Stendhal Indirect Libre

principal. DISCOURS RAPPORTES Discours direct : «  », introduit par un verbe de paroles, ponctuation expressive ( ! ? …), temps du discours. Discours indirect : On rapporte les paroles du personnage avec un verbe de parole + conjonction de coordination, proposition subordonnée. Temps du récit. Il dit qu’il allait manger. Discours indirect libre : Il était inquiet.(implicite de parole) Etait-elle contente ? Discours narrativisé : On raconte qu’il parle, on donne le sujet sans le contenu. Il

filmique : « elle essaie de s’approcher.. ; » « Mathilde est à vingt pas de lui » « plus il s’approche, plus il s’approche » « Il est arrêté à deux pas » « Elle pourrait tendre la main, il s’approcherait encore, elle le toucherait » (discours indirect libre ou commentaire du Narrateur ?) Mathilde apprivoise Manech jusqu’à ce qu’enfin elle le reconnaisse. (phrase conclusive )………….. (transition vers la seconde partie):…….. II) Un dénouement paradoxal. 1) Le dénouement attendu : fin

rabelaisienne mais aussi quelques scènes de peintres flamands, tel Brauwer. 2- La polyphonie Cette impression de réunion, de communion autour de l’oie est renforcée par la polyphonie du texte. La narration est ainsi superposée à du discours indirect libre à un point qu’il est parfois difficile de déterminer qui prend en charge le récit, de qui il émane. Ainsi, Gervaise est peut-être racontée à travers le regard amoureux de Goujet. L’exclamative et l’adverbe initial soulignent le passage au dil

rabelaisienne mais aussi quelques scènes de peintres flamands, tel Brauwer. 2) La polyphonie Cette impression de réunion, de communion autour de l’oie est renforcée par la polyphonie du texte. La narration est ainsi superposée à du discours indirect libre à un point qu’il est parfois difficile de déterminer qui prend en charge le récit, de qui il émane. Ainsi, Gervaise est peut-être racontée à travers le regard amoureux de Goujet. L’exclamative et l’adverbe initial soulignent le passage au dil

narrateur, qui porte une vision "ironique" sur son personnage et se moque de la "comédie" de Duroy, dont il fait ressortir l'aspect arriviste et superficiel grâce à des expressions ironiques. -La modernité de l'extrait se voit aussi au discours indirect libre utilisé, tout comme à la focalisation interne, qui permet de suivre l'évolution intérieure du personnage.(ressenti, pensées). CONCLUSION : Ce roman présente à la fois des caractéristiques et thèmes propres aux romans réalistes du XIXème

clerc », vers 57), on voit dans le rythme ternaire qu’il utilise : « ce maudis animal, ce pelé, ce galeux… » vers 58 et 59, toute la morgue des grands à l’égard des plus faibles, et toute leur mauvaise foi . La Fontaine utilise ici un discours indirect libre pour traduire le discours « la harangue », vers 57, du loup. Il est d’ailleurs de fait, qu’à l’époque, le vol commis par un pauvre (paysan, braconnier, miséreux de la ville, errant sans logis…) était plus lourdement puni qu’un crime de sang (un

(étourdie, stupéfaite, écart) >< aisance pour lui (pipe, danser) * L. 126 : discours indirect donné par le narrateur avec formule en style direct entre guillemets : « la faute de la boisson » * Très peu de discours direct, souvent en discours indirect ou en discours indirect libre pouvoir du narrateur sur son texte omniscience * L. 131 : discours narrativisé * L. 139 : discours indirect * L. 154 : passage itératif où le narrateur met en évidence le contraste entre les 2 personnages

poème. (1pt) Grammaire 1. Cherchez dans le texte un vers où on a employé le discours direct. Qu’est-ce qui montre qu’il s’agit de ce type de discours ? (1pt) 2. a)- Soulignez le discours indirect libre dans ce paragraphe et dites quel est son rôle. (1pt) b)- Mettez-le au style indirect ordinaire. (1pt) ‘’V. Hugo ne s’est pas remis de la mort de sa fille. Pourrait-il un jour oublier un être si cher à son cœur ? Serait-il capable d’effacer de sa mémoire ces moments de joie et d’insouciance

Dans une narration, les énoncés (les phrases prononcées) des personnages ou des interlocuteurs peuvent être transmis soit au discours direct, soit au discours indirect. Le discours direct s'utilise quand on veut reproduire les énoncés tels qu' ils ont été prononcés au moment de la communication (pendant le dialogue ou le monologue). Il s'agit de la transposition directe des mots et de la pensée de quelqu'un. C'est pourquoi tout énoncé au discours direct préserve les "traces" de l'oral: points

premiers vers : les « champs Elysiens »(2) s’opposent aux « feux »(5) qu’entourent l’Ermite et tandis que le Vizir connaît « un plaisir aussi pur qu’infini » (3), l’Ermite suscite de la « pitié » (6). C’est le moment où en utilisant le discours indirect libre, l’auteur fait intervenir l’interprète. Ce procédé souligne l’importance de l’explication du songe dans cette première partie : à l’amour de la solitude qui sauve le Vizir s’oppose le caractère de courtisan de l’Ermite. Une sorte de morale se