Stendhal Indirect Libre

Discours Direct ; Indirect et Indirect libre : Comment le reconnaitre : DISCOURS DIRECT : 1. ponctuation : parole encadré par des guillemets, des tirets ou deux-points. 2. pronom personnels : 1ère et 2ème personnes. 3. les temps : indicatif présent, passé composé, et futur. 4. les phrases : interrogatives, exclamatives, ou injonctives. 5. propositions : incises, au milieu ou à la fin des paroles. DICOURS INDIRECT : 1. verbe de paroles : suivi, d’une prop. subordonnée conjonctive

ne s'identifie pas à cette haine d'Elia, qui est présenté comme démoniaque et malsaine par le narrateur, mais il est en contact avec ses sentiments. Comme pour le deux autres textes, cette prise de paroles agit en rupture. A l'inverse, le discours indirect permet d'éviter le changement du système d'énonciation. Ainsi, le narrateur l'utilise quand il estime qu'il n'est pas nécessaire d'employer un processus d'identification avec le personnage à ce moment : « sûre qu'il allait s'arrêter devant la grille »

l’autre ne peut qu’obéir ou répondre ; contradiction flagrante avec le sans déguiser par lequel le roi tente de montrer sa mansuétude. Discours narrativisé : Le Singe approuva fort cette sévérité (20) ; L’autre aussitôt de s’excuser (30) Discours indirect libre : 23-24 (discours du singe)  - Alternance des temps temps du récit : imparf / passé simple 30 : L’autre aussitôt de s’excuser : infinitif de narration, qui exprime la rapidité, l’immédiateté de la réaction (servilité du renard) ; vivacité. 4

« les yeux attendris » (l.12), « gentille » (l.13) et la féminisation de la machine « elle était bien gentille » (l.13) indiquent la relation privilégiée entre les deux individus et le fait que Mes-Bottes soit comme envoûté. Ensuite, le discours indirect libre (l.13 à 19) permet de rendre les pensées plus perceptibles, et de s’immiscer dans les pensées de Mes-Bottes. Par ailleurs, le regard de Gervaise est totalement à l’opposé de celui. Ainsi, Gervaise trouve cette machine repoussante, comme le montrent

fils conducteurs de notre étude. Composition du texte Le texte est composé de 7 paragraphes structuré par 3 mouvements Elle l'avait aimé à son fils, à leur fils (l.9) : Pierre est envahit par le doute qui est restitué par le discours indirect libre et se livre à un travail d'introspection. C'est un délire structuré. 2)Et Pierre se leva (l.10) le mort, sa mère (l.14) : après le délire la fureur de Pierre qui semble pris par une rage violente illustrée par ses gestes et paroles qui traduisent

L’impression de rapidité, d’un récit " troussé ", résulte aussi de l’insertion du point de vue de la mouche au sein même du récit, jusqu’au vers 24. Que ce soit au style indirect, par hypotaxe donc, aux vers 9, 18 et 19, au style direct mais sans verbe introducteur, aux vers 26, 27 et 28, voire au style indirect libre vers 21 et 22. A la variété que confère au récit l’insertion des propos rapportés, celle-là ajoute sa propre variété quant à sa forme, et transcrit le point de vue de la mouche

voix se font entendre (il faut faire des citations). A) La voix du narrateur : au début et à la fin du texte, élargissant la vision. B) La voix des ouvriers en bordée : vocabulaire populaire et vision méliorative du cabaret (discours indirect libre et discours direct). C) La voix des bourgeois : vocabulaire péjoratif, moralisateur (citer). II. Un reportage social : c’est le propre du naturalisme, les " basses classes " sont les héroïnes de l’histoire. Tout est restitué avec le

« douleur » (v.5), ainsi que le verbe « souffrir » (v.19). Le discours employé donne également un effet théâtral au récit. Par exemple, la Fontaine utilise le discours indirect libre combiné à une hyperbole : « Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ? » (v.7), qui peut s’apparenter à un monologue théâtral ; mais aussi un discours indirect, qui illustre de plus un dialogue entre le Bucheron et la Mort : « la mort (…) lui demande ce qu’il faut faire » (v. 13-14), « C’est, dit-il (…) » (v.15). La mise

pourra que se soumettre face à cet avilissement. I. La rue, la condition du peuple, Gervaise : 1. Le quartier : mise en abyme du sort de Gervaise Tout d’abord, Zola, dans ce passage, met en scène la beuverie du quartier. Grâce au style indirect libre, il crée une sorte de polyphonie. La description de la soûlerie p. 478 est en focalisation interne. Ici, ce n’est plus Gervaise qui s’exprime mais le narrateur. Celui-ci décrit les conséquences de l’alcool : les coups et les querelles, la violence

demandés comment la polyphonie énonciative, en se mettant au service de la dénonciation, exprimait l'esprit menaçant de la révolte. Pour répondre à cette problématique nous verrons dans un premier temps comment l'emploi du discours direct et indirect libre témoignent de l'esprit contestataire grandissant puis nous verrons que le discours narrativisé atteste de la cruelle situation à laquelle sont confrontés les mineurs grévistes. Tout d'abord les paroles rapportées au discours direct apparaissent