Stendhal Indirect Libre

quelque peu frotté de droit ("clerc"), l'on voit dans le rythme ternaire qu'il utilise "ce maudit animal, ce pelé, ce galeux..." toute la morgue des grands à l'égard des plus faibles, et toute leur mauvaise foi. La Fontaine utilise ici un discours indirect libre pour traduire le discours ("la harangue") du loup. Si La Fontaine ne s'apitoie guère sur le sort de l'âne, il ironise sur la Cour et les Grands... 5ème partie : la moralité. Le récit connaît une ellipse : nous ne saurons pas si ni comment l'âne

Discours direct, indirect et indirect libre (v. 4) se mêlent -> vivacité des débats et des exclamations de leur conversation. • Modalités exclamatives (v. 2) et interrogatives (v. 6, 8-9) -> questions rhétoriques soulignant l’inutilité des efforts du vieillard alors que la mort est si proche. • V. 2 : première remarque des jouvenceaux formulée de manière impersonnelle -> le vieillard est écarté de la conversation. • V. 4 : même effet, produit par l’emploi de « il » (discours indirect libre) -> à nouveau

qui subit une métamorphose liée à l'automne et aux sentiments de Jeanne. Nous avons une nature en pleine transformation. La présence du questionnement qui se traduit de la ligne 7 (13, permet de voir cette transformation. Le jeu du discours indirect libre nous permet de remarquer que le narrateur partage les sentiments de Jeanne. Les questions montrent que la nature change. Ce jeu des questions port sur l'objet et pourrait être le reflet de l'identité du sujet, d'elle-même. Une insistance sur les

est visible dans les thématiques et les descriptions : ( L’omniprésence du thème de l’argent traité en détail grâce à ce qui peut être considéré comme le discours intérieur du personnage retranscrit au discours indirect libre de « Cela représentait…au choix » ou au discours indirect (voir plus loin). Le champ lexical de l’argent : « francs », « sous » « centimes » allié à la multiplication des chiffres renforce cette impression. Même les détails vestimentaires donnent lieu à une évaluation :

Discours rapportés direct et indirect ; discours indirect libre ; discours narrativisé Il s'agit d’un des trois types de discours rapporté. Discours rapporté direct (DRD) Présence de verbes introducteurs de dire ou éventuellement de pensée suivis de guillemets indiquant clairement un changement de coordonnées énonciatives (les paroles d’un autre locuteur sont rapportées) : les coordonnées énonciatives (le moi-ici-maintenant) changent sauf dans les cas particuliers où l’énonciateur rapporte

dialogue est présent, et peut être redéfini. Il peut se manifester grâce à l’emploi du discours direct pour animer des échanges, des communications entre les personnages, mais peut également être un monologue intérieur avec l’emploi du discours indirect libre, il n’en demeure pas moins que l’illusion de la présence d’un destinataire participe à l’effet dialogique. La présence de personnage dans un roman implique un mode de communication, intérieur (introspection) ou extérieur (la gestuelles, les dialogues

nous faisant part de ses pensées intimes .Des verbes de perception sont utilisés « elle songeait » (l.1) , « il lui semblait que » ou encore « les mots lui manquaient » ce qui nous amène à mieux comprendre le personnage .On voit que le discours indirect libre se fond dans le récit de la ligne 3 à 49 , de « pour en goûter la douceur » à « le bonheur même quelle lui donnait « .En supprimant les marques qui annoncent un propos rapporté , la voix du narrateur etcelle d’Emma se fondent et permettent l’instropection

reconnut / cria Elsa. Le discours indirect * Le discours indirect perd son indépendance syntaxique, et se construit donc comme une subordonnée, complément d’un verbe principal signifiant « dire » ou « penser ». Il est généralement bien intégré au discours dans lequel il s’insère et n’est pas marqué par une rupture énonciative. * Exemple : Robespierre a dit que Danton était un traître. Le discours indirect libre * Le discours (ou style) indirect libre est essentiellement un procédé littéraire

L’éducation sentimentale (1869) de Flaubert ou La Femme de trente ans (1842) de Balzac. Pour cette scène de la découverte de l'adultère, Maupassant utilise une approche originale. Au début du texte, on a le point de vue du Comte et le discours indirect libre (« Que pouvait-on craindre par cette tempête ? ») puis le point de vue externe : le lecteur assiste à une scène racontée par un témoin extérieur, « il semblait attendre ». Le Comte est lui-même spectateur avant d'être acteur (« aperçu », « colla

qui produisent le monologue sont présents sur scène pour exprimer leurs sentiments, pour essayer de prendre du recul vis-à-vis de la situation et ainsi pouvoir mieux résoudre leurs problèmes. Pour appuyer leur discours, ils utilisent le discours indirect libre : « le tien est-il donc de me tromper ? » texte B, l.2 « est-il rien de plus bizarre que ma destinée ? » texte B, l.14 « mais pourquoi cette conversation d’hier ne veut-elle pas sortir de ma tête ? » texte C, l.8-9 « Où vais-je donc ? » texte