Souverain Bien Descartes

l'humanité. 2- Contexte historique et social dans le quel se déroule cette révolution ? Contexte historique : La philosophie de l’anglais John Locke (1632-1704) se répand de plus en plus en France. En effet pour lui le peuple demeure seul souverain véritable et tous les hommes possèdent des droits naturels inébranlables. Or Louis XIV meurt en 1715 après un règne ayant notamment favorisé l’apogée du pouvoir royal et le retour à un ordre moral. A sa mort apparaît alors la Régence de Philippe

l’indifférence à autrui). Dans cet état de nature, les hommes ne connaissent ni le bien, ni le mal ; ils vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition de

communément théorie des Idées : celle-ci interprète le monde sensible comme un ensemble de réalités participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est, selon le contexte, tantôt le Bien, tantôt le Beau. La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon le modèle du Bien en soi. Platon est né à Athènes dans le dème de Collytos, en 428/427 av. J.-C., pendant l'archontat d'Aminias (Diogène Laërce le fait toutefois naître à Égine), deux ans après la mort

dans leur réflexion les facteurs économiques : richesse, satisfaction, rareté, échange … Un contexte original - Contexte politique : lié à la notion d’Etat Nation en train de s’imposer sur le système féodal. L’Etat Nation repose sur des souverains détenteurs du pouvoir absolu et centralisé sur un territoire et un peuple. Il impose ses institutions : justice, administration fiscale et armée. Or celles-ci nécessitent des ressources pour fonctionner. L’économie politique apparaît ainsi avec

quelque chose, quand on porte un jugement qui exclut le doute et la crainte de l’erreur. Le critérium de la certitude est l’évidence par laquelle l’esprit humain est placé dans une espèce de contrainte : telle vérité me paraît certaine parce que je vois bien qu’il ne peut pas en être autrement ; cela « saute aux yeux »[2], je ne peux pas ne pas voir qu’il n’est pas ainsi. Division de la certitude. a)Du point de vue de son fondement, on peut diviser la certitude de manière ternaire. Elle peut être

l’amour, tandis que deux soldats amoureux transis d’une France personnifiée s’apprêtent à se sacrifier pour sa vie ; l’amour est créateur d’agir, il pousse vers son objet, pousse à l’action, mais cette dernière si elle tend à être sublime peut tout aussi bien être destructrice – pour soi et pour autrui. Son amour pour la France mènera l’un des soldat à la mort, mais la raison en est belle. Mais à l’inverse, celui qui tue son amant par amour pour lui est-il tout aussi louable, ne sera-t-il pas plutôt considéré

pensée dans l’expérience, le ici et maintenant. 2e opposition : les Anciens mettent en avant la communauté tandis que les Modernes mettent l’individu à la place du tout. Les Grecs ont une conception holiste du politique. Ils ont la même conception du Bien, de la communauté. La Modernité, elle, n’offre plus ces garanties : elle ne peut plus s’ancrer dans une transcendance puisque, précisément, elle met l’individu à la place du tout. En fait, ce qui détermine le citoyen antique, c’est sa naissance dans

C’est avant tout un bourgeois, un homme qui vit dans le bourg, la ville. Son septième chapitre « De la ville » décrit Paris qui aux yeux de tous à cette époque s’appelle la Ville. La première phrase du chapitre nous indique que l’on parle belle et bien de Paris. Paris traversée par La Seine. Paris constituée de quartiers qu’énonce LB comme le Marais, l’île Saint Louis… Paris, cœur de la France et des français, si elle est organisée géographiquement en quartiers, elle s’organise aussi en « coteries »

la clarté des règles et la fixité des institutions. Il y a eu la volonté de substituer une légitimité à une autre, au nom de la raison. C’est une réelle rupture entre la légitimité de droit divin et celle du peuple souverain. Tocqueville, cité dans le manuel de Gicquel, résume bien ce phénomène de rupture : « Les français ont fait en 1789 le plus grand effort auquel se soit jamais livré aucun peuple, afin de couper pour ainsi dire en deux leur destinée, et de séparer par un abîme, ce qu’ils avaient

tendance commune est présente. Le nom de « Lumières » vient de la volonté des philosophes du XVIII siècle, « d’éclairer l’esprit des hommes par l’usage de la raison, en combattant l’ignorance et les préjugés ». Le mouvement des Lumières va toucher aussi bien la philosophie, l’art, que la littérature et va transformer la société. Les Lumières naissent aussi des avancées des sciences et de l’étude de terre non européenne. Les sciences progressent de façon spectaculaire : physique, chimie, biologie, sociologie