Souverain Bien Descartes

comment se sont petit à petit tissés les liens entre la raison et la liberté. Chapitre 1 : L’invention de la raison Le premier chapitre « présente » la raison. Et c’est sous l’interrogation d’Emile Noel : « La raison est-elle inhérente à la pensée ou bien a-t-elle été inventée? ». François Châtelet commence par la Grèce classique où tout à commencer, et prend comme repère Athènes au V° siècle avant J.C, ville où nait la raison. C’est à cette même période qu’apparait alors une nouvelle forme d’organisation

pas incompatible avec une dépendance qui est d'autre nature, selon laquelle toutes choses sont sujettes à Dieu. Descartes. Lettre à Élisabeth 1645. Un homme peut-il vouloir le mal pour le mal ? A cette question, me semble-t-il, nous pouvons répondre par la négative. Où il y a liberté, il n'y a pas de place pour le mal. Aucun individu dont la conscience serait souveraine*, n'engendrerait le mal pour le mal. * Si la conscience de l'homme gouvernait entièrement sur ses pulsions, il n'y

position saint Anselme de Cantorb ry. Paradoxe 1 : preuve ontologique de l'existence de Dieu forme g n rale Source : saint Anselme, 7 , 10771078, repris par Descartes, 112 , 1639  1640 pour la r daction, puis d'autres cf. infra On pose, comme point de d part, que Dieu est le plus grand saint Anselme, ou le plus parfait Descartes des tres, ou encore un tre tel qu'on ne peut en penser de plus grand ou de plus parfait. Cela, tout le monde peut s'y accorder, le croyant comme le non-croyant

le Léviathan Thomas Hobbes L’auteur Thomas Hobbes 1588-1679 Philosophe anglais. Un des premiers penseurs de l’Etat moderne et fondateur de la philosophie civile. Se réfugie en France pour échapper à la révolution anglaise. Il y fréquente Descartes. Il retourne an Angleterre en 1651 pour ne pas être contraint de se convertir au catholicisme. Il est convaincu que l’Etat doit détenir un pouvoir supérieur à l’Eglise. Il publie alors le Léviathan dans lequel il développe une séparation entre

loi ne peut être injuste. La loi est faite par le pouvoir souverain, et tout ce qui est fait par ce pouvoir est sûr, et approuvé par tout un chacun parmi le peuple. Et ce que tout homme veut, nul ne saurait le dire injuste. Il en est des lois de la communauté politique comme des lois du jeu : ce sur quoi les joueurs se sont mis d’accord ne saurait être une injustice pour aucun d’eux. Une bonne loi est celle qui est à la fois nécessaire au bien du peuple et facile à comprendre. En effet, le rôle des lois

dans les sociétés occidentales, il y avait peu d'intérêt pour le corps humain. C'était le fief exclusif des premiers médecins, souvent barbiers, spécialistes de la saignée. Ce sont eux qui ont ouvert le chemin du savoir dans le domaine. Ils savaient bien qu'il y avait des organes, et que le corps était constitué de liquides divers, appelés communément humeurs. Sang, sueur, salive, ces humeurs variaient en quantité et en qualité, selon l'état de santé. Grâce aux animaux avec lesquels ils

philosophie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale" Descartes 2) La philosophie s’intéresse à l’origine des connaissances. Jusqu'à Pythagore le philosophe se distingue d'ailleurs par son occupation à connaître les origines et les causes de tous les faits. La philosophie serait alors l'ensemble des études

mathématisation de la connaissance. La nature est devenue une matière susceptible d'une mathématisation totale. La nature est une étendue inerte « Res extensa » qui est mise en relation avec la pensée « Res Cogitaus » par R.Descartes (1596-1650). Descartes ne voulait pas publier ses découvertes car Galilée a été condamné à la rétractation par Rome à l'issue d'un procès long et houleux. B/ Le système des 4 causes d'Aristote Prenons l'exemple de la statue en marbre d'Apollon. Cause 1ère : la

entendement. Cette devise des Lumières traduit un optimisme pédagogique fondé sur deux principes ambitieux : l'intelligibilité de la nature et la perfectibilité de l'homme. La vraie profession de foi des Lumières, de l'Enlightenment, de l'Aufklärung est bien celle-ci : Aie la raison pour guide, la culture pour base et le progrès pour but. Mais qu'est-ce qui a tant changé par rapport au siècle précédent ? par rapport au Grand siècle ? Le dix-huitième siècle, tout en continuant les travaux commencés

dʼexaminer attentivement ces phénomènes usés. », l’expression «  ces phénomènes usés » renvoi aux actions que les représentants de chaque peuples ( Huns, Gaulois, Eduens, Romains, Sarrasins de Corinthe, Francs, Alains et Normands) exécutent devant le souverain du duché et à leur récurrence qui finie par lasser le personnage. L’épilogue est extrêmement court et il rompt avec l’isométrie de la taille des chapitres précédents. Au seuil du chapitre vingt et un,