Stackelberg

acteurs proposant des produits ou services répondant au même besoin que celui à laquelle cherche à répondre l’entreprise par le biais de son offre commerciale. On distingue généralement la concurrence directe de la concurrence indirecte. Tableau de Stackelberg | Offreurs | | Un | Quelques uns | | Demandeurs | Un | Monopole bilatéral | Monopsone contrarié | Monopsone | | Quelques uns | Monopole contrarié | Oligopole bilatéral | Oligopsone | | Multitudes | Monopole | Oligopole | Concurrence

ces différentes classifications permettent d’améliorer la qualité de l’analyse du marché, car elles introduisent des éléments d’information parfois très précieux. 2.14 La typologie économique La typologie usuellement employés est celle de Stackelberg, qui, à partir de deux informations, nombre d’offreurs et nombre de demandeurs, classe les marchés. Un seul offreur Quelques offreurs Un très grand nombre d’offreurs Un seul demandeur Monopole bilatéral Monopsone contrarié monopsone Quelques

des valeurs mobilière (actions, obligations,...) Offre et demande de devises terme Taux d’intérêt à court long terme Prix du titre Taux de change 2- Classification selon la situation de l’offre et la demande : L’économiste allemand Stackelberg a distingué 16 situations de marchés qu’on peut résumer en 9 principales : Offre Demande Un Demandeur Quelques Demandeurs Plusieurs Demandeurs Najat SENTEL Un offreur Quelques offreurs Plusieurs Offreurs Monopole bilatéral

demande, en effet, lʼéquilibre offre totale, demande totale, est postulé à chaque étape. Cet équilibre est sous optimal au sens de Pareto. La situation est inférieure à celle qui prévaudrait si on avait un seul monopole. 18 3) Le modèle de Stackelberg Il introduit une asymétrie dʼinformation dans le modèle, on fait les mêmes hypothèses sauf que lʼun des duopole est censé connaître la fonction de réaction de lʼautre, et lʼautre continue à faire des conjectures à la Cournot. Si on suppose que A

concurrents. La demande est inélastique à la baisse des prix et élastique à la hausse des prix. Le risque du modèle de Sweezy est qu’il y ait une collusion entre les E pour augmenter le prix. CAS TOYOTA : Alliance avec Daihatsu et DSA. b) Leadership (Stackelberg) On n’a plus deux entreprises qui sont égales mais on en a clairement une qui domine. Pour décider de sa capacité, la firme i leader doit faire des prévisions sur les réactions de la firme j follower à sa décision car elles sont liées par la demande

vie. La concurrence a des externalités négatives. Les pouvoirs publics doivent pousser les entreprises a mettre en place des moyens pour améliorer le bien être, et pour que les entreprises réduisent les externalités négatives. Synthèse de STACKELBERG | Offre |1 |Quelques (oligopole) |Multitude | |Demande | |

la réalisation de soi ,la volonté d’indépendance et d’autonomie,l’exercice du pouvoir . De plus l’entrepreneur se voit imposer ses prix par le marché. Cette hypothèse réelle dans beaucoup de cas n’est pas vérifiée dans de nombreuses situations. Stackelberg a décrit de nombreux cas où le marché fonctionne dans un cadre de concurrence imparfaite et où la fixation du prix n’était pas réalisé par la confrontation de l’offre et de la demande. Dans les cas de monopole , de cartel, de position dominante

réalisées par la firme nationale, ont été comparées : • Une politique de subvention optimale à la BRANDER & SPENCER qui conduit la firme nationale à la position qu'elle aurait "spontanément" atteinte si elle avait pu agir comme un "leader" à la Stackelberg sur son marché national. • Un accord d'autolimitation (restriction volontaire des exportations ou RVE) qui n'influence pas la fonction de réaction de la firme nationale /65. Cette politique implique que l'Etat connaisse la fonction de réaction de

profit individuel, et les équilibres coopératifs, où les entreprises s’entendent pour maximiser leurs profits joints. Dans le cadre des équilibres non coopératifs, nous distinguerons les équilibres en quantité et les équilibres en prix. Cournot et Stackelberg ont proposé des modèles d’équilibre en quantité où chaque entreprise doit choisir une quantité en tenant compte de la quantité choisie par son concurrent. En résonnant de même pour les prix, Bertrand a conçu un modèle d’équilibre en prix. Les entreprises

parfaite .................................................... 46  3.2.1.  La procédure de Récurrence vers l'amont (Backwards induction) ........................... 46  3.2.2.  Application de la récurrence vers l'amont : le modèle de duopole de Stackelberg .. 48  3.3.  L'Equilibre de Nash Parfait (SPNE) ......................................................................... 50  3.3.1.  Représentation d'un jeu dynamique par la forme normale ....................................... 51  3.3.2.  Détermination