Sparte Et Athènes

juges avec la connaissance publique des lois). Ex : Athènes: - Dracon, VIIe, aristocrate, est connu pour la sévérité de ses lois pénales écrites (cf. l’adjectif « draconien. ») Il met fin à l´arbitraire des juges et prévoit des peines égales pour tous. - Solon, VIe - Ve, aristocrate, voyageur, homme d´Etat et poète met fin au monopole politique de l´aristocratie, ouvre les tribunaux aux non-aristocrates. - Après la tyrannie de Pisistrate, Athènes établira un régime démocratique Après Solon : établissement

lendemain des guerres médiques, alors qu'apparaît définitivement la supériorité et l'invincibilité des hoplites spartiates, ainsi que l'avènement de l'armée navale matérialisée par la trière, Athènes par ses choix politiques et militaires permet aux grecs de chasser les perses qui ne menacent plus le continent. Athènes sort principalement vainqueur du conflit qui l'opposait au peuple qu'ils considéraient comme Barbares et entre dans une période nommée la Pentécontaétie . Cette période désigne l'intervalle

Sparte Les rapports avec Athènes Au cours de l'histoire , les deux cités se sont parfois alliées , pour des causes diverses comme lors des deux Guerres Médiques , ou elles ont réunies leurs forces pour combattre les Perses Lors de cette bataille , les Perses ne laissèrent aucune chance aux spartiates . Herodote (historien grec) raconta que «les flèches des perses étaient si drues qu'elles voilaient le soleil » C'est alors qu'en 480 la ligue de Delos fut crée pour éviter que les perses

d’Erétrie/ Athènes) Révolte en 499/488 = pb  : athéniens et érétriens n’ont pas bcp flotte de guerre petit corps expéditionnaires avant de se retirer et de laisser les ioniens se faire écrasés par les flottes perses. Les guerres médiques connaissent contre toute attente un succès de quelques cités grecques coalisées contre l’empire perses + une seule cité emporte un profit politique de ces guerres : Athènes

raconté la guerre du Péloponnèse, qui a opposé de 431 à 404 avant J.-C. les deux grandes cités grecques Athènes et Sparte, alors à leur apogée. C’est lors de son exil de 423 à 403 qu’il s’efforcera de relater les causes et le déroulé de cette guerre. L’extrait que nous avons se situe dans le premier livre, consacré aux causes de la guerre. Le texte parle de la soumission de l’île de l’Eubée par Athènes, et du sort qui lui est réservé. Le deuxième document est un extrait d’Histoire Variée. C’est un recueil

premier livre de cette monographie qu'est extrait ce texte narratif Thucydide est donc un historien grec et citoyen athénien ayant vécu à la fin Vè-déb IVè. Il a connu l'impérialisme athénien et la guerre du Péloponnèse, conflit entre Sparte et Athènes, qui s'est déroulé entre 431-404 av J-C, conflit auquel il a d'ailleurs participé. Après une défaite au cours de laquelle il était stratège, Thuc se fait exiler et c'est au cours de cet exil qu'il entreprend de rédiger son oeuvre, cad l'histoire

populations grecques à la révolte. Il s'agit pour les Athéniens d'occuper un espace politiquement et stratégiquement. Athènes veut la liberté des mers à son profit, elle construit son empire. Thucydide explore la prise de Sestos, c'est le point de départ d'une réalité : Athènes est pour la première fois en position d'hégémonie. A Sestos, de part leur nomos lié à la mer, Athènes devient une puissance de proie. L'empire athénien va s'exercer sur la mer. Bien avant la guerre du Péloponnèse, il y

même langue "    La langue grecque n'a connu que peu de changements au cours de son existence de 1 200 ans comme langue ancienne. Cependant cette langue est divisée en plusieurs dialectes dont les plus importants sont les Ioniens et les Doriens. A Athènes on parle l'Ionien attique.    Ces différents dialectes s'écrivent parfois avec des alphabets un peu différents. Cependant, ils sont apparentés étroitement et n'empêche pas la compréhension mutuelle. Mais l'existence de ces dialectes nous indique

des Alliés » Thucydide dans son Histoire de la Guerre du Péloponnèse. En effet, Athènes, dès la fin de la seconde guerre médique devient la cité hégémonique, c’est-à-dire à la tête du monde grec. Après les victoires de Platées et Mycale, le problème grec demeure. Les cités grecques de l’Asie mineure et des Cyclades craignent un retour offensif des Perses et se tournent alors vers Athènes et Sparte. C’est finalement Athènes qui s’impose en 478 à la tête d’une nouvelle alliance. Ce nouveau statut d’hégémon

La chute des Pisistratides et la fin de la tyrannie à Athènes (Hérodote, Enquête, livre V, 62-65) Le document étudié est un récit en prose extrait de l’ «Enquête » d’Hérodote. Hérodote est en effet le premier prosateur dont l'œuvre nous soit restée mais aussi et surtout le « père de l'Histoire » comme l’a surnommé Cicéron, et celui du reportage. Il naît à Halicarnasse (actuelle Turquie) en 484 peu de temps après le début de la seconde guerre médique (480 av. J.-C.). Membre d'une famille aristocratique