Stackelberg

cherche les atteintes à la concurrence. §2 : Ecole néoclassique 2 : Concurrence imparfaite – modèle de Bertrand (concurrence par les prix) / modèle de Cournot (concurrence par les quantités) Ecole Structuraliste – Edward Mason, Joe Bain Tableau de Stackelberg Modèle structure – comportement – performance (SCP) de mason : La structure du marché détermine le comportement des firmes et ses performances. Dans le modèle de concurrence imparfaite, Bertrand et Cournot ont mis en évidence que la concurrence

généralisèrent à toutes les activités économiques sous la forme de la loi de la productivité marginale décroissante (cf. vocabulaire). La concurrence pure et parfaite Demande/Offre 1 multitude d’acheteurs (demandeurs) 1 offreur Monopole Tableau de Stackelberg Quelques offreurs Oligopole Beaucoup d’offreurs Concurrence parfaite Répond à 5 critères : 5 critères. -atomicité du marché = grand nombre de participants sur les marchés, c’est-à-dire des offreurs et demandeurs. L’atomicité fait que personne

MARCHÉ FIRME A FIRME B PB PB PB RA RA RB E RB PeB P'2 P2 PA PeA PA PA P'1 P1 Duopole Concurrence par les prix Concurrence par les quantités Symétrique Cournot Asymétrique Stackelberg Avec contrainte de capacité Edgeworth Sans contrainte de capacité Bertrand Bowley Cm CM Pc CMc Une firme du Cartel Qc Rm Cm1=Cm2 Le Prix du Cartel est supérieur au Prix du duopole CmL : Coût marginal du

destination des biens. Les marques, les labels, les appellations contrôlées ou encore les étoiles pour les hôtels sont un moyen de se différencier. Les sujets de leur rencontre On se demande combien de sujets participent au marché. Selon Stackelberg il peut y avoir : Soit un grand nombre d'agents : ce sera le cas de la concurrence Soit un petit nombre d'agents Soit une seule personne ayant une position déterminante du côté du producteur ou du côté du consommateur. Quant à la

librement d’un marché à un autre  Transparence : l’information est parfaite, c’est à dire connue de tous et sans coût  Un marché n’est pas toujours constitué d’une multitude d’offreurs et d’acheteurs. Il existe plusieurs cas de figure (tableau de Stackelberg): 46 Offreurs Acheteurs Un seul Un petit nombre Un grand nombre Un seul Monopole bilatéral Monopsone contrarié Monopsone Un petit nombre Monopole contrarié Oligopole bilatéral Oligopsone Un grand nombre Monopole Oligopole CPP

rendements croissants. Mais si position de monopole, possibilité de manipulation du Cr comme pratiquer des P élevé dc forme de contradiction car int à grossir mais mm tps pas trop pr pas manipuler les indiv. KRUGMAN propose une solution (Cf tableau de Stackelberg sur le diapo) KRUGMAN : compte tenu du fait des rendements croissants, c'est la spécialisation qui va entraîner l'efficacité et non l'inverse tq le pensaient RICARDO et SMITH comme le Japon qui s'est spé ds la haute-techno et maintenant c'est

par la CPP D’autres structures de marché plus réalistes prévalent dans la réalité B- Les formes de concurrence Un marché n’est pas toujours constitué d’une multitude d’offreurs et d’acheteurs. Il existe plusieurs cas de figure (tableau de Stackelberg): 45 Acheteurs Offreurs Un seul Un petit nombre Un grand nombre Un seul Un petit nombre Monopsone contrarié Oligopole bilatéral Oligopole Un grand nombre Monopsone Monopole bilatéral Monopole contrarié Monopole Oligopsone

importante érature et cette question occupe encore aujourd'hui une grande parties des travaux de la nouvelle économie industrielle. Les modèles de base sont les modèles de duopoles développes par ournot (1838), Bertrand (1883). Edgeworth (1925), von Stackelberg 1934). L'introduction des plus récents développements de la théorie des Jeux permet d'enrichir considérablement ces approches. Les éléments majeurs des débats sont alors : - stratégies coopératives ou non coopératives - possibilité ou impossibilité

l’assurance. Quand la capacité est plus difficile à ajuster, comme dans le secteur de l’automobile, de l’aviation, ou du ciment, là on aura une concurrence à la Cournot. Les entreprises vont décider elles même des quantités qu’elle va produire. III. Stackelberg 1934 : dans ce modèle là les entreprises se font une concurrence à la Cournot, elles décident des quantités qu’elle va produire. Mais ici, il y a une entreprise qui est leader. Et qui a une position dominante. Elle peut être leader pour des raisons

(quelques vendeurs). Un tableau dit de Stackelberg, économiste allemand (1905-1946), recense les différents modèles de la concurrence sur un marché, en fonction de la situation des acheteurs et des vendeurs. Il classifie les marchés dans un tableau. Son tableau permet de recenser de manière fiable les différents modèles de la concurrence sur un marché, en fonction : du nombre d'acheteurs ; du nombre de vendeurs. 64 Tableau de Stackelberg Demande / Offre un vendeur quelques