Statue Du Narrateur Point De Vu

Cet extrait de l’Eloge de la Folie est l’occasion de pointer du doigt un des travers majeurs de l’humanité qui est sa crédulité et sa facilité à croire toutes sortes de superstitions et autres fables, c’est qu’Erasme critique ici, mais cette critique se veut plus profonde et nous verrons ensuite qu’il s’agit surtout de mettre en cause la religion qui se sert de cette faiblesse humaine « pour son plaisir ou son profit ». 1. Se placer du point de vue de la folie Dans l’Eloge de la folie, Erasme choisit

toujours les autres qui meurent (1982) et Passage des singes (1984). Avec Jean François Vilar, nous nous sommes immergés dans le Paris “ rouge ”, celui de la Commune et des séditions, comme le montre cette réflexion de son personnage qui est le narrateur de ces trois romans : “ Je grimpe la rue Lepic et je me dis une fois de plus que je n’aime pas tellement Montmartre. Je peux y aller, pas y échouer. Je ne suis pas du cru, j’habite pas à l’étage, et surtout je ne supporte pas cette saloperie de

repos avec nous-mêmes, nous travestissons en calculs et en système nos impuissances ou nos faiblesses : cela satisfait cette portion de nous qui est, pour ainsi dire, spectatrice de l’autre » (Adolphe p. 38). Comme les deux composantes du moi, le vu et le voyant (spectateur et acteur) ne sont pas toujours en accord, la solution trouvée pour résoudre cette position conflictuelle est l’écriture. « Je me suis fait une loi d’écrire tout ce que j’éprouvais » - déclare Constant puisque cela le

écrire la vie d’un homme que lui-même ». Francois René de Chateaubriand Mémoires d’outre-Tombe , 1848 posthume. On retrouve l’idée d’un choix qui doit être justifié car peut encore être vu comme de la vanité. Autobio, si on raconte notre vie = c du réel => Chateaubriand dit qu’il s’engage à ne pas donner le nom des gens de son en tourage. Terme de chimère >=> important chez lui, rêve pareil => car

quatre groupes de trois syllabes impriment rythme et harmonie de la démarche. Quant au vers 5, il constitue du point de vue de la structure une sorte d'enjambement sur le deuxième quatrain et surtout élargit le portrait en apportant des éléments d'ordre moral. Ici, la beauté morale se joint à la grâce du corps et aboutit à l'idéalisation de la beauté dans l'expression "avec sa jambe de statue". Dans le 1er quatrain, il faut aussi retenir l'expression "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le

nous empêche de connaître son identité. Ecriture de la première phrase, phrases courtes : ECRITURE JOURNAL INTIME (réflexion, affectivité « maman ») mais ce n’est pas daté. On associe cette écriture à l’écriture du télégramme ; 2 mots par phrase. Point de vu interne, télégramme lu à travers ses propres yeux, subjectivité des propos. - fils unique, 40 ans car sa mère est dans un « asile de vieillards », employé qui semble modeste. - Lecteur se reconnaît dans ce personnage (relation patron, travail, famille)

Départ --> Retour -->Nouveau départ Après l'aller -retour, le nouveau départ survient. Structurellement, le récit dessine son point de fuite, inscrit son ouverture, sa béance et par conséquent la perte de boussole pour le lecteur : la clôture (le retour) est détruite par le nouveau départ qualifié de définitif. Le retour assure l'harmonie, fixe le cadre et pointe la clôture. Mais le nouveau départ inscrit le rythme cyclique qui est dirigé contre la linéarité de l'histoire. En plus, cette

achètent aux plus pauvres des tickets de vie. Le marché noir de ces billets se développe au point que, pour certaines personnes, les mois durent plus de trente et un jours. Le narrateur de la nouvelle tombe amoureux d'une certaine Elisa, mais la jeune femme ne le sait pas. Le Décret Nous sommes en pleine période de guerre. Les autorités (encore elles) décident d'avancer le calendrier de dix-sept ans. Le narrateur, comme l'ensemble de la société d'ailleurs, est donc projeté en avant de l'année 1942

intéresser : Introduction à la littérature fantastique, fut écrit en 1970 (on peut constater que c'est sur ses débuts car 3° écrit). Cet écrit suscita de nombreux commentaires et même de controverses. Mais ce qui fait l'originalité de Todorov est le point de vue qu'il adopte car il sépare l'étude en deux grandes parties : Dans un premier temps, il tente de repérer des règles fonctionnant à travers plusieurs œuvres afin de déterminer les structures générales du fantastique puis,

philosophique» qui nous permet d'observer l'inobservable et d'en tirer une connaissance approfondie de la réalité humaine. C'est autour d'un récit philosophique analogue, on le sait, que Condillac construit son Traité des sensations : «nous imaginâmes une statue organisée intérieurement comme nous, et animée d'un esprit privé de toute espèce d'idées. Nous supposâmes encore que l'extérieur tout de marbre ne lui permettoit l'usage d'aucun de ses sens, et nous nous réservâmes la liberté de les ouvrir à notre