Spectroscopie infrarouge

Mise en situation: On veut déterminer si l'angle d'incidence du faisceau lumineux est constant pour toutes les longueurs d'onde lorsqu'il y a déviation minimale. Pour vérifier cette théorie on a utilisé un prisme triangulaire, car ce dernier disperse la lumière en ses différentes couleurs ou longueurs d'onde puisque l'indice de réfraction du matériel constituant le prisme varie en fonction de la longueur d'onde.de plus on a éclaircie le prisme avec une lampe au sodium et une tube a décharge d'hydrogène

qui, grâce à leurs compétences respectives, m’ont été d’une grande aide. Je remercie pour cela, Mark Jessell pour la cartographie géologique, Jean-Marc Montel pour la datation sur monazite, Damien Guillaume pour l’aide qu’il m’a apporté sur la spectroscopie RAMAN, Pierre Debat pour son aide en géochimie et pétrologie, José Daroze pour Mapinfo, Thierry Aigouy pour la MEB, Philippe de Parseval et Sophie Gouy pour la microsonde. Je remercie Gaston Giuliani qui m’a fait profiter de son grand savoir sur

faire un essai avec la courbe de calibration à l’Hélium et comparer les résultats. Les valeurs ont put également être faussées par des perturbations extérieures car la courbe de calibration n’as pas été effectuée le même jour que les analyses. En spectroscopie électronique, le spectre analysable est plus large et permet de déterminer plus de pics. Il est donc préférable d’utiliser cet appareil pour déterminer le spectre s’émission d’une lampe. Bibliographie - Support de cours physique ;

centre à celui de la Terre (vitesse radiale) varie de manière périodique au cours du temps. Cette variation quasi-sinusoïdale indique que l’étoile se rapproche puis s’éloigne de la Terre de manière périodique. Cette courbe a été obtenue grâce à la spectroscopie Doppler qui relie la vitesse de l’étoile à celle de la lumière ainsi qu’aux fréquences du photon mesurées à l’émission et à la réception. A la variation de longueur d’onde mesurable sur les spectres correspond une variation de fréquence de l’onde

même coefficient d'absorption molaire iso on observe sur les différents spectres un point particulier appelé point isobestique. Identifier ce point sur la figure. Justifier votre réponse. Exercice 6 :Il est possible de doser simultanément par spectroscopie UV-Visible le cobalt et le nickel dans une solution aqueuse en se basant sur l’absorption des complexes de ces métaux avec le quinolinol- 8. Les coefficients d’absorption molaire sont : εCo = 3529 etεNi = 3228 à 365 nm, et εCo=428,9etεNi=

réfléchissante sur laquelle on a réalisé une perturbation périodique de transparence ou de réflexion comprenant un grand nombre de pas. Dans notre c’est la spectroscopie à prisme ou L'élément disperseur est un prisme. Il fait réfracter les rayonnements lumineux selon un angle variable en fonction de la longueur d'onde du rayonnement La spectroscopie Au total, le rayon a été dévié par le prisme d’un angle D, angle entre le rayon incident SI et le rayon émergeant I′S′ :

CHROMATOGRAPHIE D'EXCLUSION SUR GEL DE SEPHADEX INTRODUCTION : On se propose au cours de ce TP de séparer un mélange de deux macromolécules protéiques de masses moléculaires différentes (SAB et cytochrome c ) par méthode de chromatographie d'exclusion sur gel séphadex (G50) en déterminant les caractéristiques de notre colonne par exclusion grâce au dextran bleu , de vérifier ensuite notre séparation par spectrométrie et de doser par méthode de Lowry et al nos fraction obtenue .

nm. A l’intérieur de cet intervalle, la longueur d’onde détermine la couleur perçue. Gillet Steve, D.Sc. -1- La spectrométrie. A chacun des domaines particuliers du rayonnement électromagnétique, ou presque, correspond un type de spectroscopie qui repose sur une interaction particulière de la matière avec ce rayonnement. Ainsi pour le domaine : - Des γ et des RX, le rayonnement est extrêmement énergétique et il va pouvoir affecter les électrons des orbitales atomiques de cœur.

classification, nous devons bien entendu tenir compte aussi des différents couplages spin-orbite entre les électrons d'un même atome. Pour noter l'état d'énergie d'un atome dans une configuration électronique donnée, on utilise la notation usuelle de spectroscopie atomique : 2 S +1 L: LJ nombre quantique orbital total des électrons de l'atome. Les valeurs L=0, 1, 2, 3, 4... sont désignés comme pour les niveaux électroniques par une lettre : S, P, D, F... S: nombre quantique total de spin

et les performances s’accroissent de façon spectaculaire. La RMN (façon spectroscopique) est aujourd’hui dans le domaine, de la chimie, de la biologie… En médical on utilise beaucoup l’IRM. On a donc deux façons : l’imagerie et la spectroscopie. La spectroscopie IR donne des renseignements sur les groupes fonctionnels d’une molécule organique. La RMN donne une image précise des atomes qui composent les molécules organiques du vivant. La RMN est basée sur l’absorption d’onde radio par certains