Sous Nutrition Chine

sanitaire, nutritionnelle et organoleptique des aliments. Pierre Feillet a été mandaté comme maître d’oeuvre, et a proposé d’organiser différents groupes de travail, par filière. Ce travail concerne les filières céréales et oléagineux. Il a été élaboré sous la responsabilité de Joël Abécassis, ingénieur de recherche à l’INRA/UMR-IATE (Ingénierie des Agropolymères et Technologies Emergentes) et Georges Vermeersch, directeur de la prospective et des innovations de SOFIPROTEOL – l’établissement financier

quantités (à l’échelle globale) : 1950 2014 Population mondiale (Mds) 2,5 7,1 Ration alimentaire par pers. (Kcal/j) < 2 500 2 8002 Malthus vs Schumpeter : Quelques tentatives de réduction de la croissance de population mais résultat limité sauf en Chine (Dictature) ≠ Inde (Démocratie ; scandale des stérilisations dans les années 70) qui finalement a engrené une « Révolution Verte ». Evolution de la production céréalière 1950 2014 Surfaces emblavées (M d’ha3) 560 8004 + 42 % Surface / hab. (ha) 0

bénéficie d'une alimentation équilibrée et d'un bon encadrement sanitaire et médical, l'espérance de vie y est donc élevée. Les pays pauvres, en revanche, connaissent encore des problèmes alimentaires (852 millions de personnes en 2002 souffraient de sous-nutrition). Dans certains pays, la situation est si fragile que la famine peut survenir très vite. Par ailleurs, l'hygiène et la santé sont moins surveillées. L'espérance de vie y est donc plus faible et la mortalité, infantile en particulier, plus importante

individus souffrant de la faim (malnutrition, sous-nutrition). La hausse des prix des matières premières, mais également les changements dans les régimes alimentaires, l'urbanisation, l'utilisation des parcelles pour la production de biocarburants ou encore le problème des subventions aux agricultures développées, rendent cette cible difficile à atteindre. L'Asie du Sud et l'Afrique sub-saharienne sont les zones les plus touchées par la sous-nutrition infantile. Objectif 2 : assurer l'éducation primaire

leur faim au Sud. L'envolée récente des prix des produits alimentaires n'a pas les mêmes effets au Nord lorsqu'on dépense 15 % de ses revenus pour s'alimenter et au Sud lorsque ce sont 80 % qui y sont consacrés. - Le Nord qui, il y a peu, croulait sous les stocks, subventionne la production agricole et cherche à promouvoir une agriculture économe, responsable, bio, ouvre le débat sur les OGM, là où le Sud a du mal à se nourrir et réclame une agriculture productiviste qui utilise toute la palette

scientifique de la population (UIESP) Le problème démographique est européen, crainte de la dénatalité, pertes de la guerre 10 Conférence de Rome 1954 Après guerre : décolonisation, apparition sur la scène mondiale des pays pauvres – – « Pays sous-développés » Puis vers 1960 : « pays en voie de développement » 11 Les ressources mondiales peuvent-elles suffire pour les besoins d’une population croissante ? La thèse marxiste, développement économique et transformations politiques, prédomine

productivité dans l’agriculture) a fait reculer la pénibilité des conditions de vie et de travail des agriculteurs. Cependant le nombre d’agriculteurs a considérablement diminué. L’intensification de l’agriculture des années 1960et 1980 est aussi connue sous le nom de « révolution verte ». Elle assurait la sécurité alimentaire, tant en qualité qu’en quantité, dans les pays développés et rationner certains pays en voies de développement comme l’Inde. Les pays en voies de développement n’ont pas pu bénéficier

SANTE ET ENVIRONNEMENT : LA CHINE Lire le dossier avec un atlas INTRODUCTION I. La Chine : diversité et inégalités, un panorama A- Milieu physique et santé B- Un pays entre tradition et modernité C- Environnement social et santé: les inégalités en Chine 1) Monde rural/ monde urbain: le contraste épidémiologique 2) Les inégalités homme/ femme II. Le bilan de santé A- Un problème de santé publique : la pollution 1) Les pollutions domestiques 2) Les pollutions industrielles et agricoles B-

d'Amérique du Nord peuvent avoir un moyenne a plus de 3200 kcal/jour/personne, contre moins de 2200 kcal en Afrique subsaharienne (et même à moins de 1900 kcal au Burundi, en Ethiopie, Somalie,...). Le problème est à la fois un problème de quantité (sous-nutrition si la ration descend en dessous de 2100 Kal/j. On parle de situation de famine quand la ration tombe à moins de 1500 Kal/j) et de qualité (malnutrition : on distinguera la malnutrition par excès (de graisse et de sucre dans les pays riches entrainant

permit de produire plus sur le même espace par intensification du travail du à la mécanisation (une moissonneuse-batteuse) et la motorisation (apport d’eau sous pression). Le développement de l’irrigation : (Paysage irrigué au Kansas, Rampe d’arrosage dans la Beauce-France), l’artificialisation des modes de production agricole (cultures sous serre dans le Campo de Dalìas en Espagne) et traitements chimiques (fertilisants, protection phyto-sanitaire, des pesticides) ce qui a conduit à des Révolutions