Spinoza Spinoza La Paix Guerre

Les échanges et les traités commerciaux ont permis une entente entre les peuples, de telle sorte qu’aucune guerre n’a eu lieu depuis. Pourtant le « non » l’a emporté. Cela traduit-il un refus de l’échange, ou seulement une méfiance vis-à-vis de ses apports supposés ? Par définition, et même dans les faits, il semble y avoir confluence entre les paramètres de l’échange et les conditions de la paix. Mais des relations multiples peuvent aussi favoriser la compétition, voire la volonté de dominer, et certains

penser que la liberté consiste à faire ce que l'on veut. C'est ce que souligne le philosophe Spinoza. Celui-ci explique que cette idée de la liberté est une illusion :l'homme se croit libre car il ignore les causes qui le déterminent dans ses actions et ses désirs. Les hommes se croient libres pour cette seule cause qu'ils sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par où ils sont déterminés. Spinoza Éthique 1677 La conception commune de la liberté selon laquelle l'homme est libre de faire

d’Etat et de nation (nation distincte de la personne du Roi et supérieure). A cette époque apparait l’idée moderne de liberté autour de 1688/1689, cad la révolution anglaise. A partir de là on voit apparait certains thèmes repris par les philosophes (Spinoza, liberté de travailler,…). Ces libertés n’ont pour but que de limiter l’arbitraire du pouvoir monarchique. §2. Les sources religieuses. Le Judaïsme. Dans la pensée Judaïsme il y a certains concepts qu’on va retrouver en 1789. Le Judaïsme met

individus, cela entraîne des guerres sans fin.Pour Platon, le désir est essentiellement issu du manque, nous ne désirons seulement ce qui nous manque et lorsque nous l'avons, au bout d'un certain temps nous ne le désirons plus et devons désirer autre chose. D'où un cycle éternel de désir, souffrance, contentement, désir, souffrance, contentement, ...Il indique que si nous arrivons à nous couper de cela, de toutes les tentations, alors nous pourrions accéder à la paix et à la plénitude. Dans un sens

La guerre Accepter l'idée d'une défaite, c'est être vaincu." Maréchal Foch.   " On peut conquérir des milliers et des milliers d'hommes dans une bataille; mais celui qui se conquiert lui-même, lui seul est le plus noble des conquérants." Siddhattha Gotama   "La France a perdu une bataille, mais la France n'a pas perdu la guerre." Charles de Gaulle.   "Celui qui est capable de marcher derrière une musique militaire n'a pas besoin de cerveau: une moelle épinière lui suffit" Albert Einstein

nous avons faites à propos des caractères spécifiques du DIP, un certain nombre de philosophes tels qu'Emmanuel Kant et Friedrich Hegel en Allemagne, Thomas Hobbes et John Austin en Angleterre, Baruch Spinoza en Hollande, ont nié l'existence du Droit International. C'est la persistance des guerres et la fréquence des violations de ce droit qui ont alimenté les doutes sur la nature juridique de ce droit, c'est à dire sur son existence en tant que corps de règles obligatoire. Selon ces auteurs, le

plaisir de l’apparence, par exemple dans les mondanités, n’en est pas moins un vif plaisir. Freud disait dans Essai sur la guerre et sur la mort, en1917, in Essais de psychanalyse, Payot : « la morale est une simple angoisse sociale et rien d’autre ». Nous avions cru en Occident, prolonge-t-il dans cet essai, qu’être civilisé était être à jamais moralisés. Or, la première guerre mondiale nous prouve qu’il n’en était rien et que tout progrès de et par la civilisation était illusoire. En restaurant

2. Le souci de la distance 7 3. Autrui et le désir 8 4. Le regard d’autrui me constitue 8 B. L’aliénation par autrui 9 III. L’ambivalence du rapport à autrui 10 A. L’homme est un loup pour l’homme (La haine. La discorde. La guerre) 10 B. L’homme est un Dieu pour l’homme (L’amour. La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité

théorie du contrat social veut fonder la légitimité du pouvoir politique sur le libre choix des individus. Cette théorie fait l’hypothèse d’un état de nature originel, où les individus vivent hors de toute société (pour Hobbes, c’est un état de guerre ; pour Spinoza, un état d’interdépendance et de peur mutuelle ; pour Rousseau, un état de dispersion des individus). La théorie pose ensuite la nécessité du passage à l'état civil (pour survivre, les individus doivent s’associer). Chacun renonce alors à sa

_Toc185584900 h 8 4. Le regard dautrui me constitue PAGEREF _Toc185584901 h 8 B. Lalination par autrui PAGEREF _Toc185584902 h 9 III. Lambivalence du rapport autrui PAGEREF _Toc185584903 h 10 A. Lhomme est un loup pour lhomme (La haine. La discorde. La guerre) PAGEREF _Toc185584904 h 10 B. Lhomme est un Dieu pour lhomme (Lamour. La concorde. Le commerce) PAGEREF _Toc185584905 h 11 C. Lambivalence fondamentale du rapport autrui (Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF