Spinoza Bonne Foi

d’une situation que l’on analysera à l’aide de trois auteurs, ayant chacun leur réponse à la question ‘qu’est-ce-que la liberté ?’ : -          Descartes : ce qui permet de choisir, c’est une capacité à se déterminer : le libre-arbitre. -          Spinoza : le choix est une illusion dans la mesure où nos rasions d’agir sont elles-mêmes déterminées. La liberté est donc en sens [sens non-politique] une illusion. -          Sartre : le choix n’est pas une ‘option’ pour l’homme. La facticité du choix

recommande donc de le travailler méticuleusement. Naturellement je reviendrai en classe sur les éventuelles difficultés. Pour ceux ou celles d’entre vous qui ne pourraient pas le tirer j’en donnerai des exemplaires photocopiés à la rentrée. Bonne fin de vacances et bonne année à tous, Alain David PS Lisez également le cours sur Descartes (avec le texte correspondant de la première Méditation, dans le manuel, pp. 103- 107) ainsi que le cours sur Kant. La vérité Introduction La scolastique

doute méthodique ou hyperbolique, morale par provision, dualisme de l'âme et du corps | Influencé par | Platon, Scepticisme, Anselme, Scolastique, Nicolas de Cues, Suárez, Bacon, Montaigne, Mersenne | A influencé | Arnauld, Pascal, Nicole, Locke, Spinoza, Malebranche, Leibniz, La Mettrie, Kant, Fichte, Kierkegaard, Nietzsche, Husserl, Bergson, Guéroult, Sartre, Levinas, Alquié, Merleau-Ponty, Jean-Luc Marion | modifier  | René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye en Touraine (localité rebaptisée

construit en vue d’une amélioration des lois. D’après Spinoza, « Puisque le libre jugement des hommes est extrêmement divers, que chacun pense être seul a tout savoir et qu’il est impossible que tout le monde donne la même opinion et parle d’une seule bouche, il ne pourrait vivre en paix si l’individu aura renoncer a son droit d’agir (…) ». Pour Spinoza l‘homme obéit à un mécanisme, un peu comme Descartes et son idée d’homme machine. Pour Spinoza, l‘étique c’est le désir d’atteindre la tranquillité

p. 262. Les textes de référence : Un texte de Platon qui montre comment l’individu peut entrer en conflit avec lui-même lorsque ses désirs prennent le pas sur sa raison : Il m’est arrivé, repris-je, d’entendre une histoire à laquelle j’ajoute foi : Léontios, fils d’Aglaïon, revenant un jour du Pirée, longeait la partie extérieure du mur septentrional lorsqu’il aperçut des cadavres étendus près du bourreau ; en même temps qu’un vif désir de les voir, il éprouva de la répugnance et se détourna

qui devient prépondérante dans de nombreuses sciences, demanderait d’adopter le point de vue de l’ensemble ou du tout. Garder son identité, « persévérer dans son être » (Spinoza). Les pensées de la Vie : faut-il vraiment distinguer les philosophies de la Vision (Platon, Descartes) des philosophies de la Vie (Boehme, Spinoza, Leibniz, Freud, Nietzsche) ? La Vie, chez Platon, n’est-elle pas retrouvée dans la contemplation ? De la même façon, la division tripartite classique entre matérialisme -philosophie

Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique comme l’éthique a nicomaque ou l’éthique de spinoza, fondement des mœurs chez Kant, des lors que qqchose s’impose a la conscience, qqchose qui vient poser des limite, qui est en elle, on parle d’éthique toutes les fois ou l’on prend en compte la recherche de la vie bonne, d’une vie articulé a des valeurs d’humanité, conduite qui recherche le bien, et qui ne sont pas pensées comme contraignante, une quête plutôt

le courage * Les vertus cardinales ou intellectuelles : reliées à la raison Ex : l’intelligence, la sagesse et la prudence * Les vertus théologales ou dons du Saint-Esprit : transcendent la nature humaine et sont fondées par Dieu Ex : la foi, l’espérance et la charité * La Grâce permet à l’homme d’accéder aux vertus théologales et de vivre sa « vie surnaturelle ». * ------------------------------------------------- Au départ, la philosophie grecque était une pensée mythique

Cependant, on peut reconnaître l’existence de vérités subjectives, mais cela uniquement si on se place dans un raisonnement existanciel. Spen Kierkegaard (1811-1855) privilégiait l’intériorité et la recherche d’un rapport absolu avec l’absolu par la foi qui est un rapport existanciel et personnel avec l’éternel. Dans son œuvre Post Scriptum définitif (et non scientifique) aux miettes philosophiques il écrit : "La subjectivité étant la vérité, la définition de la vérité doit aussi comporter un terme qui

« idées », à ce qu’elles affirment, à leur contenu, plus qu’à la compréhension de leur contenu. Nous réagissons à ce que l’autre dit, au premier niveau de discours, plutôt que d’examiner la nature de la discussion et les enjeux du discours. L’acte de foi prime en général sur le travail de la raison, le personnel sur le commun. Soucieux de notre existence propre et de tout ce qui s’y rapporte, nous souhaitons nous empoigner avec tout ce qui heurte notre sentiment ou notre opinion en le niant ou en le