Spinoza Homme Juste

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de

bien peu de pouvoir sur les choses. Se pose alors la question de savoir si la conscience est véritablement quelque chose, une et indivisible, substance indépendante de la nature ou bien si elle n’est qu’une forme déterminée de la nature qui aurait juste l’illusion d’être indépendante. Avons-nous une identité intérieure immuable et indépendante ? La conscience est-elle source de certitude ou bien source d’erreurs et de préjugés, à commencer par le préjugé de notre identité, de notre indépendance et

j’ai les quatre vertus cardinales, et les trois théologales. Un honnête homme lui demande: « Qu’est-ce que vertu cardinale? » l’autre répond: « C’est force, prudence, tempérance, et justice. » L’Honnête Homme. — Si tu es juste, tu as tout dit; ta force, ta prudence, ta tempérance, sont des qualités utiles. Si tu les as, tant mieux pour toi: mais si tu es juste, tant mieux pour les autres. Ce n’est pas encore assez d’être juste, il faut être bienfaisant; voilà ce qui est véritablement cardinal. Et

heureux B) Les trois parties de l’âme (partie désirante, partie irascible, raison) C) Le respect de la justice, une condition nécessaire au bonheur et à l'accomplissement de soi III – Peut-il exister des règles morales absolues et universelles, que tout homme devrait accepter ? (Race et histoire de C. Levi Strauss,Conférence sur l'Ethique de L. Wittgenstein, Fondements de la métaphysique des mœurs d'E.Kant) A) Le problème de la vérité des règles morales B) La seule chose au monde qui possède une valeur

“Ne pouvant faire qu’il soit forcé d’obéir à la justice on a fait qu’il soit juste d’obéir à la forcé » écrit Pascal. Il montre déjà cette ambiguïté latente dans le concept de justice, et sa relation avec le pouvoir et l’autorité. En effet, il n’y a pas encore d’accord dans la nature de la justice : est-elle l’origine du pouvoir ou la conséquence ? Est-ce que ceux qui ont du pouvoir sont justes ou est-ce qu’ils imposent leur vision de la justice parce qu’ils ont du pouvoir? Ces questionnements mettent

condamner absolument le désir. Il relève de la condition humaine et semble être notre dignité par rapport à l'animal. 3) Le désir comme moteur de vie et comme créateur de valeurs On peut même définir l'homme par le désir. C'est ce que fait Spinoza. Pour Spinoza, l'homme est animé par ce qu'il appelle le conatus, défini comme le « désir de persévérer dans son être ». Celui-ci ne caractérise du reste pas seulement l'homme mais la Nature toute entière (c'est-à-dire Dieu). La Nature (dont nous sommes

condamner absolument le désir. Il relève de la condition humaine et semble être notre dignité par rapport à l'animal. 3) Le désir comme moteur de vie et comme créateur de valeurs On peut même définir l'homme par le désir. C'est ce que fait Spinoza. Pour Spinoza, l'homme est animé par ce qu'il appelle le conatus, défini comme le « désir de persévérer dans son être ». Celui-ci ne caractérise du reste pas seulement l'homme mais la Nature toute entière (c'est-à-dire Dieu). La Nature (dont nous sommes

Jean-Baptiste Roux Premier retour sur controverse – Conférence de méthode d’Abécédaire politique « Prions l’autorité de rester dans ses limites. Qu’elle se borne à être juste ; nous nous chargerons d’être heureux »1. Cette phrase, tirée du célèbre discours de 1819 de Benjamin Constant – De la liberté des Anciens comparée à celles des Modernes – nous interroge sur les relations entre les deux notions qu’elle convoque : le politique et le bonheur. Nous pouvons premièrement nous accorder si une

sur les moyens et jamais sur les fins. Il faut donc retrouver le sens évident et simple de la moralité. Partant du mot de Pascal : "La vraie morale se moque de la morale", Lalande explique : "La vraie morale, n’est-ce pas ici le sentiment vif et juste, l’évidence intérieure du bien et du mal ? Et la morale dont elle se moque, ce peut être soit l’ensemble routinier des règles de morale traditionnelles, soit plutôt la spéculation morale des philosophes. Il suffit, précise Kant, de considérer la raison