Stendhal Indirect Libre

 Séance 3: OL: Les paroles rapportées : DISCOURS DIRECT DISCOURS INDIRECT DISCOURS INDIRECT LIBRE Exemples - Je vais entrer, que j’ai dit lâchement, dans le commerce. Alors il m’a posé la question sur ce que j’allais faire dans l’avenir si j’avais un Certificat? Vrai il était pas exigeant... Effet produit Donne au lecteur une illusion de réalité. Rupture avec la narration. Paroles incluses dans la narration. Permet de résumer les paroles des perso. en n’en retenant que l’essentiel. Mêle + étroitement

le monologue constituent les deux formes de discours qui peuvent être empruntées par le héros dans le roman. Les discours rapportés Le narrateur peut rapporter les paroles des personnages par le biais de trois discours rapportés : direct, indirect, indirect libre, auxquels il est possible d’ajouter le discours narrativisé. Le discours direct Le narrateur rapporte fidèlement les paroles du personnage. Il peut préciser dans l’incise le ton employé par le personnage ou un geste qui accompagnerait la

dans le destin du personnage au succès duquel il participe. Les verbes d’énonciation ou d’opinion sont nombreux : « trouvait », « clabaudait », « reconnaître », « disait »(x2). 2. Le discours indirect libre .L’insertion du discours rapporté est discrète puisque Zola utilise le discours indirect libre qui intègre à la description des paroles. Le rythme et les structures de phrases « naturelles » semblent sortir d’une conversation : « n’est-ce pas ? », «Enfin, c’était une jolie blonde », « Elle

écrivez un article dans le journal local qui raconte le fait divers et qui en dégage une signification sociologique. pour travailler sur les discours rapportés : - Passer au style direct le début de la nouvelle pour apprécier le discours indirect libre et pour mesurer l’entrecroisement des discours, caractéristique de l’écriture romanesque contemporaine et du style de Le Clézio. pour travailler sur la description : Construire le portrait de Titi ou de Martine en fonction d'une intention

peut-être nous faire comprendre que cette contradiction a causé sa perte.. Les deux pensées de Charles et d’Emma sont présentées séparées l’une de l’autre, en opposition. Il s’agit de réflexions silencieuses, formulées de manière résumée, au style indirect libre la plupart du temps, ce qui donne un point de vue (une focalisation) interne. Ces deux discours sont exprimés par Flaubert avec des conditionnels qui prennent une valeur de futur dans une prospective lointaine ou proche. Le discours intérieur

Thérèse est connu, elle doit aussi fuir le public : la voiture l’attend « en dehors de la ville, pour ne pas attirer l'attention » (l 24-25). Le groupe évite la foule : « on peut suivre les rues les plus désertes de la sous-préfecture » (discours indirect libre, l. 28-29), « le crépuscule [...] empêchait que les hommes la reconnussent » (l. 35). (Transition) 2. Le portrait en creux de Thérèse 2.1 Un point de vue interne - Le narrateur est hétérodiégétique et utilise la focalisation interne de Thérèse

répliqua Gabriel avec simplicité. » ainsi que du discours indirect : « Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. ». La narration entrecoupe ces dialogues de façon éphémère : « Gabriel regarde dans le lointain ; elles, elles doivent être à la traîne, les femmes, c’est toujours à la traîne ; mais non, une mouflette surgit qui l’interpelle ». (Explication) Cette abondance de dialogues et cette narration qui rappelle parfois le discours indirect libre donnent une très grande dynamique au texte. Les actions

interne qui permet de donner l’impression que George est fou, et permet au lecteur de connaitre toute les pensées de Duroy. Il semble sûr de lui malgré qu’il soit « affolé ». Mais aussi focalisation externe - Discours direct (ligne 9) et discours indirect libre (ligne 44 et 45). Les nombreuses répétitions montrent autosatisfaction de Bel-Ami. - George est débordé par ses émotions, l’émotion monte d’un cran avec « balbutier ». Mais il retrouve ses esprits quand il voit Clotilde de Marelle on le remarque

les autorités et les riches de la France sous le Seconde Empire. On révèle une phrase «tout ce peuple stupide», mais l’adjectif «stupide» est une appréciation des autorités, pas du héros lyrique qui idéalise le peuple (c’est comme le discours indirect libre mais dans un texte poétique). Il utilise le lexique du registre soutenu en parlant du peuple: «Aux travailleurs des champs, aux travailleurs des villes!»; au lieu de dire «aux paysans, aux ouvriers». Le choix du lexique souligne encore une fois

discours indirect : le discours d’autrui est retranscrit dans une proposition subordonnée (les guillemets disparaissent ; il y a concordance des temps : le présent devient imparfait, le passé composé devient plus que parfait, le futur devient conditionnel présent, avec valeur de futur dans le passé etc). Le propos perd en expressivité mais il est fluidifié. Aurélien déclara que la première fois qu’il avait vu Bérénice, il l’avait trouvée franchement laide. Le discours indirect libre est un système