Spinoza Les Exigences

être floues ou irrationnelles. C'est pourquoi le verbe « croire » est souvent opposé au verbe « savoir », et est parfois envisagé d'une manière assez péjorative, parce qu'il irait de pair avec un mode de connaissance non compatible avec les exigences de la raison. L'expression « ne croire en rien » est souvent considérée dans le langage courant comme le symptôme d'une position désabusée face à la vie : quelqu'un qui ne croit en rien est quelqu'un qui a perdu tout idéal, toute foi – il faut

La conception de la liberté n’est pas à l’abri de la critique. Liberté. Régime → défaut/non parfait exemple : totalitarisme, tyrannie. Vote au citoyen → manipulable ? Devoir de critiquer, lieu d'expression. Pensée politique de Rousseau Spinoza → Meilleur des régimes car développement de la connaissance/ L'intelligence Va pouvoir se libéré. La démocratie : séparation des pouvoirs Montesquieu Représentation du Léviathan : représentation de l'état pour Ops. Mal nécessaire pour calmer les

jugeons que cette chose est bonne ; mais qu'au contraire nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous nous efforçons vers elle, que nous la voulons, que nous en avons l'appétit et le désir. »Spinoza, Ethique | En affirmant que le désir est l’essence de l’homme, i.e est ce qui le défini. Spinoza reconnait la dualité humaine : le désir est en lien entre l’âme et le corps. La pulsion physique est une force vitale qui affecte ou détermine l’esprit et de ce fait produit des représentations mentales

désir et comprenons bien qu’en poursuivant le désir d’autrui, en voulant être aimé de lui, le désir amoureux s’ouvre inéluctablement sur une quête hypothétique, dangereuse et interminable. Mais au regard des graves difficultés d’adaptation aux exigences sociales rencontrées par de nombreux jeunes gens ayant paradoxalement été tout particulièrement choyés par leur environnement familial, la question ne se pose-t-elle pas aussi de savoir s’il n’est pas périlleux de vouloir non plus être mais rendre

concerne la tristesse ; mais si elle est relative au désir, elle s’appelle émulation, celle-ci n’étant donc rien d’autre que le désir d’une chose provoquée en nous par le fait que nous imaginons que d’autres êtres semblables à nous ont le même désir. Spinoza, Ethique, III, 27 Faim et amour : Juste après l’instinct de nutrition, par lequel la nature conserve chaque individu, le plus important est l’instinct sexuel grâce auquel la nature pourvoit à la conservation de chaque espèce. Kant … « faim et

chose a une identité car elle est caractérisée par une essence et reste identique à elle-même, et cette essence est inaltérable. Ça se recoupe ces deux sens-là. Ceci est la caractérisation traditionnelle de la chose. La chose et la réalité chez Spinoza : Mais cette définition traditionnelle de la chose va être interrogée à plusieurs niveaux car elle suscite plusieurs enjeux : Elle contient l’idée de permanence Elle est opposée à une autre considération du réel  théorie des qualités : l’idée

d'admettre une vérité évidente pourvu seulement que nous pensions que c'est un bien de témoigner par là de notre libre-arbitre. » Ici la volonté se présente vraiment comme absolument libre puisqu'il lui est permis de se déterminer indépendamment des exigences de la morale et de la raison. Elle peut « suivre le pire tout en voyant le meilleur », choisir délibérément le mal pour le mal par provocation pour affirmer son absolue liberté. Mais pouvons-nous réellement faire n'importe quoi ? Agir gratuitement 

nous voyons ici le problème qui se pose et qui n'a pas échappé à Spinoza. Celui qui me ressemble, à quoi en moi doit-il ressembler? Le drogué ressemble au drogué. Lui est-il "le plus utile"? Celui qui me ressemble, ce peut-être celui qui partage mes croyances, mes haines, mes folies. Et en effet, le critère de ressemblance désigne le semblable. Toutes les délimitations du domaine du "semblable" sont alors possibles. Spinoza butte sur un écueil: en posant comme irréductible la singularité des

corps en l'induisant ainsi en erreur sur la réalité de ses désirs. C'est pourquoi la nature qui s'exprime à travers le corps devrait nous servir de critère pour évaluer et mesurer nos désirs. Selon les EPICURIENS, c'est à l'âme de se plier aux exigences du corps et non l'inverse. La raison permet seulement de calculer les plaisirs et les peines à retirer d'un désir. Elle ne peut que classer les désirs en tenant compte de ce critère naturel : l'épanouissement du corps humain.

humaines. Alors quelle est la véritable liberté : celle du plaisir ou celle de la conduite raisonnable, sage ? I : être libre, c'est satisfaire ses désirs Faut-il être nécessairement raisonnable pour être libre ? ce conduire avec raison est une exigence contraignante pour la liberté. Le mot liberté est en général assimilé à l'expression : « faire ce qu'il nous plait », ou encore « suivre son bon vouloir ». Donc, la liberté, c'est accomplir ses désirs sans contraintes. Par exemple, je vais à un match