Stendhal Indirect Libre

accepte, au contraire, la parfaite impersonnalité et le réalisme linguistique. Tous les deux utilisent donc les techniques narratives de la focalisation interne et le discours indirect libre pour atteindre l'impersonnalité et l'objectivité, mais leurs objectifs divergent. Comme Zola, Verga utilise le discours indirect libre mais de façon plu régulière et lié organiquement à la narration. Il y a, chez Verga, un narrateur anonyme qui veut s'éclipser derrière le personnage et représenter la mentalité

délivrées par d'autres personnages rencontrés par le "voyageur" ; ceux-ci détaillent ses biens, en particulier, dans des discours directs, indirects et indirects libres: «on lui répond avec un accent traînard: Eh! elle est à M. le maire. » (I. 2-3); « on lui apprend que cette maison appartient à M. de Rénal » (I. 25) (la suite constitue du discours indirect libre). Le portrait de M. de Rénal progresse donc en même temps que le voyageur effectue sa promenade.Le narrateur souligne sa puissance et

créer de la compassion, d'attirer la bienveillance des jurés, en présentant Meursault comme un humain. Mais son discours est maladroit et stéréotypé.B - Les points faibles du plaidoyer- La conversation entre Meursault et gendarme (discours direct et indirect) révèle que le discours de l'avocat n'est pas original mais est stéréotypé, donc pas très convaincant.- Avocat arrogant : déclare pouvoir lire dans l'âme de Meursault « à livre ouvert » (métaphore) alors que Meursault est un personnage opaque difficile

Discours indirect Le narrateur rapporte les paroles des personnages indirectement, en les insérant dans le récit, et en conservant leur sens. On change les adjectifs, les pronoms personnels et possessifs, ainsi que certains mots interrogatifs. Il est caractérisé par l'absence de guillemets, ainsi que des points d'exclamation et d'interrogation. Exemple: Fatouma dit à Alizé de ne pas s'en aller, et qu'elle allait se faire gronder. III. Discours indirect libre Type de discours indirect, mais sans

«  ils sont hors de » ligne 24 et 25. Leur méfiance à l'égard des étrangers s'expriment aussi apr la métaphore de la maladie «  contagieux » de la ligne 33. Le ton polémique est particulièrement sensible dans la question rétorique au discours indirect libre à la ligne 29, suppose être celle de ces compatriotes. Le portrait satirique est sans appel, l'auteur ressent de la honte à la ligne 23, honte devant leur sotises. En effet, le superlatif à la ligne 30 «  le plus intélligent » s'applique à ceux

se soulever à petits intervalles réguliers le mouchoir dont il s’est couvert le visage. - Hou hou, cria-t-on plus fort. - Encore une Canadienne et son joueur de banjo, murmura Cidrolin sous son mouchoir. » B) Le discours indirect La fonction du discours indirect est d’insérer les paroles rapportées par autrui dans un texte. Ces paroles sont alors subordonnées à un verbe introducteur déclaratif suivi d’une ou de plusieurs propositions subordonnées. Elles subissent des modifications afin

semble pas porter un jugement positif sur Madeleine si l'on en croit les expressions suivantes : « l'inimitié jalouse » (l26) et « réserve hostile » (l32). Le narrateur explique la raison de cette inimitié par les paroles rapportées au discours indirect libre : « Non. Ce n'était pas la bru de ses rêves, la grosse et fraîche fermière, rouge comme une pomme et ronde comme une jument poulinière. Elle avait l'air d'une traînée, cette dame-là, avec ses falbalas et son musc » (l32-33-34). Il y a donc un

connaissance du lecteur par une description allant de l’allure générale aux détails. Les vêtements et les gants de Madeleine expliquent que les deux personnages soient désignés par les expressions «  ce beau M. » et «  Cette belle dame ». Le discours indirect libre rend compte ici de la façon dont les parents Duroy perçoivent leur fils et leur bru. Eux même sont désignés par le groupe nominal «  les deux campagnards ». La tenu de ville des gens aisés est en effet bien différente de celle des ruraux tel

bon roi » , excessives qualités, euphémisme « croquer » Discours narrativisé → masse indifférenciée, comme réduits à l’état de robot ≡ déshumanisation des courtisans Jugement hâtif de l’âne , opposition entre « peccadille » « cas per… Discours indirect libre du loup = sentence → déchaine les foules sur l’âne : pas euphorie mais cacophonie «  cria haro ! » II- Une satire virulente de la cour A- Principaux protagonistes Personnages types , animaux → caractère bestial Ambiguité des personnages :

le chien ou encore l'avenue. Le narrateur opère en outre une délégation de voix et livre les pensées d'Emma à travers un monologue intérieur retranscrit par différentes formes de paroles rapportées : à Discours direct : à Discours indirect : à Discours indirect libre : Le lecteur a ainsi accès aux pensées d'Emma comme en témoignent le vocabulaire de la rêverie « Emma se répétait » « elle se demandait » « elle cherchait à imaginer » ou les modalisateurs « semblaient » « sans doute ». Enfin l'utilisation