St2s Schizophrénie

ou encore d’anticiper et de désamorcer des situations facteur d’anxiété ou d’agressivité. Me G. âgé de 34 ans, est atteinte d’une pathologie schizophrénique et de polytoxicomanie. Elle a été admise pour une décompensation délirante de sa schizophrénie suite à une majoration de prise de toxiques (drogues telles que cannabis et cocaïne) et une recrudescence anxiodélirante avec troubles du comportement et agressivité (notamment envers sa mère qui l’héberge). Lors de son arrivée Me G. est placé

se remet en question maintes fois par des « suis-je fou ? », ou « je me demande si je suis fou ». Or d’une certaine façon, l’intrigue ne disparaît point. Alors peut-on émettre l’hypothèse qu’au lieu d’être touché par une folie ressemblant à la schizophrénie, l’être invisible existerait vraiment ? Moi même je le pense délirant, mais cette scène pourrait à mon avis, renforcer les doutes. Il dit « voir » le Horla alors qu’en fait il s’agirait d’un corps solide et transparent à qui manque la propriété

qui ne remueront plus » - Il se voit mort. iii. Il cherche une échappatoire « Alors il eut peur de son lit, et afin de ne plus le voir il ouvrit la fenêtre pour regarder dehors. » Ouverture : Nous avons l’impression que c’est un début de schizophrénie

Maladie de Parkinson La maladie de Parkinson est une affection neuro-dégénérative chronique, lentement évolutive. Elle touche une structure située à la base du cerveau composée de neurones dopaminergiques qui disparaissent progressivement. Leur fonction est de fabriquer et libérer la dopamine (neurotransmetteur indispensable au contrôle des mouvements du corps). Le diagnostic est facile du fait de la présence d’au moins deux des trois symptômes suivants : la lenteur du mouvement (bradykinésie)

ETUDE DU CAS PASCAL Pascal (Schizophrénie paranoïde ?) Pascal, 25 ans, est hospitalisé en Psychiatrie en H.O. à la suite d'une agression commise contre son frère aîné auquel il a donné un coup de ciseaux. Son visage est pâle, ses traits sont tirés, il exprime une anxiété fébrile. Il est très négligé dans sa tenue et son hygiène personnelle. Il a des attitudes contradictoires, paraît maniéré et semble avoir des gestes incontrôlés. Il refuse de s'asseoir, demande à ce que la porte du bureau

Les perturbations comportementales dans la schizophrénie LE CONTENU DE LA PENSEE Les idées délirantes : convictions personnelles fausses qui ne correspondent ni à ses capacités intellectuelles ni à son bagage culturel I. de persécution : le sujet se sent menacé I. de grandeur : le sujet exagère son importance, ses connaissances, son identité I. de référence : le sujet croit que tous les évènements de l’environnement se rapportent à lui I. d’influence: le sujet a l’impression d’être contrôler par

TIS n°B23 Sommaire Introduction I. L’adolescent face à la schizophrénie 1. Schizophrénie et crise d’adolescence 2. Les schizophrénies et les bouffées délirantes II. L’entretien clinique 1. Les rapports entre le psychologue clinicien et l’adolescent atteint de schizophrénie 2. Les différents traitements proposés Conclusion Annexes Bibliographie Introduction : La schizophrénie existerait probablement depuis plusieurs milliers d’années dans toutes les cultures

8h00 le matin à un patient de 78ans, atteint d’une schizophrénie paranoïde a stade avancé. L’histoire de Patrick Née le 8 septembre 1934, Mr. M est Célibataire sans enfant et fils unique. Accompagné et pris en charge à domicile par sa mère, l’ équipe me décrie une relation fusionnelle et complémentaire entre eux. Il n’a pas connu son père qui les a quitté suite à un divorce difficile. C’est à l’âge de 20 ans que le diagnostic de Schizophrénie Paranoïde est posé. Ayant jamais travaillé, sa

psychique dont le risque majeur est le suicide. Ce qu’il faut explorer… 1. Diagnostic… car… – dépression et/ou alcoolisme retrouvé dans 80% des autopsies psychiques – 50% des suicides se font avec alcoolisation – Y penser aussi chez troubles paniques, schizophrénie, états limites 2. Antécédents de TS – Risque accru si suicide dans la famille – …si ATCD de TS (90% ne se suicident pas dans l’année qui suit mais le risque existe) – Le cas des automutilations : souvent calmantes mais parfois conduisent au suicide

Aucun antécédents médicaux et chirurgicaux à ce jours. Macrocible : M Motif d'hospitalisation : Entre ce jour pour corriger ses troubles de comportements et poser un traitement adéquat dans le but d'une réinsertion social (RAD ) Diagnostic de schizophrénie posé, entre en service psy à la demande d'un tier ( sa mère ). Symptômes : Hallucination auditive, délires, retrait social, syndrome de persécution, appauvrissement affectif et émotionnel, incurie, bizarreries, T Visée thérapeutique : Neuroleptique