sublimer sa peine dans ses vers] [A. Dire sa peine] Les vers retracent bien souvent la trajectoire biographique

nouveau : une guerre d’usure. f. Idée principale : dans cette lettre le soldat parle de son expérience combattante et témoigne des souffrances endurées par les soldats (il emploie à 3 reprises ce terme). Ces souffrances sont dues à la nature des combats, ce sont des souffrances physiques et morales. 2- Analyse du document : Cette lettre apporte un témoignage sur les souffrances des soldats : Des combats très meurtriers : Les pertes énormes : 300 survivants sur 1200 après un assaut. Verdun un bataille

mise en valeur de « toi » dans la forme emphatique « Car c’est toi qu ‘elle fuit » semble résonner comme une accusation envers lui-même. Mais si le poète exprime son amour et n’hésite pas à se faire des reporches, c’est surtout sa solitude et sa souffrance qu’il fait ressortir. Le poème est un poème de désespoir. La solitude du poète est complète.Le mot « solitude » est mis en valeur par la construction redondante, le pronom « y » annonçant le nom commun. Et la rime riche entre « solitude » et

nombreuses opérations et jusqu’à l’amputation d’un pied. C’est après cet accident qu’elle se mit à peindre. Elle mit plusieurs miroirs dans sa chambre d’hopitale afin de peindre son autoportrait. L’ensemble de son œuvre parle de cet accident et de cette souffrance, ainsi que de sa relation avec son mari Diego Rivera, un célèbre peintre mexicain. Elle mourut en 1954. Description et analyse de l’œuvre Description La colonne brisée est un autoportrait faite à la peinture à l’huile, de petit

à qui Dieu (…) l’avez vous éprouvé ? ».) L’emploi de la deuxième personne du pluriel montre qu’Hugo s’adresse au lecteur. De plus, il fait référence aux « pères, mères, dont l’âme à souffert ma souffrance ». On constate ici qu’il se met en lien avec d’autres parents, qui pourraient comprendre la souffrance qu’il ressent, celle de perdre un enfant. Enfin, il leur demande s’ils ont déjà éprouvé ce qu’il à éprouvé. A travers cette question, l’auteur de nouveau cherche à se mettre en lien avec le lecteur

toi, qui seul enfin aurais le droit de te venger, que fais-tu loin de moi ? Viens punir une femme infidèle » La souffrance qu’elle éprouve est profonde, dans sa folie on voit qu’elle est tout de même consciente de son état et que c’est l’amour qui la conduite à la déchéance. On peut d’ailleurs relever le champ lexical de la souffrance : « tourmentées, dégradées », « ôtes moi mes souffrances », « infortune », « cruel », « haine » … B) Une profonde solitude Dans son délire, elle pense également être

française. L'extrait Levez-vous vite, orages désire nous présente un personnage exilé en Amérique correspondant parfaitement au contexte historique des romanciers ponctué par la «Vague des passions». Nous nous concentrerons sur ce mal en démontrant la souffrance du héros, son lien privilégié avec la nature ainsi que son désir d’échapper au mal dont il est atteint. Nous constaterons que ce mal influence l'affectivité du personnage, qu'il se consolidera avec la nature et qu'il trouvera dans l'évasion une

à ces yeux, donc entrainera par la suite une souffrance. D’autres désirs pourront être comparés à des rêves car il est impossible à quelques personnes de satisfaire ce besoin en raison de plusieurs facteur de la vie (rang social, une peur des conséquences...) Le fait de ce demander si désirer rime avec souffrir revient à se demander si ce désir, peut entrainer autre chose que souffrance. Nous allons voir dans quels cas le désir engendre la souffrance ou bien, chose positive? Voyons d’abord, comment

donc intéressant de voir comment s’exprime le conflit tragique auquel est confrontée Phèdre. En apprenant la nouvelle, la jeune femme extériorise sa fureur qui passe progressivement de la jalousie au désir de vengeance mais laisse voir également la souffrance qui l’anime en imaginant le bonheur des amants. La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance. Dans cet extrait, Phèdre laisse éclater sa jalousie, sentiment qui surpasse

admet que Thiberge accède au bonheur malgré les frustrations on peut admettre que l'amour de D.G. est parsemé de douleur. La première partie du texte développe le bonheur paradoxal du martyre et la seconde partie va développer le bonheur dans le souffrance amoureuse. « Toute chose ne paraisse égal de votre coté comme du miens » « Tissue de malheur » fais l'écho de « mille peines » De la même façon par laquelle un saint va souffrir pour atteindre la félicité, D.G. va souffrir pour atteindre