Statut juridique

des masses, et notamment les aides financières. Grands massacres et violation du DIDH = génocide. Mais obéit à une définition juridique stricte. C. l’instrumentalisation de la notion juridique de « génocide » La Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948 a défini crime de génocide dans article 2 même définition dans article 6 du Statut de Rome. Le Soudan signé et en vigueur depuis janvier 2004. Norme de jus cogens, application erga omnes. Quatre éléments clés :

Statut de Rome de la Cour pénale internationale* * Le texte du Statut de Rome est celui du document distribué sous la cote A/CONF.183/9, en date du 17 juillet 1998, et amendé par les procès-verbaux en date des 10 novembre 1998, 12 juillet 1999, 30 novembre 1999, 8 mai 2000, 17 janvier 2001 et 16 janvier 2002. Le Statut est entré en vigueur le 1er juillet 2002. Statut de Rome de la Cour pénale internationale PRÉAMBULE Les États Parties au présent Statut, Conscients que tous les peuples sont

sociales : ensemble d’acteurs sociaux qui partagent le même statut social qu’ils établissent eux-mêmes. Elles ont des rapports de classes. >Catégorie sociale : pas d’acteurs sociaux qui établissent le statut (mais l’observateur / le sociologue) ; est plus ou moins arbitraire. De nos jours, Professions et Catégories Sociales. Il y a 7 principales catégories dans les PCS. Six font référence à la profession de la personne visée (statut et activité). 1. Agriculteurs exploitants En 1984 : 6,3 %

noter vie. | |De toutes les castes qui vivent à l’ur (village où vivent les non intouchables : lieu de pureté religieuse, du statut social et de la puissance | |publique ; les intouchables vivent au céri ), celle des Raddiar est la plus haute. Ils n’ont pas d’égaux. Les autres viennent après : les | |Mudaliar, les Naîker, … les Reddiar, ce sont ceux qui ne vont pas

la compétence de sa propre compétence, c’est décider de ce qu’on a envie de faire quand on a envie de le faire. Être souverain c’est n’être soumis à personne, à aucun autre état ou aucune organisation internationale, donc c’est la formalisation juridique de son indépendance. La souveraineté est défini comme étant le pouvoir suprême avec un degrés de puissance et de liberté le plus haut : c’est la compétence de sa propre compétence, c’est décider de ce qu’on a envie de faire quand on a envie de le

(mobilité professionnelle au sens strict) ou de localisation (mobilité géographique) sans changement de statut dans la hiérarchie sociale. Ainsi, une ouvrière qui devient caissière change de métier mais pas de position dans la hiérarchie sociale. Il en est de même d’un fils de comptable qui devient technicien informatique. La mobilité verticale qui concerne le passage, ascendant ou descendant, d’un statut social à un autre à l’intérieur d’une hiérarchie sociale pour un individu ou un groupe social. Il

définition généralement admise. Et pour cause, sa définition évolue empiriquement, à mesure des atrocités commises par les hommes. Ainsi, les tribunaux ad hoc (TPIY et TPIR) ajouteront par exemple à la liste de Nuremberg le viol ou encore la torture. Le statut de Rome instituant la CPI ajoute lui l’apartheid et la notion de disparation. La liste reste encore ouverte puisqu’elle ajoute « et autres actes inhumains ». C’est à ce titre que certains demandent que le terrorisme en fasse partie. A cela il est

II- La place des individus au sein d’un groupe. A- L’identité sociale Il s’agit de la reconnaissance par les autres de la place occupée au sein du groupe (age, profession, statut social.) B- Le statut social Il s’agit de la position sociale qu’occupe un individu par rapport aux autres membres du groupe ce statut dépend de l’âge, de l’expérience et de sa profession. C- Les rôles Dans l’organisation le rôle de chaque individu repose sur la fonction de l’individu. Dans la plupart des

du juste et de l’injuste, de noblesse, de bassesse, et enfin de tout, follement peut-être, de tout son poids d’homme certainement » (XX,54). En ce sens proprement humaniste, l’inégalité admise jusqu’alors pour les aptitudes professionnelles et le statut social n’est plus acceptable. La finalité humaniste de l’éducation, selon Alain, a pour corrélat l’assomption résolue du principe de l’égalité de tous devant l’éducation. Elle trouve même sa traduction la plus juste dans une éducation inégalitaire

l’égalisation des conditions qui consiste à faire se rapprocher les conditions sociales des individus est importante et irréversible. Dans une société démocratique chacun doit pouvoir accéder à toutes les professions, les honneurs, autrement dit à tout statut social (égalité des chances). Les inégalités de classes sont ainsi rendus supportables par une forte mobilité sociale possible. La société démocratique n’empêche donc pas les inégalités de richesse. Remarque : l’égalité des conditions a été affirmée