Splendeurs Et Misères Des Courtisanes

avec son gilet, canne, jabot, l9 volonté ostentatoire de « montrer », boulevard italien (lieu des élégants) + emploi d’un subalterne l 24 et à « la porte d’un abattoir » = extérieur. *dégradation physique : faiblesse, absence de force, maigreur misère « culotte presque vide », « cou de dindon », « flageolaient », « à peine sa canne » tout ce qui le concerne concerné par ce flétrissement l10 15 6. 2) Deshumanisation ? s’il est humain avec regard que l’on porte sur lui l 11 à 15 jeu héroï-comique

rappelant les souvenirs de la pension Vauquer, lui enjoignant avec autorité de traiter Lucien en ami. Peu après, Rastignac devint l’un des habitués du somptueux hôtel installé rue Saint- Georges par Nucingen, elle pour Esther Gosbeck (Splendeurs et misères des courtisanes). Rastignac assistait à l’enterrement de Lucien de Rubempré en mai 1830 (Dernière Incarnation de Vautrin). Vers le meme temps, le comte de Fontaine demandait à sa fille Emilie ce qu’elle pensait de Rastignac, qu’il nommait, avec plusieurs

le courant littéraire réaliste en France sont surtout : * Stendhal (1783-1842) avec Le Rouge et le noir (1830), on le surnomme le ‘’ père ‘’ du réalisme.   * Honoré de Balzac (1799-1850) s’intéresse au réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes. (1838-1847) * Gustave Flaubert (1821-1880) * Guy de Maupassant (1850-1893) avec Bel-Ami (1885), Une Vie (1883) et Pierre et Jean (1888) * Champfleury (1821-1889) avec le Réalisme en 13 points. * Emile Zola

Derville un personnage central du Colonel Chabert et apparaît dans de nombreux romans de La Comédie humaine : il joue un rôle important dans Gobseck (1830), César Birotteau (1837), Une ténébreuse affaire (1841), Le Père Goriot (1835), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1844). Il y joue toujours le rôle d’un avoué intègre. Il est, en effet, avec Chabert, face aux trois autres personnages (le comte et la comtesse Ferraud, Delbecq), le seul personnage honnête et généreux de ce roman. Il est aussi

à la conquête de Paris et on le retrouve plus tard dans les Illusions perdues, devenu aussi méprisant que tout bon parisien qui se respecte ; Lucien termine son apprentissage non pas à la fin des Illusions perdues mais à la fin de Splendeurs et Misères des courtisanes lorsqu’il se suicide et cette fois avec succès, dans ce cas on peut dire que cette fin marque fatalement, certes, mais marque tout de même le passage de Lucien à l’état adulte, où il se rend finalement compte que la vie n’a plus de

le roman a été regroupé l’année suivante avec Le Cousin Pons, dans une section spéciale des Scènes de la vie parisienne, intitulée Les Parents Pauvres. Après cette date, Balzac arrive à achever de grandes œuvres en chantier comme Splendeurs et misères des courtisanes ou Envers de l’histoire contemporaine, mais les autres romans ébauchés (Les Petits Bourgeois, Le Député d’Arcis) ne seront pas terminés : le romancier meurt épuisé en 1850. Ainsi, Les Parents Pauvres, surtout La Cousine Bette, représentent

Chabert en 1832, Le Père Goriot en 1835), scènes de la vie de province (Eugénie Grandet en 1833, Le Lys dans la vallée en 1836, Les Illusions perdues en 1843), scènes de la vie parisienne (Sarrasine, César Birotteau, La Maison Nuncigen, Splendeurs et misères des courtisanes, La Cousine Bette en 1846), scènes de la vie militaire (Les Chouans en 1829) et scènes de la vie de campagne (Le Médecin de campagne, Le Curé de village et Les Paysans en 1844).) L’Art de Balzac Balzac possède deux qualités maîtresses

chez Eugène Scribe, Augier, Dumas-fils, Pailleron, et enfin dans la critique et l’histoire chez Renan, Hippolyte Taine et Fustel de Coulanges. Oeuvres : Stendhal, un père du Réalisme. Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Splendeurs et misères des courtisanes, Eugénie Grandet et César Birotteau. Jules Champfleury Le Réalisme en 13 points. Emile Zola Au Bonheur des Dames et Le Roman expérimental. Pourtant, le style du Réalisme est trop simple pour durer. D'ailleurs, Flaubert s'en

société qui y est traitée. Ces études sont elles-mêmes divisées en “Scènes” : - Scènes de la vie privée (Le Père Goriot...) - Scènes de la vie de Province (Eugènie Grandet, Illusions perdues...) - Scènes de la vie parisienne (Splendeurs et misères des courtisanes...) - Scènes de la vie politique (Une ténébreuse affaire...) - Scènes de la vie militaire - Scènes de la vie de campagne (Le Lys dans la vallée...) Ces différentes scènes sont diversement remplies, Balzac n’ayant pas eu le temps

contes, de pièces de théâtre et de 95 romans dont certains personnages reviennent d'un livre à l'autre. Ses principaux romans sont : La peau du chagrin ; Eugénie Grandet ; Le Père Goriot ; Le lys dans la vallée ; Illusions perdues ; Splendeurs et Misères des courtisanes ; La cousine Bette ... Genre littéraire : Étude de mœurs Trois thèmes principaux du roman : L'amour, la justice, la vie au 19ème siècle Époque à laquelle se déroule l'histoire : Au 19ème siècle 3 personnages principaux :