Stackelberg

........................................................43 Figure 15 : L’équilibre de Cournot ..........................................................................................................................45 Figure 16 : Equilibre de Stackelberg vs. équilibre de Cournot................................................................................49 Figure 17 : Bulle sur les valeurs .......................................................................................................

production qui maximiserait son profit étant donné le volume de production de son concurrent. De proche en proche (processus de cheminement par adaptations successives), on s’acheminerait vers un point d’équilibre stable. L’économiste allemand Stackelberg a supposé quant à lui que l’une des deux entreprises mettait en place une stratégie de domination tandis que l’autre cherchait toujours à s’adapter. Il s’agit d’un duopole asymétrique de maîtrise simple. Dès lors, si l’entreprise I domine et fixe

moment où l’on introduit une contrainte. Ces trois modèles mettent en évidence l’interdépendance des agents monétaires s’ils ne la reconnaissent pas que ce soit au niveau des quantités, des prix. Le leadership en quantité, le modèle de Stackelberg On a un « leader » et un « follower ». Dans le leadership en quantité, la firme « leader » choisit sa quantité produite et la firme « follower » s’adapte à cette quantité produite par la firme leader. C’est une situation asymétrique. Comment

- Si problème Demande = politique conjoncturelle de la demande Paragraphe 3 – Concurrence imparfaite, le tableau de Stackelberg (1934) Dans les Années 30 Joan Robinson et Edouard Chamberlin vont montrer que le fonctionnement réel des marchés est très éloigné du modèle de l’idéal type de la concurrence pure et parfaite par les néo-classiques. 1934 : tableau de Stackelberg va synthétiser les situations où le marché n’est pas concurrentiel et va donc démontrer que la concurrence pure et parfaite

des jours meilleurs ou quitter cette activité. (profit = 0) [pic] Chapitre III La concurrence Le marché d’un produit est le « lieu » ou se rencontrent l’offre (les vendeurs) et la demande (les acheteurs). Selon Stackelberg, il y a 9 classifications de marché allant de la CPP au monopole | |Un offreur |QQ offreurs |Beaucoup d’offreurs | |Un demandeur |Monopole

1998 Principes d’économie moderne, Stiglitz, Walsh, Lafay ; de Boeck, 2007 www.minefe.gouv.Fr/recher/monopole “ l’essai de la généralisation de la théorie du monopole bilatéral “, Jean Lacroix ; Revue économique ;1951 Le baron Heinrich von Stackelberg (1905-1946) est un économiste allemand auteur de la classification des marchés, et contributeur à la théorie des jeux. Il classifie les marchés dans un tableau qui permet de recenser les différents modèles de la concurrence sur un marché (en fonction du

système productif à beaucoup évolué au cours du temps et continu à évolué. A- La transformation de la structure du marché 1) La structure des marchés C’est en fait envisager comment se présente l’offre et la demande sur un marché. STACKELBERG fait une classification selon le nombre d’offreurs et de demandeurs. 3 cas dans cette structure : * Le monopôle : 1 seul/ multitudes de demandeurs ex : Le monopôle de fait * L’oligopole : quelques offreurs / multitudes de demandeurs

and “impunity” games, where rather extreme perfect equilibria are descriptive of behavior (see, e.g., Harrison and Hirshleifer 1989; Roth 1995). In addition, ultimatum games with incomplete information (e.g., Guth, Huck, and Ockenfels 1996) and Stackelberg games in which followers have multidimensional action sets bolster these results. Moreover, they corroborate and extend the results described in Bardsley (2005). II. Discussion A recent surge of research in economics uses the laboratory

des transactions à l'intérieur d'une organisation) ou des formes hybrides (par exemple, coopération entre deux agents pour décider comment allouer une ressource, à quel prix, etc.). Le marché peut être caractérisé par sa structure. Le tableau de Stackelberg constitue une typologie des marchés selon le nombre d'offreurs et de demandeurs qui y interviennent. | |unité |petit nombre |grand nombre | |offre

marchés sont souvent entravés par une réglementation étatique ou corporative. 2. La concurrence est donc imparfaite. Les firmes ont le pouvoir de fixer les prix (elles sont « Price-maker »). Plusieurs structures de marché sont possibles : Tableau de Stackelberg un vendeur monopole bilatéral monopole contrarié monopole quelques vendeurs monopsone contrarié oligopole bilatéral oligopole nombreux vendeurs monopsone oligopsone concurrence parfaite Demande\Offre un acheteur quelques acheteurs nombreux