Stackelberg

anglais Edouard Chamberlain publie « théorie de la concurrence monopolistique ». L’oligopole est la situation la plus fréquente. Il s’agit de montrer comment fonctionne ce marché, comment établir l’équilibre sur ce marché. Typologie des marchés avec Stackelberg. Et avec François Perroux qui a étudié les situations de pouvoirs (ex : d’une firme sur l’autre). Une partie des travaux de ce dernier va être repris. Et enfin, la dynamique économique avec Schumpetter : c’est lui qui a le mieux intégré la dimension

marché du travail où s’échange la force de travail et le marché des capitaux qui comprend trois compartiments que sont : le marché des changes, le marché monétaire et le marché financier. I – Les différents types de marché Let tableau de Stackelberg montre les différentes situations de marché que l’on peut rencontrer, en fonction du nombre d’offreurs et de demandeur. |Offreurs |Un |Quelques-uns |Multitude

firme dominante, le monopsone. Le cours se concentre ensuite sur les formes de marché intermédiaires entre la concurrence parfaite et le monopole : les oligopoles de Cournot-Nash (concurrence en quantités), de Bertrand (concurrence en prix) et de Stackelberg (leadership sur un marché). Les analyses graphiques sont associées à la théorie des jeux (pour l’étude de la prise de décision en interaction stratégique) et à des modèles formels simples. Manuel de référence : « Economie Industrielle » par Dennis

bénéfice) 2) Les H investissent dans le signal : ( 20.000y< 100.000 ( y< 5 ----------------------- Indicateur de la qualité du bien(1 ou 2) Identité du consomateur (1ou2) P1=v1S1 P2=v2S2-S1(v2-v1) Cournot P = 1 – q1- q2 Stackelberg Bain [pic] [pic]= [pic] Investissements spécifiques par rapport aux coûts de contractualisation Complexité de l’environnement (degré d’incertitude) par rapport aux coûts d’intégration Intégration verticale Echanges Spots

International Economics 3 (2), 141–155. Maurin, E., Thesmar, D., Thoenig, M., 2002. Globalization and the demand for skill: an export channel, CEPR Working Paper 3406, Centre for Economic Policy Research. Morasch, K., 2000. Strategic alliances as Stackelberg cartels—concept and equilibrium alliance structure. International Journal of Industrial Organization 18 (2), 257–282. Morrison, S.A., Winston, C., 1995. The Evolution of the Airline Industry. Brookings Institution, Washington, DC. Mottoo, A., Olarreagaa

les situations de monopoles sont fréquentes. Chamberlin pense que ces imperfections doivent être repérées et analysées non seulement au niveau de l'entreprise, mais aussi plus finement au niveau des produits. L'économiste allemand Heinrich von Stackelberg établit en 1940 un premier tableau inventaire des situations de concurrence (parfaite et imparfaites) John Kenneth Galbraith souligne combien le « poids » des entreprises peut influencer l'équilibre de la concurrence. Ce qu'il appelle le « pouvoir

d’assurance, sanction en cas de fraude, stratégie d’audit) et de l’assuré (comportement honnête ou frauduleux). Le principe de révélation représente un autre concept clé de notre analyse, dans la mesure où il permet à l’assureur d’avoir un avantage de Stackelberg sur l’assuré : le contrat d’assurance offert, incite les assurés à déclarer la vérité. « Le principe de révélation énonce qu’on peut se limiter à des mécanismes directs (où l’agent annonce son information) et révélateur (où il est de l’intérêt de

découle est l’intersection des fonctions de réaction (ou de meilleure réponse) de l’un à l’autre. Dans le duopole de Stackelberg, le jeu simultané de Cournot est transformé en jeu séquentiel avec producteur-initiateur (qui objective procéduralement l’autre) et producteur-suiveur (qui objective substantiellement l’autre) ; et on peut en déduire un équilibre asymétrique dit de Stackelberg. Corrélativement à son intérêt privilégié pour la concurrence parfaite, la microéconomie traditionnelle partitionnait

possibilités offertes à l'autre, celui qui décide en premier intègre cette information dans ses plans et fait son choix en conséquence, l'autre n'ayant plus qu'à suivre, son choix ayant été anticipé. L'exemple est donc un cas de concurrence à la Stackelberg où il existe une prime à l'engagement. Ces différentes théories (coûts de transaction, droits de propriété, principal-agent, jeux) nous permettent de mieux comprendre la notion d'institutions. 1.5 CE QUE SONT LES INSTITUTIONS Considérons un jeu

les firmes ont le même comportement adaptatif, qui consiste à fixer sa production en fonction des productions concurrentes. Ce processus de tâtonnement leur permet d'obtenir une production optimale, c'est-à-dire celle qui maximise leur profit. Stackelberg : meneur (leader) va fixer en premier le prix puis le suiveur va fixer son prix en fonction du leader. Les comportements d’ententes : l’entente peut porter sur les prix, les quantités ou la répartition géographique de ventes. Un cartel est un accord