Stendhal Indirect Libre

4/ Les faits se déroulent dans l'ordre chronologique Les faits ne suivent pas l'ordre chronologique 5/ Dans le premier chapitre pour faire entendre ses personnages, le romancier a choisi : le discours direct le discours indirect le discours indirect libre 6/ Quelle phrase du premier chapitre vous paraît le mieux correspondre à la situation? Il faut bien mourir quelque part. Le hasard n'existe pas. Mieux vaut ne jamais recevoir. Passé l'âge de 25 ans toute rencontre humaine

est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos, Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d’un malheureux la peinture achevée. Monologue au discours indirect libre : bilan, introspection Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu’il faut faire C’est, dit-il, afin de m’aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère Le dialogue avec la mort Le trépas vient tout guérir

et elle avait honte d’elle, et un mépris de sa chair l’emplissait de colère sourde » association syntaxique de coordination sur un même plan »honte » et « mépris ». b) La soumission à autrui - Série de questions au discours indirect libre « qui l’avait mise nue », « qui donc l’avait marquée ainsi ? » + focalisation interne. Perte de tte conscience + perte de la maîtrise de son destin =elle subit. - Sentiment de dépendance incapacité d’agir « colère sourde » concentrée

plusieurs références : «  linge » ; « son grand panier de blanchisseuse » (l. 5). - Coupeau : «  l’ouvrier zingueur » (l. 2) : on y apprend son métier Une aversion commune pour l’alcool Utilisation du discours direct entrecoupé de discours indirect libre . Gervaise et Coupeau font appel à leurs souvenirs pour expliquer leur dégoût vis-à-vis de l’alcool. 1. Réquisitoire de Gervaise contre l’alcool L’expérience qu’a connu Gervaise de l’alcool l’a écœuré : en effet, elle évoque ici son

est coupé de l'énonciateur, lequel efface les traces de sa présence (absence de déictiques et de modalisation), à la différence d'un système de discours. Mauriac regarde Thérèse de l'extérieur ; il y a superposition de points de vue (discours indirect libre). 1 Incipit liber signifie "premières lignes du roman" et par extension ses premières pages.

aussi l'auteur de tragédies) et ce passage peut être rapproché de la scène d'adieux dans la tragédie de Racine Titus et Bérénice (sauf qu'aucun ne meurt dans cette pièce). Le dernier passage l.58 « jamais Kouame... » jusqu'à la fin est au discours indirect libre et constitue un monologue intérieur, celui de Samilia face à une sorte de dilemme. a) L'extrait est essentiellement constitué de dialogues, les passages narratifs l.14 à 17, l.32-35 ressemblent à des didascalies au théâtre, notamment l.47-48 :

" Maintenant les souvenirs affluaient dans l'esprit de Pierre " 2- celle de Pierre : Propos rapportés aux styles direct : " Il murmura : " Il faut savoir. Mon Dieu. Il faut savoir. " ". 3- ces deux voix : Se confondent avec le discours indirect libre, perceptible à plusieurs indices :      - les phrases interrogatives à la troisième personne qui traduise les questions que se pose Pierre : " Pourquoi laisser toute sa fortune à Jean ? " et "rien à Pierre " au lieu de moi.      - le narrateur

tours…pour dissimuler sa manœuvre », « jamais il n’avait vu », « il souhaitait connaître ». L’expression « il la regarda » permet de changer de point de vue. Mais il peut s’agir également d’un monologue intérieur délibératif rapporté au discours indirect libre. Le lecteur est donc placé dans une position de complicité avec le personnage par les yeux duquel il perçoit la réalité, il est dans l’intimité du personnage. - Le point de vue interne est donc biaisé par l’irruption du point de vue omniscient

persuasive du prêche (facultatif) 1 Organisation du texte ( structure de discours : • l. 1-2= récit • l. 3-13= discours direct • l. 14-16=récit • l. 16-34= discours direct • l. 35-41=discours indirect • l. 41-fin= discours indirect libre ( donne du rythme accentue force persuasive= discours vivant ( pause + donne indice cadre spatiaux temporels ( 2 voies : Paneloux + narrateur 1 Texte narratif à visée argumentative ( « vous » = interpellation

sans vraie réponse. La seule réponse est aussi l'une des rares interventions du narrateur et elle reste liée à une interprétation subjective : "voici la notion qu'il en a". Nous comprenons ainsi que nous nous situons à l'intérieur d'un discours indirect libre qui permet d'en rester au point de vue du personnage, de ne pas excéder son niveau de connaissances et donc de permettre au texte de communiquer toutes les attentes ou toutes les énigmes. Le passage du "il" au "je" à la fin du texte ("ceux qui