Spinoza Comme La Vraie Fin Des Lois

l’abstrait, une réflexion morale. La morale manifeste l’éternel mouvement de la vie comme problème : elle renaît donc tjrs sur le fond d’une contestation. Nietzsche dans l’Antéchrist par 44 : parle de « petits avortons de cagots et de menteurs » « accapareurs de la morale »=la ^morale se gorge de belles paroles, les tribuns de l’ordre moral relèvent plus de la démagogie rhétorique et de la montre hypocrite que de la moralité vraie. Le problème moral porte moins sur ce qu’il faut suivre que sur ce qu’il

procédure précise. Il existe, en épistémologie, deux manières de prouver : la preuve qui se réfère à des idées prend l’aspect de la déduction, ou de la démonstration, mais il existe aussi une preuve inductive, qui, comme son nom l’indique, procède d’un raisonnement qui conclue des lois scientifiques générales à partir de cas particuliers. S’interroger sur l’essence de la preuve, c’est comprendre ce qui la constitue, et comprendre aussi comment elle fonctionne. Ainsi, pour savoir ce que veut dire « prouver »

absolue ; c’est la validité d’une telle position que nous allons interroger - la notion elle-même de déterminisme : est-il, lui aussi, absolu, i.e., rigide ? N’y a-t-il pas un déterminisme que l’on pourrait penser en termes plus souples, par exemple, comme une influence ? I- LE DETERMINISME CONTRE LA LIBERTE A- LE DETERMINISME NATUREL/ UNIVERSEL 1) Définitions et synonymes C’est une thèse qui stipule qu’il n’y a pas d’événement sans cause, et que, dans les mêmes conditions, les mêmes causes

1 Si nous admettons, comme l'indique l'étymologie, que la philosophie est l'amour (et donc la recherche) de la sagesse et du savoir, il semble que par essence sa méthode soit le questionnement fruit de l'étonnement et que son but soit la vérité, c'est-à-dire une connaissance reconnue indiscutablement comme juste. Aristote (384-322 av. JC) le dit d'ailleurs très clairement dans La Métaphysique, livre α, 920 b 20 (trad. J. Tricot) : "la philosophie est appelée la science de la vérité". Il n'est

d‘usage, il faut avoir du bon sens (Descartes) B/ Qu’Est-ce que juger? *acte par lequel on affirme ou ni en arrêtant le contenue d’une proposition et en la posant comme vrai. *penser = se former des idées dans l’esprit, concevoir des notions, des opinions par l’activité intellectuelle et la réflexion. *l’idée n’est ni vraie ni fausse, c’est le jugement qui l’affirme ou la nie (celui-ci peut être vrai ou faut). * 3 types d’idées selon Descartes: innées (on naît avec; ex: infini, perfection)

· A distinguer du plaisir et de la joie , qui sont des sentiments éphémères. · Penser le rapport au désir  : tendance de l’imagination vers une fin, limitée et naturelle (besoin) ou bien illimitée. · Le bonheur, pensé correspondance du désir et de la réalité, ouvre deux possibilités : la réalisation des désirs, ou bien le désir de la réalité.

puisqu’il est gouverné par une loi (la loi de la nature) qu’il n’a aucunement choisie. La vraie liberté ne concernerait  donc que les êtres humains : il faut disposer d’une volonté, en effet, pour être libre. Cela se traduit par le choix qui implique un fondement philosophique ( la thèse du libre-arbitre) . Mais la réciproque n’est pas vraie : tous les êtres doués de volonté ne sont pas libres, tous les hommes ne sont pas toujours maîtres d’eux-mêmes. Bien souvent

(posth.) http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 172 Citation 173 « Il existe deux variétés d'inconscient : les faits psychiques latents, mais susceptibles de devenir conscients, et les faits psychiques refoulés qui, comme tels et livrés à eux-mêmes, sont incapables d'arriver à la conscience. [...] Nous réservons le nom d'inconscients aux faits psychiques refoulés. » Freud, Essais de psychanalyse, 1923. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS=

Les visages de la démonstration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Pourquoi démontrer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 La démonstration est-elle une garantie de vérité ? . . . . . . . 1.1.3 En quoi reconnaît-on une « vraie » démonstration ? . . . . . . 1.2 Démonstration et formalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 Démontrer peut-il être superflu ? . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 Un savoir autre que les mathématiques peut-il satisfaire aux exigences

saurait elle leur imposer ce qu'ils ne veulent pas, ni leur interdire ce qu'ils veulent. Il n'y a donc d'autre limitation de ce droit naturel que ce qui est en-dehors de la volonté des hommes ou plus exactement de leurs appétits. Il en va des hommes comme des autres êtres, tous s'efforcent d'abord de persévérer dans leur état. Si les hommes vivent en communauté, il faut donc qu'ils y soient poussés par quelque profond intérêt. Personne n'abandonne ses droits, on peut en être sûr, sinon par crainte d'un