Spinoza Traité Politique La These

Monsieur Jean-Jacques Chevallier Jean-Jacques Rousseau ou l'absolutisme de la volonté générale In: Revue française de science politique, 3e année, n°1, 1953. pp. 5-30. Citer ce document / Cite this document : Chevallier Jean-Jacques. Jean-Jacques Rousseau ou l'absolutisme de la volonté générale. In: Revue française de science politique, 3e année, n°1, 1953. pp. 5-30. doi : 10.3406/rfsp.1953.452688 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1953_num_3_1_452688 Jean Jacques

les autres vivants ? Plus généralement, comment penser l’exception humaine dans sa dimension problématique, quand le simple fait de penser fait de l’homme une exception ? L’enjeu n’est pas mince. Il en va de la légitimité même de notre existence politique. En effet, si l’exception humaine s’impose d’abord à notre esprit comme une sorte d'évidence, c’est aussi parce qu’elle est au fondement de l’unité du genre humain et de notre sentiment d’appartenance. Si l’homme ne se sent pas seul dans la nature

doivent faire de l’égalité. La loi, c’est le moyen que les faibles ont trouvé pour que les forts acceptent cet ordre leur permettant de s’en sortir. Glaucon dit que personne n’est juste, même le faible (car cela sert ses intérêts). Pour étayer sa thèse, il passe par le mythe de l’anneau de Gygès, qui est un berger, très humble, très juste. Un jour qu’il cherche une brebis, il tombe sur un ravin où il y a une gigantesque statue de bronze où se trouve un cadavre. Sur ce cadavre il y a un anneau. Il

différence entre le vrai et le faux, le juste et l’injuste, le bien et le mal. Un épicurien sait apprécier le moment présent. Les différents épicuriens sont EPICURE, DEMOCRITE, LUCRECE… Ils ont le souci que l’homme soit heureux, la peur de la mort. SPINOZA, XVIIe siècle : veut délivrer de la superstition. Philosophes des Lumières : MARX : « Nos prédécesseurs ont pensé le monde, il s’agit de le transformer ». La philosophie est une recherche incessante et jamais satisfaite de la vérité qui procède

désintéressé. le sujet en tant qu'individu n'existe plus. Kant est une sorte dhypocrite. N prend des exemples bien précis pour justifier son discours. Il cite spinoza avec son amour de la sagesse, forme mathématique que N critique (more geometrica) N dit qu'il faut laisser le lecteur penser un minimum pour ne pas l'emprisonner dans sa thèse. N dit que la vérité n'existe pas et idée de hiérarchisé les discours par leur valeur, il trouve des précurseurs de ses pensées. Détail de la critique nietzschéenne

l’esprit. C’est le premier exposé de la méthode cartésienne. Dès son arrivée à Amsterdam (mais il changera souvent de ville au cours des vingt ans passés en Hollande), Descartes commence un petit traité de métaphysique, inachevé aussi, et s’attèle à une tâche de grande ampleur, la rédaction d’un traité de physique qui expose la structure du monde. Au moment de le publier, en 1633, Descartes, apprenant la condamnation de Galilée par l’Eglise, décide d’en surseoir la publication de peur qu’une semblable

d'aujourd'hui. Dans le langage courant, le terme « philosophie » est souvent employé pour désigner un ensemble de valeurs et une attitude envers la vie, la nature et la société, comme dans l’expression « philosophie de la vie ». Les limites et les traits distinctifs des divers champs du savoir étant flexibles et susceptibles de changements, la définition de la philosophie demeure un sujet controversé. B- Vie publique La vie publique c’est l’ensemble des activités d'une personne qui concerne sa

du cosmos. A ce moment là on connait une crise de la représentation du monde, dont la représentation commune est affectée par de nouvelles conceptions scientifiques. *rapport entre la partie et le tout *possibilité de la pluralité des mondes *Spinoza : Au fond l'homme et Dieu ne font qu'un puisqu'il ne peut pas y avoir deux entités parfaites. Le monde est parfait mais on ne le sait pas ne le voit pas. Au fond le monde est un tout harmonieux et parfait (Wolff dans sa cosmologie) → rejeté par l'église

suppose un type d’action dont les caractères peuvent être communs mais aussi parfaitement étrangers à l’action qui se déploie dans les domaines moraux ou économiques, de même qu’une action concertée qui aboutit à la prise de décision dans le domaine politique n’obéit pas aux schémas explicatifs qui commandent la préméditation d’un crime passionnel, même si dans tous ces cas on parle bien d’action. S’il est un concept bien propre à caractériser l’essence de nos sociétés, c’est bien le concept d’action

de mobilité européenne, le plurilinguisme, plus que jamais s’affirme comme une compétence essentielle qu’il faut développer chez nos élèves. En effet, construire dès aujourd’hui les citoyens européens de demain exige de la part des décideurs une politique linguistique qui ouvre de nouveaux horizons culturels pour les élèves. Cette réalité est déjà la nôtre ici dans la Communauté Autonome du Pays Basque où, d’après le bilinguisme officiel, nous nous efforçons de promouvoir et de renforcer le plurilinguisme