Sources Modernes Et Traditionnelles Du Droit

2013 exposants: Modeste SESSOU Introduction Mariama Ba, née en 1929 et décédée en 1981, est aujourd’hui une figure emblématique de la littérature francophone issue du Sénégal. Elevée par des grands-parents traditionnels, Eduquée dans une école française, diplômée de l’Ecole Normale des Jeunes Filles à Rufisque, enseignante, mère de neuf enfants puis divorcée, elle se retrouve dans une condition qui la prédispose à avoir un regard critique sur la société sénégalaise

FONDEMENTS DU DROIT En droit il est usage de commencer une analyse par la définition de l'objet étudié, le mot droit est très général, et en cela il est susceptible d’exceptions diverses, il peut ainsi revêtir de nombreuses connotations politiques, morales, culturelles, économiques, sociales ou historiques. Pour préciser cette définition, ces 2 dernières dimensions sociales et historiques retiendront plus particulièrement notre attention pour illustrer les fondements du droit. I) Le droit, un phénomène

(héritage), la transmission des charges et fonctions, voire la distribution de l’autorité dans les sociétés traditionnelles. Lorsque l’individu se rattache socialement à ses ascendants par sa mère, la société est dite matrilinéaire. Dans ce modèle, le pouvoir reste malgré tout le plus souvent du côté des hommes : oncle maternel qui exerce l’autorité sur les enfants de sa sœur. Si les droits sociaux, le rang, le nom, la religion, les ancêtres, les biens sont transmis par les parents paternels, c’est-à-dire

société. Elle modifie les représentations, les visions du monde traditionnel. Indéniablement, la sociologie apparait pour tenter de comprendre à la fois la nature de l’ordre social et aussi comprendre les raisons de la remise en cause de cet ordre, comprendre comment les choses ont pu être bouleversé à ce point. b) Les modifications de l’ordre social traditionnel, non sans contestation Cet ordre social traditionnel était miné de l’intérieur par ce qu’on peut appeler le mouvement

Plan du cours Introduction : de la permanence des questions philosophiques au cœur de la modernité 1-Analytique de la modernité : cadre conceptuel 2- Quelques courants de la philosophie moderne 2.1- Le tournant galiléen ou la reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question

cohésion sociale. Pour cela, nous expliquerons le passage des sociétés traditionnelles aux sociétés modernes qui sont des sociétés plus individualistes mais plus solidaires. Toujours dans cette partie, nous observerons les 4 grandes instances intégratrices favorisant les liens sociaux entre les individus. Enfin dans une seconde partie, nous tenterons d'expliquer la fragilisation de la cohésion sociale dans nos sociétés modernes en abordant les mutations des 4 instances d'intégrations débouchant sur

sénégalaises, comme inférieure à l’homme et devant se soumettre à lui, ou du moins comme une personne devant seulement s’occuper de son foyer, la femme africaine a fini par se mettre à l’écart de toutes les sphères de décisions même dans la société moderne. Elle devait obéir à ses parents, à son éposc ; son avis n’étant presque jamais tenu en compte. Elle n’est pas consultée avant les prises de décisions même pour ce qui la concerne. Son rôle principal était non seulement de s’occuper du foyer mais

****** Plan ****** Introduction Chapitre I : Le contrôle social * Section I : La sécurité et contrôle social * Section II : Les formes d contrôle social Chapitre II : l’évolution du contrôle social * Section I : Des sociétés traditionnelles * Section II: Aux sociétés contemporaines ****** Introduction ****** La montée de la violence s'évolue sur deux échelles d'importance variable selon les pays: celle des actions terroristes menées par des organisations clandestines

| | |dernière acception, elle est utilisée dans une équation mathématique. | |ALIENI JURIS |Terme intraduisible sans équivalent en droit français, ancien ou moderne. | | |Cette expression désigne une personne placée sous l’autorité d’autrui (potestas*). | | |Ainsi sont alieni juris* tous

la lecture des ces ouvrages, j’ai vite été frappée par la virulence de certains passages. J’ai eu quelques difficultés à concevoir qu’on puisse accuser des auteurs tels que Descartes, Rousseau, Kant d’être à l’origine des pires maux de la société moderne comme en témoignent les quelques passages qui suivent ; [4] « Descartes a été le premier et le plus célèbre propagandiste de cette raison « désengagée », et il a fait un choix lourd de conséquences, souvent imité depuis. » [5] « La politique d’égale