Spinoza Bonne Foi

| | |devenir ». | |apologétique |Partie de la théologie qui a pour objet de défendre la foi contre toute attaque. | | |* L’apologétique vise à établir la Révélation par des arguments historiques et rationnels. | |aporie |Difficulté

personne ayant privé une autre de sa Liberté qu’elle ne suit pas la loi morale. Nous allons maintenant voir s’il est légitime pour l’homme d’affirmer qu’il a été lui-même privé de sa Liberté. Pour Sartre, cette affirmation ne relève que de la mauvaise foi car il est illégitime d’affirmer que nous pouvons ne pas être responsables de nos actes. Personne ne peut agir sur notre Liberté car elle est entière ; il est donc illégitime de ne pas affronter ses responsabilités. De même, pour Kant, l’Homme étant

l'optimisme leibnizien. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Il oppose à cet optimisme qu'il juge béat, une vision lucide sur le monde et ses imperfections et il affiche, notamment dans ses lettres philosophiques8 une foi optimiste envers l'homme qui est capable d'améliorer sa condition. C'est le sens de la conclusion de Candide : « Il faut cultiver notre jardin9. » Dans Candide ou l'optimisme, il s'attaque ouvertement à l'optimisme leibnizien et fait de Pangloss un

THEMES : 1 - Action, Résistance 2 - Amitié, Amour 3 - Armée, violence, paix 4 - Argent 5 - Bonheur, épanouissement, sérénité 6 - Confiance, foi 7 - Corps 8 - Courage-Volonté 9 - Dieu 10 - Ecoute - Dialogue 11 - Gratitude 12 - Education 13 - Homme 14 - Justice

toujours rester fidèle ? Rester fidèle, est-ce toujours un devoir moral ? Il semble en fait que rester fidèle soit impossible, que ce soit une attitude qui relève seulement de l'idéal, qui ne prendrait pas en compte la nature humaine. Spinoza dirait ici, comme il le dit dans le  Traité politique , I, 1, que c’est une de ces notions de moralistes qui ne considèrent pas l’homme tel qu’il est vraiment, mais comme ils voudraient qu’il soit. Et en effet, que

l’épicurisme ou le stoïcisme, et comprendre comment pour des raisons morales il rejette ces philosophies de la volonté. Mais il s’oppose aussi à une philosophie spinoziste (de Spinoza) qui considère que certes le désir est l’essence de l’homme, mais que sa réalisation peut permettre la béatitude. La philosophie de Spinoza est une philosophie du bonheur. Alors que, encore une fois, celle de Rousseau est une philosophie du malheur. Une question vous taraude, j’en suis sûr : quelle place réserver

Problématique:  Conceptualisation Remarque: bien distinguer: * le problème moral: " dire la vérité ", véracité s'oppose à mensonge. Exemple, sujet bac: " Toute vérité est-elle bonne à dire? " problème de morale, cf. cours sur la morale. * du problème scientifique: vérité s'oppose à fausseté, exemple, sujet bac: " La vérité se découvre-t-elle par hasard? ", ce n'est pas un sujet de moeurs. a - Tout discours scientifique, c'est à dire qui veut communiquer une connaissance, suppose que

L'Ethique, Spinoza Traduction française de Saisset, 1849. Numérisée par : Version 1.0, PDF — 04 juin 2002, par David Bosman email : davbos@noos.fr La dernière version de ce fichier est disponible sur : http://www.spinozaetnous.org http://les.anges.attaquent.free.fr D'autres œuvres de Spinoza sont téléchargeables à ces adresses. Les traductions utilisées sont tombées dans le domaine public. Même si elles ne bénéficient pas de l'appareil critique des nouvelles traductions, elles permettent

de l’agir humain, sans intervention de motifs religieux impératifs. - Cet espace (et ce temps) peut être dit entièrement « immanent » : il ne suppose pas d’ordre supérieur, de domaine absolument séparé qui obéirait à une logique tout autre. {cf Spinoza ; D’Holbach} - La plupart des cultures n’ont pas séparé totalement la religion du reste des activités et des champs d’étude. Chez elles, tout reste imprégné de religion (les mathématiques sont religieuses, la médecine aussi, ainsi que l’astronomie

connu les excès du rationalisme – tendent à mettre l’accent sur la passion comme principe d’action, qui pousse donc les hommes à agir. Lorsqu’on se laisse emporter par une passion, qu’elle soit triste ou joyeuse pour reprendre la distinction de Spinoza, la force de conviction de cette passion surpasse en nous (et de loin souvent) celle de la raison. Mais pour Hegel, ce surpassement de la raison par la passion peut être vu historiquement comme une « ruse de la Raison » ; les grands hommes, qui sont