Sous-emploi

Bibliographie p.3 Introduction p.4 I. Les causes p.6 A. Les causes économiques du chômage p.6 B. Les causes démographiques et sociologiques du chômage p.6 C. Les causes des emplois précaires p.7 II. Les conséquences p.8 A. Les effets sur l’individu p.8 B. Le cout du chômage et de la précarité p.11 III. Les solutions p.12 A. Les politiques actives de l’emploi

et du soutien du réseau de placement spécialisé Cap Emploi ; • de bénéficier de l’obligation faite aux employeurs de prendre des mesures appropriées afin de vous permettre d’accéder ou de conserver votre emploi, de l’exercer, d’y progresser ou de bénéficier d’une formation adaptée ; • de bénéficier d’aménagements d’horaires individualisés propres à faciliter votre accès à l’emploi, l’exercice professionnel ou le maintien dans votre emploi, ou de règles particulières en cas de rupture de son

distingue 6 sous-secteurs en fonction de la source principale de revenu (revenus d’employeurs, rémunération de salariés, etc.) : • Employeurs • Salariés • bénéficiaires de revenus de la propriété • bénéficiaires de pensions • etc. B. Formation du revenu des ménages (année 2007, comptes 2008) Compte de production: Ressources : PM (P° des EI + P° de services de logements) : 246,7 PEFP (P° de services domestiques + P° de services de logements des propriétaires occupants) : 178,6 Emplois : CI :

flexibilité et de permet de mieux survivre aux fréquents changements et réorganisations que peut subir l’entreprise. L’indispensable orientation qu’elle doit adopter est la promotion de l’embauche des jeunes (les 18-25 ans), mettre l’accent sur les emplois dits « verts » et une obligation de former tous les salariés, afin d’arriver à une équité de l’accès à le formation. La réforme du 5 mars 2014 a d’ailleurs été faite en vue de résorber bon nombre des problèmes évoqués ci-dessus. Elle a pour but d’instaurer

CROISSANCE, PROGRES TECHNIQUE ET EMPLOI * Accroche : cf. luddisme sujet PT emploi : distinction aspect qualitatif/quantitatif PROGRES TECHNIQUE ET CROISSANCE PT permet des gains de productivité du travail -> hausse des salaires + baisse des prix + hausse des profits -> gains de part de marché -> hausse de la demande -> croissance ->création d’emplois CONSEQUENCES PT SUR LE VOLUME D’EMPLOI .thèse de Sauvy (thèse

spécifiques à chaque travail B) Le travail comme emploi Le travail est également un emploi et non plus un système de production : - au niveau microéconomique : « j’ai ou non un travail », j’ai un rôle - au niveau macroéconomique : - classification et structure des emplois - évolution de cette structure (tertiarisation, féminisation,…) - gestion des emplois (flexibilité du travail) - sous-emplois (chômage) C) Le travail comme organisation

pour l’enquête (ce qui inclut les personnes ayant trouvé un emploi débutant ultérieurement), qui sont disponibles, cherchent un travail rémunéré et sont effectivement à la recherche d’un emploi. Au cours de l’enquête-emploi, qu’il conduit en France chaque année, l’INSEE utilise la définition du BIT, mais de façon restrictive pour la première condition (être dépourvu d’emploi) et mesure la PSERE (population sans emploi à la recherche d’un emploi). Mais c’est l’ANPE (Agence nationale pour l’emploi) qui

sans emploi et en recherche un. L’analyse économique distingue plusieurs types de chômage. La typologie la plus récurrente est celle basée sur la cause : mobilité volontaire des travailleurs ; niveau d’activité (conjoncture) et structures économiques et sociales. Citons-en trois principales et deux secondaires : 1. Le chômage frictionnel, (ou chômage de mobilité,chomage naturel): les travailleurs employés sont en permanente mobilité. À tout moment, des individus quittent leur emploi pour changer

chômeurs se lancent dans des occupations de bâtiments administratifs (ANPE, ASSEDIC, bâtiments EDF etc.), de lieux de mémoire à haute valeur symbolique (Normale Sup’, IEP) et organisent de nombreuses manifestations locales ou nationales. Ces sans emplois étaient alors réputés isolés, incapable de se mobiliser, sans aucun tissu social ou syndicale fort au niveau national. Une sorte de déterminisme de l’inaction et de la passivité leur été jusqu’ici conféré. Il convient alors de se demander comment

concernant les Contrats de Qualification, d’Orientation et d’Adaptation), contre seulement 67 000 pour les emplois marchands hors alternance (Soutien à l’Emploi des Jeunes en Entreprises…) et 31 000 pour les emplois non marchands (Emplois jeunes, Contrats Emploi-Solidarité…). Concernant l’ensemble, 712 000 emplois aidés sont occupés par des jeunes de moins de 26 ans, représentant a priori 24.7% des emplois jeunes de cette tranche d’âge. (cf. tableau 5+ graphique4, doc 4) De même au niveau européen durant