Soumettre Sa Volonté

Thèmes concernés: l'inconscient, le jugement, la volonté, l'erreur et la faute, la responsabilité, l'hérédité, le doute méthodique "je veux ce que je pense". Racines: Platon, la distinction du savoir et de l'opinion (le soleil, la ligne la caverne dans La République, fin du livre VI et début du livre VII) Descartes, le doute méthodique, la volonté de recommencer à zéro, le fondement de la philosophie, préparer l'exercice de la volonté en la fondant sur la science. Kant, théorie de la connaissance;

liberté de penser réside dans le libre-arbitre cartésien ; celui-ci est en effet la « volonté nue », le libre-arbitre représente la capacité d'accepter ou bien de refuser ce qui se présente à notre esprit. De cette capacité naît ainsi une opinion, opinion d'où découle la pensée. Descartes qui est l'origine du dualisme cartésien et du libre-arbitre a affirmé que « si l'entendement de l'Homme est limité, sa volonté est infinie », la capacité de libre-arbitre que chaque esprit possède est infini ; ainsi

obéissance, il entend respecter les lois de l’État mais sans se soumettre. L'obéissance n'est pas une contrainte, on est libre de choisir d'obéir ou non car si on est contraint, ce n'est plus par obéissance que l'on agit. Mais le citoyen à intérêt à obéir car ainsi il assure l'ordre dans la société. Le citoyen doit obéir tout en résistant. Résister, ce n'est pas désobéir, ce n'est pas faire la révolution, mais c'est refuser de se soumettre. C'est une résistance de l'esprit passant par la critique du

n’est pas dans la résignation et que ses aspirations le poussent sans cesse à agir. Dans ce cas, quelles sont les motivations qui doivent déterminer ses actions ? Développement Il semble à priori que le bonheur ne dépend pas toujours de notre volonté mais de facteurs extérieurs qui selon les cas jouent plus ou moins en notre faveur : la naissance, les aptitudes physiques et intellectuelles, l’environnement social… En effet, comment être heureux dans des conditions que nous n’avons pas choisies

exprimer directement sa volonté dans le cadre des référendums, qui peuvent porter sur certains projets de loi ou sur les révisions constitutionnelles. Ainsi, la Constitution prévoit trois applications différentes du référendum. Ainsi, la France par son article 89 de la Constitution et les textes constitutionnels de l'Autriche, de l'Italie et de la Suède donnent la possibilité aux parlementaires (Autriche, Italie, Suède) ou au chef de l'État et des parlementaires (France) de soumettre une révision au référendum

Compte-rendu « Les comportements agressifs du jeune enfant et la gestion des conflits entre eux »Conflit  : rencontre, confrontation entre deux désirs, deux volontés qui s’opposent, deux intérêts différents. Situation où chacun affirme sa volonté mais rencontre celle de l’autre et se heurte à cette réalité. C’est quelque chose de vivant. Les conflits permettent  aux enfants :· Au niveau de la construction de son identité : d’affirmer leurs désirs. En s’affirmant l’enfant montre

à sa durée. Dans cet objectif, il institua de nombreuses lois dans la nouvelle Constitution de 1958 à son état originel ou même par suite, par les procédures de révisions de celle-ci. La loi du 3 juin 1958 peut être un de ces exemples de cette volonté gaullienne de renforcer le pouvoir exécutif et de ce fait, de le rendre indépendant au Parlement. Elle instaure, dans les conditions de fond de la nouvelle Constitution que « seul le suffrage universel » sera « source du pouvoir (…) ». L’année 1962

normes, les faire exécuter, et juger. Le pouvoir législatif : Organise la vie en société, en fixant des règles. Pour Rousseau la loi est l’expression de la volonté générale, depuis 1958 en France elle doit être conforme à la constitution. Cependant le parlement créer également des normes individuelles. Le gouvernement peut soumettre à l’assemblée un projet de loi (pour l’assemblée on parle de proposition de loi). Enfin le peuple peut lui même voter une loi avec un referendum. Le pouvoir

En terme politique la loi du plus fort est une loi de la nature. Ainsi le plus fort l’emporte sur le plus faible. Par conséquent, l’obéissance à la force est incontournable, « céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté ». Si l’homme accepte de se soumettre, ce n’est pas par choix, mais par obligation. A partir de ce moment, l’homme n’est plus libre. Si Rousseau parle d’une nécessité, il veut souligner que la force n’est qu’un moyen de causse à effet, c'est-à-dire que l’homme sera

pas un état libre ». La liberté du citoyen se définit pas le respect de la liberté de l’autre citoyen et le souci constant du bien de tous. Aussi Rousseau ajoute : « la liberté consiste moins à faire sa volonté qu’à n’être pas soumis à celle d’autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre ». La liberté perdrait tout signification, si elle impliquait non pas un rapport de droit entres les hommes, mais des rapports de force. La liberté naturelle, au sens du « je peux