Stendhal Indirect Libre

très claire entre les deux personnages. Volonté d’établir une communication : le roman n’est pas seulement un récit, mais également un lieu d’échange. Double niveau de communication littéraire : mise en avant de l’échange avec le lecteur. = échange indirect. Le lecteur est convoqué : mise à nu des mécanismes de la fiction. II. Un roman philosophique : une réflexion sur le roman et sur le monde C’est seulement au 20ème siècle qu’apparaît le nouveau roman qui remet en question la nature même du personnage

mûres» (p 9). Cet enfant, présenté à l’instituteur comme «un arriéré bien sûr !» (p 69), «n’était pas très attachant, non ! ni très ragoûtant, son pauvre `sagouin`» (p 71). [Nombre de passages du texte permettent une étude de l’emploi du discours indirect libre.] «Il lisait … sans qu’on ait jamais eu la preuve qu’il en retînt quoi que ce fût.» Paule avait honte de lui. Guillaume est, de plus, la figure emblématique de l’animal fragile cherchant à trouver refuge dans la terre : "Sa grand-mère, son père

point arrivé. » Dans ce passage, le narrateur nous dévoile les réactions et les pensées du héros sans que celui-ci ait besoin de les exprimer ouvertement. Le narrateur lit dans l'esprit de son personnage. Les dernières phrases sont au discours indirect libre, mais ici encore tout se passe intérieurement. 2)Le point de vue externe : L'action semble perçue par un témoin extérieur et le narrateur ne donne aucune information sur l'intériorité des personnages, leurs intentions ou les éléments d'une

pousser une « plainte désolée » au discours direct « Oh ! ma pauvre maman ». Puis elle se torture et nous suivons ses réflexions, sa pensée au discours indirect libre « la connaissance de l’affreux secret n’amoindrirait-elle pas son amour filial ? » puis « comme c’était loin ! ». Enfin nous entrons dans ses pensées amères au discours indirect : « se demandant s’il était possible que, sur cette terre […] il n’y eut ni joie ni bonheur ». Ces choix progressifs de discours, nous éloigne peu à peu

Gervaise_ il reste son homme malgré tout ce qu'il lui à fait, elle reste tout de même affective pour lui _elle fait toujours preve de compation, on le voit à la main sur l'épaule C. Le Regard de l'interne_Il interprète les signes avec un discours indirect libre pour dire qu'il n'est pas encore mort_discours direct d'autant plus marquant pour dire qu'il est mort car il n'y en a pas beaucoup dans ce passage Une nouvelle vision : le naturalismeA. Homme philosophique_contrairement à l'ancien temps, la

L’abréviation nous conduit vers une ville imaginaire, mystérieuse de par l’initiale et l’abréviation. « T. Beach » connote un environnement anglo-saxon mais rien de plus. Quelques références semblent ancrer le temps dans les années soixante, la journée libre du jeudi est une notation du temps scolaire des coutumes françaises, le casino sur la plage. Les noms des personnages mêlent anglais, allemand, russe, français comme « Tatiana », « Michael Richardson », « Karl », « Lol ». Le paysage de ce début est

ne peut qu’obéir ou répondre ; contradiction flagrante avec le sans déguiser par lequel le roi tente de montrer sa mansuétude. Discours narrativisé : Le Singe approuva fort cette sévérité (20) ; L’autre aussitôt de s’excuser (30) Discours indirect libre : 23-24 (discours du singe) Alternance des temps temps du récit : imparf / passé simple 30 : L’autre aussitôt de s’excuser : infinitif de narration, qui exprime la rapidité, l’immédiateté de la réaction (servilité du renard) ; vivacité

vers le tableau des mouvements du personnel » (l. 9). Ces verbes racontent l’arrivée du personnage à son bureau un matin : on a donc un texte essentiellement narratif, qui, en nous montrant un personnage en train d’agir, nous en fait un portrait indirect. Ainsi, le texte rend compte des perceptions du personnage, qui examine avec intérêt son auto avant de s’admirer dans le miroir du hall. Les verbes de perception visuelle sont omniprésents : Adrien Deume « s’assura que les vitres étaient bien relevées

Cette focalisation interne laisse ensuite la place à la focalisation omnisciente du narrateur qui connait tout : « Maintenant, en plein ciel, le soleil d'avril rayonnait dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantait ». Zola utilise le discours indirect libre pour que l’on puisse entendre les paroles d’Etienne : « N’était-ce pas la Maheude (…) par le ronflement du ventilateur ? ». l'imparfait de l'indicatif indiquent clairement qu'il s'agit d'une transformation ou d'une reformulation des propos

premiers vers. 5 – 6 L'allitération en f qui se poursuit. Il dépose ses bûches et prends un moment pour réfléchir à sa vie. 7 : il se demande s'il a été heureux un jour. 8 : il se demande si il y a des gens plus malheureux que lui -> discours indirect libre introduit par « Il songe à son malheur » et par des questions oratoire, car pas d'interlocuteur. Après ça, La Fontaine va citer tous les points de sa vie qui lui ont posé des problèmes (vers 9 – 10 – 11) on a donc une énumération, une accumulation