Stendhal Indirect Libre

2.1 La voix de jeanne Beaucoup de verbes d’introspection surtout au début du texte- - discours indirect au discours indirect libre lors de la découverte du jardin les questions qui sont posées attribué a la voix de l’héroïne. Dans les 2 derniers paragraphe les sensations de jeanne deviennent de plus en plus importante nature appréhendée à travers une pluie incessante a faire pleurer le rythme de phrases est plus nerveux avec des composition relativement courte : accélération Moins de ponctuation

tout autres animaux) - évite les répétitions - aller plus vite / accélérer ¤V - 56 : discours indirect ( pour le loup) - contenu de ce qu'il dit --> manipule le public ¤V - 60 : discours indirect libre - organisation du discours I. - avantage discours D. et discours indirecte Narrateur montre l'ironie du crime de l'âne et montre le coté malhonnête des autres animaux par un coté implicite. 3- Un récit

raliste de cet incipit est visible dans les thmatiques et les descriptions ( Lomniprsence du thme de largent trait en dtail grce ce qui peut tre considr comme le discours intrieur du personnage retranscrit au discours indirect libre de Cela reprsentaitau choixou au discours indirect (voir plus loin). Le champ lexical de largent francs, sous centimes alli la multiplication des chiffres renforce cette impression. Mme les dtails vestimentaires donnent lieu une valuation un complet de soixante

personnages Le discours direct : rapporte textuellement les paroles d’un personnage, utilisation de «» ou marqué par la présence d’un incise Le discours indirect : il rapporte pas nécessairement fidèlement les paroles d’un personnage. Sans «» ni tiret, se présente sous la forme d’une proposition subordonnée Le discours indirect libre : évite la rupture dans la narration, aucun «» ni tirets, ni verbe déclaratif, difficile à reconnaître Type de discours dans un texte dramatique : La réplique :

« hurle », « nourriture corvée » provoquer par l’injustice de cette situation qui la rend ironique. Ressentie de la narratrice.  Vocabulaire familier (ironie) « emmerdeuse »,« bouffe », « pommé », « incapable », « flémarde ».  Discours indirect libre Ce qui produit un effet de connaître le personnage, on se met tout de suite dans sa peau.  Mots acides Conclusion : Récit autobiographique, Annie Ernaux met en évidence la difficulté de la lutte féminine pour l’égalité des deux sexes

17 et 18. ) Il y a tout de même quelques exceptions comme par exemple dans la fable intitulée la Mort et le bucheron. Dans cette fable, les paroles sont rapportées au discours indirect libre : Il appelle la Mort ; elle vient sans tarder,                Lui demande ce qu'il faut faire. L’utilisation du discours indirect libre permet ici à la fontaine de s’affranchir du discours direct. Il peut donc rapporter les paroles au moyen d’une forme qui s’intègre parfaitement au récit. Ce type de discours

mis par terre. » (Jean de la Fontaine, Fables) Le discours indirect DÉFINITION Le discours indirect évite le changement de système d’énonciation ; le propos rapporté ne prend pas la place du discours premier, il lui est subordonné ; elles se présentent d’ailleurs grammaticalement sous la forme d’une proposition subordonnée ou d’un groupe infinitif prépositionnel dépendant d’un verbe de parole. Les paroles rapportées au discours indirect relèvent donc du même système d’énonciation  que le reste de

pas coupable mais incompris, il ne veut pas se repentir et elle ne comprends pas. B – (l.4-7) : du narrateur à Lafcadio (focalisation). Lafcadio comprends que Geneviève a raison. On passe du narrateur à Lafcadio avec « Fâcheux... » discours indirect libre, ce sont les pensées de Lafcadio. C – (l.8-12) : deuxième mouvement. Démarche du personnage : après l'avoir repoussée, il veut se rapprocher d'elle, c'est une manière de se venger de Julius. Le mot « rancune ». « Pieds nus » → dans les mules

entre les personnages : Gervaise mange et regarde Goujet qui regarde Gervaise servir le père Bru. Les femmes mangent la carcasse, Virginie, la peau, Clémence, le croupion. Les discours rapportés donnent également l’illusion du réel. Le discours indirect libre de Coupeau lorsqu’il se « fâcha et [qu’il] servit un haut de cuisse à Virginie, criant que, tonnerre de Dieu ! Si elle ne le décrottait pas, elle n'était pas une femme. » ou de Poisson qui « ordonn[a à sa femme] de s'arrêter » fait entendre

vue: Du point de vue narratologique, la prise de conscience est mise en scène par le discours indirect libre (les pensées sont rapportée mais la narrations reste à la troisième personne et la séparation entre la voix du narrateur et celle du personnage est floue). " Pour la première fois, il pense tout en bêchant que ..." (discours indirect) Puis la suite de la réflexion est au discours indirecte libre et on assiste à un vrais monologue intérieur qui crée un contraste fort avec le comportement mécanique